Lawrence d'Arabie (David Lean - 1962)
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Lawrence d'Arabie (David Lean - 1962)
Je ne sais pas si vous avez déjà parlé de ce film dans un topic lui concernant avant mon arrivée sur le forum.
Je persiste à dire que c'est un film splendide de A à Z.
Décors, costumes, acteurs, réalisation mais aussi et surtout musique.
10 / 10 il ne mérite pas moins !
Votre avis sur ce chef-d'oeuvre absolu ?
Je persiste à dire que c'est un film splendide de A à Z.
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- Jeremy Fox
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Re: Lawrence d'Arabie
Ma réponse est dans ta questionSerge Karamazov a écrit :
Votre avis sur ce chef-d'oeuvre absolu ?
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Re: Lawrence d'Arabie
Jeremy Fox a écrit :Ma réponse est dans ta questionSerge Karamazov a écrit :
Votre avis sur ce chef-d'oeuvre absolu ?
En voilà une réponse qui tue !
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Un de mes films préféré assurément. Tout me plait, de la mise en scène splendide de David Lean à la prestation de Peter O'Toole, qui trouve là le plus grand rôle de sa carrière. Et ce regard...
De tout façon, je crois que ma signature parle d'elle même en ce qui concerne ce chef d'oeuvre.
De tout façon, je crois que ma signature parle d'elle même en ce qui concerne ce chef d'oeuvre.
"Du chaos naît une étoile". Charles Chaplin
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Re: Lawrence d'Arabie
Il n'est pas totalement impossible qu'on est un tant soit peu vécu avant ton arrivée, en effet...Serge Karamazov a écrit :Je ne sais pas si vous avez déjà parlé de ce film dans un topic lui concernant avant mon arrivée sur le forum.
Momo
L'alcool, c'est mal.styx a écrit :Je comprends pas grand chose à vos salades, mais vous avez l'air bien sur de vous, donc zetes plus à même hein de parler, de sacrés rigolos que vous faites en fait, merde ça rime lourd là, je vais éditer. mdr
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Elle était pourtant en promo à 9,9€ à la fnac, il y a 2 ou 3 mois...Serge Karamazov a écrit :A chaque vision (c'eest-à-dire 1 fois par mois), je suis toujours envoûté par la musique de Maurice Jarre, elle me donne des frissons, elle me fait rêver.
Dire que j'arrive pas à trouver la BO ça me tue !
Et maintenant à 13,72 ici
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Bonjour.
J'ai quelque peu de mal à admettre Lawrence d'Arabie dans le cénacle des "chefs-d'oeuvres absolus".
Les confrontations de personnalités (et d'acteurs) sont intéressantes dans leur propos, et auraient dû donner lieu à un traitement nuancé, une montée en puissance de la dramaturgie autrement plus subtile que ce qui est réalisé dans le film, qui peine à aller au-delà de la mise en oeuvre esthétisante du cliché.
La scène introductive - largement coupée dans la version originellement distribuée dans les salles- résume assez bien ce que sera le traitement des personnages. Lawrence offre les cigarettes de son compagon avec une emphase appuyée; ainsi sera-t-il: peinture par le détail caricatural et grandiloquence.
Lawrence est d'une trop désarmante ingénuité lorsqu'il s'attache le respect et l'admiration de son guide lors de son voyage vers l'Arabie en lui offrant son révolver.
Le traitement de l'histoire des deux pauvres hères que Lawrence prend à son service, histoire qui fait valoir la bonté du héros, frise le ridicule dans une épopée qui aurait gagné à se passer de ce genre ficelles scénaristiques.
La scène où Peter O'Toole, sa peau laiteuse mise à nue, est confrontée à l'officier ottoman manque cruellement de force; il faut réfléchir pour comprendre la portée qu'aurait dû revêtir cette épisode: l'humilation par procuration de l'homme blanc, la permutation des rôles entre les victimes et les bourreaux du racisme dans notre culture, une situation qui devait interpeller, mettre le spectateur mal à l'aise. Et pas ce plan sur le visage débile du soldat turc, plan qui ramène les choses dans leur ordre occidental... Ouf! Ce n'était qu'un mauvais (oui, mauvais) rêve. Mais que se passe-t-il? Lors de la vision de la scène, on ne comprends vraiment ni pourquoi Lawrence aligne l'offcier, ni pour quel motif celui-ci voulait depuis le début le battre. Et pour cause: le jeu de O'Toole manque terriblement de lisibilité.
Peter O'Toole, qui, avec son physique de poupée de porcelaine et son air de perpétuelle ébahi, réussit peut-être, dans les moments les plus sobres, à assumer son rôle d'illuminé messianique, mais qui n'affiche aucune réelle crédibilité dans celui de chef de guerre, de figure de proue. La détermination trop schématique d'un Lawrence qui s'en revient annoncer la victoire d'Akaba dans le mess des officiers manque de force. Où est la folie, l'effrayante cruauté du Lawrence qui sonne la charge sur une colonne en déroute? Pas dans la composition de l'acteur. Pour un peu, je préférerais le séance de "pétage de plombs" du futur Vador dans l'Attaque des Clones... On se demande aussi qui est cette grande silouette qui se fait giflé dans l'hopital militaire de Damas "libéré"... une scène qui tombe pour ainsi dire à la fois à plat et à pic pour conclure sur la qualité interpétative du film, singulièrement dans son rôle-titre. On peut penser qu'un traitement du personnage façon Les Vikings, sombre et plus sobre tout le long du film, aurait été bienvenu pour contre-balancer la nature de Peter O'Toole.
Certains seconds rôles me paraissent beaucoup mieux joués, si l'on excepte la faconde appuyée d'une caricature (encore une) du représentant civil du gouvernement britannique. Dommage que McQueen n'ai pas eu tant de bonne scènes. Son entrée, seul, dans la troupe qui vient de traverser le Sinaï n'échappe pas à certaines facilités, dont l'idée du gamin n'est pas la plus mauvaise: ce serait plutôt le plan sur un Omar Shariff venant à sa rencontre, le ventre un peu trop en avant pour véritablement figurer la dignité d'un grand chef.
Pour ce qui est de la mise en scène, son originalité et son efficacité m'échappe totalement.
La charge sur Akaba est d'un loupé, avec le mouvement final de la caméra sur un canon ridicule qui était censé tenir la puissante Royal Navy en respect... Les décors auraient mérité plus d'imagination pour montrer à l'écran une position dont l'importance stratégique avait été assez habilement amené par son évocation à la fois pleine de crainte et d'envie. Mais comment croire une seconde que l'Akaba que l'on voit à l'écran est celle que l'on avait évoqué?
La scène du retour de Lawrence du Sinaï, où il a récupéré un chamelier, est ennuyeuse et sans enjeux. Puisqu'il "était écrit" que Lawrence reviendrait (si! si! c'était dans le scénario!), Lean aurait pu faire plus court, et accessoirement mieux pour filmer l'attente. Le coup sans génie du montage d'une suite de plans fixes passe assez mal en la circonstance. D'autant que ce qui se passe dans le cadre est sans intérêt aucun.
Le gros plan sur le visage d'une jeune fille, puis le mouvement sur les femmes vues de dos qui observent la fête dans la tente du prince Fayçal n'a qu'une portée purement illustrative, anecdotique, là où on aurait pu souhaiter plus de recherche pour marquer la raideur et l'originalité de la culture d'adoption de Lawrence.
J'accumule les illustrations sorties du contexte; c'est ma façon de dire que le montage du film n'est pas le plus fluide qui soit.
Et que dire du désert filmé par Lean si ce n'est qu'il n'a pas la plastique poétique de celui d'un Ford (La prisonnière du désert).
Seule vraie bonne scène, à mon goût: le plan moyen, travelling arrière, sur le mouvement des pieds de Lawrence en train de se faire ovationner en marchant au fait d'un train. Scène qui, finalement, contient en germe ce qu'aurait dû être le personnage de Lawrence: une figure détachée, mystérieuse, décrite par son environnement, une sorte de colonel Kurtz du désert en somme, qui n'aurait pas du être laissé un travail d'un Peter O'Toole qui n'avait pas les épaules assez larges.
Quant à la musique, elle a la force des images, c'est-à-dire assez peu de force en réalité.
Reste, reste... que Lawrence d'Arabie, c'est avant tout une vision mordante de la politique, qui fait mouche plus d'une fois dans les conclaves d'Alexandrie ou de Damas, ou encore dans le clou du film, le point d'orgue qui culmine au sommet de l'étude anthropologique : la scéance du Conseil National Arabe, où l'on prend plaisir à voir un Peter O'Toole enfin dans sa peau: dépassé par les événements. S'il fallait défendre le film, ce serait pour avoir amener une telle scène, qui est véritablement jubilatoire dans l'incisive précision et la sincérité toute clinique du regard occidentale sur l'anecdocte qui fait l'histoire.
Finalement, Lawrence d'Arabie est encore un film à faire.
J'ai quelque peu de mal à admettre Lawrence d'Arabie dans le cénacle des "chefs-d'oeuvres absolus".
Les confrontations de personnalités (et d'acteurs) sont intéressantes dans leur propos, et auraient dû donner lieu à un traitement nuancé, une montée en puissance de la dramaturgie autrement plus subtile que ce qui est réalisé dans le film, qui peine à aller au-delà de la mise en oeuvre esthétisante du cliché.
La scène introductive - largement coupée dans la version originellement distribuée dans les salles- résume assez bien ce que sera le traitement des personnages. Lawrence offre les cigarettes de son compagon avec une emphase appuyée; ainsi sera-t-il: peinture par le détail caricatural et grandiloquence.
Lawrence est d'une trop désarmante ingénuité lorsqu'il s'attache le respect et l'admiration de son guide lors de son voyage vers l'Arabie en lui offrant son révolver.
Le traitement de l'histoire des deux pauvres hères que Lawrence prend à son service, histoire qui fait valoir la bonté du héros, frise le ridicule dans une épopée qui aurait gagné à se passer de ce genre ficelles scénaristiques.
La scène où Peter O'Toole, sa peau laiteuse mise à nue, est confrontée à l'officier ottoman manque cruellement de force; il faut réfléchir pour comprendre la portée qu'aurait dû revêtir cette épisode: l'humilation par procuration de l'homme blanc, la permutation des rôles entre les victimes et les bourreaux du racisme dans notre culture, une situation qui devait interpeller, mettre le spectateur mal à l'aise. Et pas ce plan sur le visage débile du soldat turc, plan qui ramène les choses dans leur ordre occidental... Ouf! Ce n'était qu'un mauvais (oui, mauvais) rêve. Mais que se passe-t-il? Lors de la vision de la scène, on ne comprends vraiment ni pourquoi Lawrence aligne l'offcier, ni pour quel motif celui-ci voulait depuis le début le battre. Et pour cause: le jeu de O'Toole manque terriblement de lisibilité.
Peter O'Toole, qui, avec son physique de poupée de porcelaine et son air de perpétuelle ébahi, réussit peut-être, dans les moments les plus sobres, à assumer son rôle d'illuminé messianique, mais qui n'affiche aucune réelle crédibilité dans celui de chef de guerre, de figure de proue. La détermination trop schématique d'un Lawrence qui s'en revient annoncer la victoire d'Akaba dans le mess des officiers manque de force. Où est la folie, l'effrayante cruauté du Lawrence qui sonne la charge sur une colonne en déroute? Pas dans la composition de l'acteur. Pour un peu, je préférerais le séance de "pétage de plombs" du futur Vador dans l'Attaque des Clones... On se demande aussi qui est cette grande silouette qui se fait giflé dans l'hopital militaire de Damas "libéré"... une scène qui tombe pour ainsi dire à la fois à plat et à pic pour conclure sur la qualité interpétative du film, singulièrement dans son rôle-titre. On peut penser qu'un traitement du personnage façon Les Vikings, sombre et plus sobre tout le long du film, aurait été bienvenu pour contre-balancer la nature de Peter O'Toole.
Certains seconds rôles me paraissent beaucoup mieux joués, si l'on excepte la faconde appuyée d'une caricature (encore une) du représentant civil du gouvernement britannique. Dommage que McQueen n'ai pas eu tant de bonne scènes. Son entrée, seul, dans la troupe qui vient de traverser le Sinaï n'échappe pas à certaines facilités, dont l'idée du gamin n'est pas la plus mauvaise: ce serait plutôt le plan sur un Omar Shariff venant à sa rencontre, le ventre un peu trop en avant pour véritablement figurer la dignité d'un grand chef.
Pour ce qui est de la mise en scène, son originalité et son efficacité m'échappe totalement.
La charge sur Akaba est d'un loupé, avec le mouvement final de la caméra sur un canon ridicule qui était censé tenir la puissante Royal Navy en respect... Les décors auraient mérité plus d'imagination pour montrer à l'écran une position dont l'importance stratégique avait été assez habilement amené par son évocation à la fois pleine de crainte et d'envie. Mais comment croire une seconde que l'Akaba que l'on voit à l'écran est celle que l'on avait évoqué?
La scène du retour de Lawrence du Sinaï, où il a récupéré un chamelier, est ennuyeuse et sans enjeux. Puisqu'il "était écrit" que Lawrence reviendrait (si! si! c'était dans le scénario!), Lean aurait pu faire plus court, et accessoirement mieux pour filmer l'attente. Le coup sans génie du montage d'une suite de plans fixes passe assez mal en la circonstance. D'autant que ce qui se passe dans le cadre est sans intérêt aucun.
Le gros plan sur le visage d'une jeune fille, puis le mouvement sur les femmes vues de dos qui observent la fête dans la tente du prince Fayçal n'a qu'une portée purement illustrative, anecdotique, là où on aurait pu souhaiter plus de recherche pour marquer la raideur et l'originalité de la culture d'adoption de Lawrence.
J'accumule les illustrations sorties du contexte; c'est ma façon de dire que le montage du film n'est pas le plus fluide qui soit.
Et que dire du désert filmé par Lean si ce n'est qu'il n'a pas la plastique poétique de celui d'un Ford (La prisonnière du désert).
Seule vraie bonne scène, à mon goût: le plan moyen, travelling arrière, sur le mouvement des pieds de Lawrence en train de se faire ovationner en marchant au fait d'un train. Scène qui, finalement, contient en germe ce qu'aurait dû être le personnage de Lawrence: une figure détachée, mystérieuse, décrite par son environnement, une sorte de colonel Kurtz du désert en somme, qui n'aurait pas du être laissé un travail d'un Peter O'Toole qui n'avait pas les épaules assez larges.
Quant à la musique, elle a la force des images, c'est-à-dire assez peu de force en réalité.
Reste, reste... que Lawrence d'Arabie, c'est avant tout une vision mordante de la politique, qui fait mouche plus d'une fois dans les conclaves d'Alexandrie ou de Damas, ou encore dans le clou du film, le point d'orgue qui culmine au sommet de l'étude anthropologique : la scéance du Conseil National Arabe, où l'on prend plaisir à voir un Peter O'Toole enfin dans sa peau: dépassé par les événements. S'il fallait défendre le film, ce serait pour avoir amener une telle scène, qui est véritablement jubilatoire dans l'incisive précision et la sincérité toute clinique du regard occidentale sur l'anecdocte qui fait l'histoire.
Finalement, Lawrence d'Arabie est encore un film à faire.
«Ce n'est pas se donner que de donner ce qu'on voudrait être» Patrick Drevet.
«Sage nicht immer was du weisst, aber wisse immer, was du sagst» Mathias Claudius
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Scytales a écrit : Les confrontations de personnalités (et d'acteurs) sont intéressantes dans leur propos, et auraient dû donner lieu à un traitement nuancé, une montée en puissance de la dramaturgie autrement plus subtile que ce qui est réalisé dans le film, qui peine à aller au-delà de la mise en oeuvre esthétisante du cliché..
Personne ne parle d'originalité quand à la mise en scène de Lean : pas besoin d'originalité pour être géniale. Et le lyrisme et le souffle, tu ne le vois pasScytales a écrit :Pour ce qui est de la mise en scène, son originalité et son efficacité m'échappe totalement..
Et ben merde alorsScytales a écrit :Et que dire du désert filmé par Lean si ce n'est qu'il n'a pas la plastique poétique de celui d'un Ford (La prisonnière du désert)...
L'un des chefs d'oeuvre de Maurice JarreScytales a écrit :Quant à la musique, elle a la force des images, c'est-à-dire assez peu de force en réalité.)...
Et bien Scytales, pour une entrée en matière sur le site, on peut dire que tu m'as fait faire des yeux ronds
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Je trouve tout de meme sa critique interessante et osé. Un tel film n'est pas souvent critiqué, et je trouve qu'ici cela est bien fait. Je ne suis pas d'accord avec tout ( j'aime quand meme assez ce film mais si j'est du mal a y voir un chef d'oeuvre ), mais il est vrai par exemple :
Au final je ne serait pas aussi critique que Scytales mais je pensse que son entré en matiere peut permettre un beau debat.
ps : C'a n'a rien avoir avec la qualité du film mais le dvd z2 en version longue est très désagreable a voir en vf, les scenes rajoutées n'étant qu'en vo !! m'enfin...
que la scene decrite ici m'a fait le meme effet. Je cherche le souffle et le lyrisme dans cette scene. Il est aussi vrai que parfoit Lawrence est un peu caricatural et que l'on peut avoir du mal a croire a ses sentiments, tout cela parait surfait. Parcontre je ne pourrait etre d'accord a propos de sa maniere de filmer le desert, qui est, je trouve, absolument sublime et envoutante. L'impression d'immensité est magnifiquement rendu, le desert nous attire tout comme il nous fait peur. La dessus je suis conquit.La charge sur Akaba est d'un loupé, avec le mouvement final de la caméra sur un canon ridicule qui était censé tenir la puissante Royal Navy en respect... Les décors auraient mérité plus d'imagination pour montrer à l'écran une position dont l'importance stratégique avait été assez habilement amené par son évocation à la fois pleine de crainte et d'envie. Mais comment croire une seconde que l'Akaba que l'on voit à l'écran est celle que l'on avait évoqué?
Au final je ne serait pas aussi critique que Scytales mais je pensse que son entré en matiere peut permettre un beau debat.
ps : C'a n'a rien avoir avec la qualité du film mais le dvd z2 en version longue est très désagreable a voir en vf, les scenes rajoutées n'étant qu'en vo !! m'enfin...
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Oui mais ce qui démontre qu'on peut faire dire n'importe quoi à un film et ça me confirme dans le fait de préférer une critique de film à une analyse de film.Dave Garver a écrit :Je ne suis pas d'accord avec les critiques formulées, mais au moins elles le sont. Ce qui démontre que tout est affaire de sensibilité. Constructif.
Par exemple, comment peut on dire que le désert est mal filmé et sans force dans le film de Lean : il faut rester objectif aussi de temps en temps non ?