Notez les films naphtas

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Kevin95
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SAILOR BEWARE (Hal Walker, 1952) Révision

Je crois ne plus avoir le courage de (re)voir les films du duo Lewis/Martin et le pire, c'est qu'il m'en reste une bonne poignée en DVD à découvrir. Ici ça aurait pu passer... l'histoire est con-con mais rigolote, l'image est belle, Dean Martin est parfait (il ne fout rien) mais Jerry Lewis est dans sa première période, celle où il joue les attardés, les gamins incontrôlables et où sa voix monte dans les aigus au point où même votre télé sature. C'est ce Lewis là qui me lasse (pire qui m'énerve) même si une bonne partie des gags fonctionnent. Non, vraiment tu es gentil film mais je t’exclus de ma DVDthèque. 5/10 (car j'ai ri devant le gag de la prise de sang)

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THE OUTFIT (John Flynn, 1973) Découverte

Il arrive toujours un moment où vous sentez les dieux du cinéma vous dire au coin de l'oreille "tiens mon poulet, ça c'est pour toi". C'est en gros mon ressenti devant le film de Flynn, tout y est pour me faire décoller : une esthétique hard-boiled, un héro taciturne mais qui n'est pas dénué de sentiments qu'il ne va bien évidemment jamais exprimer, des trognes du cinéma noir des 50's qu'on se plait à reconnaitre (un film avec Elisha Cook Jr. ne peut pas être à 100% mauvais), des scènes de casse carrées, de la violence juste ce qu'il faut et une amitié qui se lit sur le visage de deux hommes partageant une clope après un gros coup alors que les sirènes de police se font entendre. Du très grand cinéma noir quoi. 10/10

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ROLLING THUNDER (John Flynn, 1977) Révision

J'avais oublié combien le film était lent (c'est pour mieux te tromper mon enfant), combien l’atmosphère se faisait pesante sur la durée, combien on passait énormément de temps à essayer de déchiffrer les pensées ou les affects du personnage principal, combien la vision de l'Amérique était violente et ironique, combien le film était tributaire du cinéma de Sam Peckinpah et plus précisément de Bring Me the Head of Alfredo Garcia, combien la relation entre William Devane et Tommy Lee Jones était trouble et combien leur jouissance se lit sur leurs visages (comme un orgasme) lors du gunfight final. Je viens de m'en rappeler et sur grand écran. Une perle mal-aimable. 10/10

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L'APPARTEMENT DES FILLES (Michel Deville, 1963) Découverte

C'est pétillant, sautillant, piquant et tout le toutime. Les comédiennes sont à croquer (Mylène Demongeot rules), Sami Frey est plus relax qu'à l’accoutumé et les dialogues fusent. Seulement ça tire un peu en longueur (pourtant le film ne fait qu'une heure trente à tout casser) et la deuxième partie (la parodie policière) traine les pieds tandis que certains gags sont interminables (le coup du cheval qui n'avance pas). L’hystérie, sans doute amenée par la co-scénariste Nina Companeez, est difficilement supportable passé la première heure mais le tout est plutôt charmant et efface partiellement mon désamour d'un précédent Deville (Aux petits bonheurs pour ne pas le citer). 7,5/10
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Kevin95
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THE STALKING MOON (Robert Mulligan, 1968) Découverte

Grosse surprise. J'avais vaguement souvenir que Tavernier et Coursodon le jugeaient avec enthousiasme mais je n'imaginais pas que le romantique Robert Mulligan était capable de mettre en scène un western aussi sec et taiseux (bien loin donc du théâtral, ce n'est pas une injure car j'adore le film, To Kill a Mockingbird). Peu de parlote, que de l'image et une sacrée image (sens du scope poussé, lumière à tomber, jeu sur le hors champ pour figurer l'indien sauvage etc.), une violence raisonnée et utilisée avec parcimonie et une émotion qui se cache, qui se cherche à travers des non-dits comme lors de cette scène où Eva Marie Saint remercie Gregory Peck via quelques mots et en plan large comme pour mieux camoufler un sentiment chez le personnage. Tavernier et Coursodon parle d'un pré-Ulzana's Raid (pas faux) mais j'ai surtout pensé au film de Sydney Pollack, Jeremiah Johnson (même sens de l’espace, même gout de la nature et même nihilisme quant à la nature... des hommes).9/10

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ALICE DOESN'T LIVE HERE ANYMORE (Martin Scorsese, 1974) Révision

Un film qui se bonifie avec le temps et les révisions. Jeunot, je le prenais pour une commande sympathique mais en deçà des deux films mammouths qui l'encadraient dans la filmographie de Martin Scorsese. Aujourd'hui je le place très haut, peut être parce que cette relation entre une mère moderne (impudique, franche, rêveuse mais combative) et son fils arrogeant me touche plus. Peut être aussi parce que mon œil se délecte plus de la mise en scène de Scorsese, moins évidente que dans ses films "baroques" des seventies mais tout aussi maitrisée et géniale. La scène où Ellen Burstyn demande à toucher la barbe de Kris Kristofferson est d'une réelle sensualité. 9/10
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Message par Père Jules »

Kevin95 a écrit :Image

THE STALKING MOON (Robert Mulligan, 1968) Découverte

Grosse surprise. J'avais vaguement souvenir que Tavernier et Coursodon le jugeaient avec enthousiasme mais je n'imaginais pas que le romantique Robert Mulligan était capable de mettre en scène un western aussi sec et taiseux (bien loin donc du théâtral, ce n'est pas une injure car j'adore le film, To Kill a Mockingbird). Peu de parlote, que de l'image et une sacrée image (sens du scope poussé, lumière à tomber, jeu sur le hors champ pour figurer l'indien sauvage etc.), une violence raisonnée et utilisée avec parcimonie et une émotion qui se cache, qui se cherche à travers des non-dits comme lors de cette scène où Eva Marie Saint remercie Gregory Peck via quelques mots et en plan large comme pour mieux camoufler un sentiment chez le personnage. Tavernier et Coursodon parle d'un pré-Ulzana's Raid (pas faux) mais j'ai surtout pensé au film de Sydney Pollack, Jeremiah Johnson (même sens de l’espace, même gout de la nature et même nihilisme quant à la nature... des hommes).9/10
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Kevin95
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TWINKY (Richard Donner, 1970) Découverte

Richard Donner avant qu'il ne devienne Richard Donner. Une tentative très hype de marier Lolita et l'esthétique pop des films 60's de Richard Lester (ironique quand on connait l'affaire Superman II). La première partie est clairement la plus réjouissante, Trevor Howard en papy graveleux, Charles Bronson et sa détestation de la musique pop, l'ingénuité de Susan George. Mais une fois aux États-Unis et sa partie plus dramatique ça flanche, Donner a un mal de chien à convaincre dans le registre "drame à l’européenne" mais fort heureusement pour lui, le générique de fin ne va pas tarder. Un film daté mais sympathique, très étonnant dans la filmo de monsieur Goonies. 7/10

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CAPE FEAR (J. Lee Thompson, 1962) Révision

Carré, efficace et sans aucun doute l'un des meilleurs films de son réalisateur. Le mérite ne lui en revient pas pour autant, Cape Fear est surtout un film d'acteurs (Peck droit dans ses bottes et Mitchum génialement détestable), de scénario et d’atmosphère (merci Hitchcock). Le final est malheureusement torché dans un combat au corps à corps grossier mais tout le reste est absolument passionnant. Pas de mise en scène, pas grave, Martin Scorsese viendra à la rescousse dans son remake grand guignolesque mais brillant (j'assume). 8,5/10
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Jeremy Fox
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Message par Jeremy Fox »

Kevin95 a écrit : Martin Scorsese viendra à la rescousse dans son remake grand guignolesque mais brillant (j'assume). 8,5/10

J'assume avec toi : autant j'apprécie le remake (effectivement brillant), autant l'original (la seule fois où je l'ai vu) m'a fait l'effet d'un somnifère.
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Kevin95
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Message par Kevin95 »

Seulement, je pourrai regarder ce salopiot de Robert Mitchum pendant des heures. Une brute épaisse inoubliable (la scène où il tabasse en off la prostituée... oh la vache ! Seule véritable idée de mise en scène).
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Rick Blaine
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Jeremy Fox a écrit :
Kevin95 a écrit : Martin Scorsese viendra à la rescousse dans son remake grand guignolesque mais brillant (j'assume). 8,5/10

J'assume avec toi : autant j'apprécie le remake (effectivement brillant), autant l'original (la seule fois où je l'ai vu) m'a fait l'effet d'un somnifère.
Sans aller jusqu'à dire que l'original est un somnifère, je trouve aussi le Scorsese très supérieur. Comme quoi des fois les remake, ça sert (d'ailleurs je croyais que les remake c'était un truc du Hollywood de ces dernières années, on m'aurait menti ? :fiou: :mrgreen: )
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WHO'S THAT KNOCKING AT MY DOOR (Martin Scorsese, 1967) Révision

Bancal forcement vu les conditions de fabrication (manque d'argent, film de fin d'études, retournage de plans x temps après, sandwichs médiocres etc.) et dans tout ça (attention v'la la phrase clichton) déjà du Scorsese en veux-tu, en voilà. C'est d'ailleurs amusant de cocher les thèmes, les plans, les situations que l'on retrouvera dans une pléthore de films futurs. Même la petite bagarre de rue tournée avec les moyens du bord trouve un cousinage avec la graaaande séquence d'ouverture de Gangs of New York. Il y a aussi ce que le cinéaste laissera de coté, trop scolaire sans doute, comme ces collages à la Godard ou encore ces discussions autours du westerns et de John Wayne (Quentin Tarantino passera derrière récupérer le bébé). Des coups de mou certes (la séquence des Doors visant à renforcer après coup le coté européen du film est inutile et placée dans le film pour que justement, elle ne gène pas trop le déroulement du récit) mais un film fragile, naïf et que l'on chérit lorsque l'on est Scorsesophile. A voir après tout le reste. 8/10

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SUA ECCELLENZA SI FERMÒ A MANGIARE (Mario Mattoli, 1961) Découverte

Même la comédie à l'italienne fait parfois relâche. Ici nous ne sommes ni dans le haut du panier, ni vraiment dans le bas mais plutôt dans le standard, dans l'agréable. Comédie de boulevard avec cocus, placards et portes qui claquent, le film ne vaut surtout le détour que pour son arrière plan historique (les années fascistes) et la manière très désinvolte qu'on les auteurs de s'en moquer gentiment. On aurait aimé un peu plus de mordant et de méchanceté mais grâce à Totò et Ugo Tognazzi (qui font des pieds et des mains pour faire vivre le film de Mattoli) l'ensemble se regarde avec pas mal de plaisir. La séquence du discours est à se tordre et fait presque oublier la bonne demi-heure de quiproquos poussiéreux qui l'a précède. Amusant de constater combien ce type de comédie arrive dans sa phase terminale en Italie, remplacé petit à petit par une comédie moins bien élevée, bien plus violente et qui va rentrer de plein pied dans ce qui fâche là où ici on ne fait qu'évoquer. Mais ne faisons pas la fine bouche car chez nous, la comédie de boulevard (de toujours) s'est toujours faites innocente pour ne pas dire aveugle. 7,5/10
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Message par Kevin95 »

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I WALK ALONE (Byron Haskin, 1948) Découverte

Cadenas simple, un ancien détenu revient chercher son dû chez son ancien et prospère partenaire, qui laisse présager le pire du moins le plus figé. Mais Byron Haskin (qu'on imaginait pas aussi bon) excelle à rendre ce face à face tendu et au final touchant. Faut dire que l'ami est clairement aidé par un Burt Lancaster dans sa première période, celle où l'acteur porte le poids du monde sur le dos et semble en baver dès le petit-déjeuner (malgré ce sourire ultra bright) et par un Kirk Douglas cynique, le sourire en coin et le revolver sous la table. I Walk Alone fait transition entre le cinéma de gangster (Lancaster), ses coups de poing dans la gueule et sa morale et le cinéma noir (Douglas), plus perfide, plus vicieux. Il n'y a qu'à voir cette scène où Burt se casse la tête (avant de casser le décor) pour comprendre à qui appartiennent les locaux et l'argent qui en découle partagés entre différentes sociétés, différents hommes de l'ombre (on n'est pas loin du capitalisme noir de Point Blank). Dommage que la source théâtrale se dévoile lors des scènes sentimentales, touchantes peut-être mais trop bavardes. C'est con, on n'était pas loin de la perle. 8,5/10

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THE ONE THAT GOT AWAY (Roy Ward Baker, 1957) Découverte

Film de guerre anglais réalisé par l'actif Roy Ward Baker, sympa mais pas de quoi se réveiller la nuit. BIM, erreur. The One That Got Away raconte l'histoire d'un soldat nazi (ah !), capturé dès le générique (ah !) qui va se jurer de s'échapper de tous les camps possibles et qui tente la grande évasion au bout de trente minutes de film (ah !). Dès lors on comprend que l’intérêt du film est moins de montrer la mise en place de la fuite (façon The Great Escape) mais mettre en scène les différentes tentatives, les frustrations du héros et son énergie à constamment trouver la faille dans les différentes prisons dans lesquelles il est bloqué. Le cocasse laisse place à la tension, l’arrogance sympathique du personnage laisse place à une ambiguïté et le film se termine comme il a commencé, par un carton informatif froid qui, non sans une ironie toute anglaise, vient mettre à mal nos rêveries romanesques par une vérité grave, celle de l'Histoire (le film est adapté d'une histoire vraie). Quand en plus on nous gratifie d'une photographie à tomber, d'une réalisation au poil et d'un Hardy Krüger aussi manipulateur que dans Un taxi pour Tobrouk ou The Flight of the Phoenix, on peut parler de belle réussite. 9/10
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Message par Rick Blaine »

Parole d'homme (Peter Hunt, 1976)

Un film d'aventure qui propose tout ce qu'il faut pour être réussi : paysages majestueux, animaux sauvages, personnages excessifs et enchaînement de situations spectaculaires. Tous les ingrédients sont présents, mais le résultat est sympathique sans être exceptionnel. Ce sont surtout Marvin et Moore qui portent le film sur leurs épaules, la mise en scène étant un peu paresseuse, et le film manquant parfois de rythme (j'ai surement fait une petite erreur en regardant la version longue, à voir). C'est tout de même un divertissement agréable, mais ce sera vite oublié. A souligner tout de même que le final est très réussi.
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Message par Jeremy Fox »

Merci pour cet avis ; je vais faire l'impasse du coup.
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Message par Rick Blaine »

Jeremy Fox a écrit :Merci pour cet avis ; je vais faire l'impasse du coup.

Je ne le déconseille pas franchement, mais je ne le conseille pas vraiment non plus. :wink:
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Re: Notez les films naphtas

Message par Jeremy Fox »

Rick Blaine a écrit :
Jeremy Fox a écrit :Merci pour cet avis ; je vais faire l'impasse du coup.

Je ne le déconseille pas franchement, mais je ne le conseille pas vraiment non plus. :wink:

C'est bien comme ça que je l'avais compris. Je le prendrais éventuellement un jour à noz à prix cassé :wink:
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Re: Notez les films naphtas

Message par Kevin95 »

J'y crois encore (un peu). Je vais tout de même attendre une promo (courageux mais pas téméraire). :mrgreen:
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Re: Notez les films naphtas

Message par Rick Blaine »

Kevin95 a écrit :J'y crois encore (un peu).
Ah mais tu peux. Le film n'est pas mauvais, pas vraiment ennuyeux non plus, simplement anecdotique. Mais ça ne m'a pas déplu.
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