Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1967

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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hellrick
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par hellrick »

Le retour des 7 c'est clairement le moins bon de la saga (c'est aussi le seul que je n'ai pas en dvd d'ailleurs), les deux autres suites sont plus sympas (bien que je les ai pas vues depuis longtemps), l'une façon "film de commando" avec les mercenaires qui doivent entrer dans une prison, le dernier plus inspiré du spag' avec Lee Van Cleef en justicier.

Que vaut la série télé de la fin des années '90 au fait?
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ithaque
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par ithaque »

par curiosité ,j'ai voulu voir la bande annonce de texas nous voilà (avec Dean martin et Alain Delon) : nous avons bien là un nanar. C'est une punition de vouloir regarder ce film là ! :oops:
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Jeremy Fox
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Jeremy Fox »

ithaque a écrit :par curiosité ,j'ai voulu voir la bande annonce de texas nous voilà (avec Dean martin et Alain Delon) : nous avons bien là un nanar. C'est une punition de vouloir regarder ce film là ! :oops:

Tu peux te rendre compte si ce sera un nanar à partir d'une simple bande annonce ? Pas moi. Ce ne sera surement pas pire que le Kennedy en tout cas.
Rashomon
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Rashomon »

ithaque a écrit :par curiosité ,j'ai voulu voir la bande annonce de texas nous voilà (avec Dean martin et Alain Delon) : nous avons bien là un nanar. C'est une punition de vouloir regarder ce film là ! :oops:
Ben moi j'ai bien rigolé quand je l'ai vu voici quelques années. De gustibus...
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par pak »

Jeremy Fox a écrit :
ithaque a écrit :par curiosité ,j'ai voulu voir la bande annonce de texas nous voilà (avec Dean martin et Alain Delon) : nous avons bien là un nanar. C'est une punition de vouloir regarder ce film là ! :oops:

Tu peux te rendre compte si ce sera un nanar à partir d'une simple bande annonce ? Pas moi. Ce ne sera surement pas pire que le Kennedy en tout cas.
Perso, trouvé ça tellement mauvais que j'ai pas été au bout...

Mais j'ai le DVD, je retenterai, des fois, c'est juste une question d'humeur. Mais quand même, Kennedy, ça reste meilleur, de même qu'Andrew V. MacLaglen, tes réalisateurs préférés ! :mrgreen:
Le cinéma : "Il est probable que cette marotte disparaîtra dans les prochaines années."

Extrait d'un article paru dans The Independent (1910)

http://www.notrecinema.com/
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Jeremy Fox
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Jeremy Fox »

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Le Retour des sept (Return of the Seven - 1966) de Burt Kennedy
UNITED ARTISTS


Avec Yul Brynner, Claude Akins, Robert Fuller, Warren Oates
Scénario : Larry Cohen
Musique : Elmer Bernstein
Photographie : Paul Vogel (DeLuxe 2.35)
Un film produit par Ted Richmond pour la Mirisch Company


Sortie USA : 19 octobre 1966


Chico, après que lui et ses six acolytes pistoleros se soient débarrassés de l’ignoble bandit Calvera qui pressurait et terrorisait un village mexicain (voir Les Sept Mercenaires), est resté vivre en tant que paysan dans cette pauvre localité où il s'est marié. Six ans plus tard, un groupe d’une cinquantaine de hors-la-loi commandé par Lorca (Emilio Fernandez) fait de nouveau violemment irruption dans le village, kidnappant tous les hommes valides, les emmenant jusqu’à un pueblo en ruines dans une région désertique ; les prisonniers ont pour mission de le reconstruire pour une raison que l’on apprendra plus tard dans le courant du film. Petra, l’épouse de Chico, part à la recherche des deux seuls autres survivants parmi les anciens compagnons d’armes de son mari. Elle retrouve donc Chris (Yul Brynner) et Vin (Robert Fuller) qui en à peine une nuit reforment un groupe de sept mercenaires pour venir en aide à Chico et ses congénères…

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Cinquième film du célèbre scénariste Burt Kennedy dont les plus grands titres de gloire furent non moins que des sommets du western – dont certains des meilleurs de Budd Boetticher (Sept hommes à abattre - Seven Men from Now ; La Chevauchée de la vengeance – Ride Lonesome...) ou de Gordon Douglas (Sur la piste des Comanches – Fort Dobbs)-, Le Retour des sept s’avère être, après déjà quelques autres tristes gâchis en collaboration avec le comédien Glenn Ford dans le domaine de la comédie et du film noir, un film d’une affligeante nullité. Certes Burt Kennedy fut un scénariste génial mais, au vu de ce navrant western et de la plupart de ceux qui suivront, il faut bien se rendre à l’évidence une fois encore : ce fut également et malheureusement un bien mauvais réalisateur. En l'occurrence, ce naufrage ne peut être imputé au seul metteur en scène car au scénario, Larry Cohen, le futur réalisateur du culte Le Monstre est vivant (It's Alive), ne s'est révélé guère plus brillant, nous délivrant un script déplorable sans la moindre rigueur et truffée de personnages inconsistants et sans âme !

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Suite de dialogues insipides ou (et) sacrément déplaisants (le machisme du personnage interprété par Warren Oates est-il du second degré, on se le demande), de situations bourrées d’incohérences et d’invraisemblances (Chris, alors qu’il sait être 'fiché' sur un avis de recherche, vient chercher ses futures complices… en prison), de séquences sans aucune tension, d'éléments d'intrigue sans la moindre présence de réels enjeux dramatiques (je vous laisse découvrir les motivations du bandit mexicain), l’histoire de cette 'suite-remake' semble avoir été écrite en quatrième vitesse et sans aucune implication de la part des auteurs. Le résultat donne un film bâclé de bout en bout et à tous les niveaux, même les comédiens ne répondant pas présents pour relever le niveau malgré un Robert Fuller ne manquant pas de prestance et qui arrive à peu près à faire oublier son prédécesseur dans le rôle de Vin, Steve McQueen. Quant à Yul Brynner, déjà pas très bon acteur lorsqu’il est bien dirigé, le minimalisme de son jeu faisant plutôt penser cette fois à de la paresse, il semble ici s’ennuyer à mourir … tout comme les spectateurs qui ont dû se sentir sacrément floués à la découverte de ce deuxième opus totalement inutile. La preuve, à côté de cette suite, le film de Sturges -même pour ses détracteurs dont je fais partie- pourra sembler superbe !

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Il aura donc fallu six ans pour parvenir à mettre en chantier un deuxième volet narrant la suite (ou plutôt la répétition) des aventures de Chris, Chico et Vin sans même -hormis Yul Brynner- la présence des comédiens initiaux, ni Horst Bucholtz ni Steve McQueen, ce dernier n’appréciant parait-il pas le script. Quant aux nouveaux, il est toujours un peu attristant de voir des acteurs aussi talentueux que Warren Oates, Claude Akins ou encore Fernando Rey devoir cachetonner dans de tels films. Tourné en Espagne dans la région d’Alicante pour réduire le budget, le film ne bénéficie néanmoins même pas de moyens suffisants pour qu’une seconde équipe se soit fait plaisir à mettre en place d’efficaces scènes d’action, les producteurs ayant également repris tel quel le Soundtrack composé par Elmer Bernstein en 1960 sans même prendre la peine de le faire réorchestrer.

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Bref, vous l’aurez bien compris, même si sa principale qualité face à son prédécesseur est de nous faire bénéficier de 30 minutes de moins, le western de Burt Kennedy dure toujours 90 minutes de trop. Même les aficionados auront mieux à faire que de perdre du temps devant ce navet fauché, sans ampleur ni sens de l’épique, multipliant faux raccords et invraisemblances, photocopie vérolée de l’original déjà -à mon humble avis- loin d’être mémorable. Les spectateurs ne furent d'ailleurs pas dupes et le film fut un échec commercial ; ce qui n’empêcha pas les producteurs de remettre le couvert à trois reprises avec deux films signés Paul Wendkos et George McGowan puis une série dans le début des années 90. Nous reparlerons de ces suites en temps voulu.
ithaque
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par ithaque »

L'ouragan de la vengeance est un western d'une autre envergure que le retour des sept. Je suis curieux de connaître ton appréciation , toi qui aime le style court, concis, direct et réaliste de Budd Boetticher.
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Jeremy Fox
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Jeremy Fox »

Avant de poursuivre avec le Monte Hellman (un avis qui sera court puisque la chronique existe déjà sur le site), on revient d'une année en arrière avec le médiocre (à mon humble avis) Le Massacre des Sioux de Sidney Salkow.

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Jeremy Fox
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The Shooting / Ride in the Whirlwind

Message par Jeremy Fox »

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La Mort de Leland Drum (The Shooting - 1966) de Monte Hellman
PROTEUS FILMS


Avec Warren Oates, Millie Perkins, Jack Nicholson, Will Hutchins
Scénario : Carole Eastman
Musique : Richard Markowitz
Photographie : Gregory Sandor (Eastmancolor 1.85)
Un film produit par Monte Hellman & Jack Nicholson pour la Proteus Films


Sortie USA : 23 octobre 1966


Will (Warren Oates) est de retour dans le campement minier qu’il exploite avec son frère et deux amis. Il a la mauvaise surprise de constater qu’en son absence l’un d’entre eux s’est fait tuer et que son frère a disparu. Le survivant lui explique qu’ils auraient accidentellement tué deux personnes et qu’ils auraient eu peur des représailles. Au même moment, une mystérieuse jeune femme (Millie Perkins) arrive au campement qui leur propose une forte somme s’ils l’escortent jusqu’à Kingsley. Les voilà partis pour un périple à travers les paysages désertiques de l’Utah…

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L'Ouragan de la vengeance (Ride in the Whirlwind - 1966) de Monte Hellman
PROTEUS FILMS


Avec Cameron Mitchell, Millie Perkins, Jack Nicholson, Katherine Squire
Scénario : Jack Nicholson
Musique : Robert Drasnin
Photographie : Gregory Sandor (Eastmancolor 1.85)
Un film produit par Monte Hellman & Jack Nicholson pour la Proteus Films


Sortie USA : 23 octobre 1966


Une diligence est attaquée par un groupe de cinq hors-la-loi. Durant le hold-up, un civil est tué. Les bandits se réfugient dans une cabane isolée alors qu’un Posse est mis en place pour les appréhender et les lyncher. Trois cow-boys se trouvent comme par hasard en ces lieux pour se reposer. Au petit matin la milice est sur place et ne fait pas le distinguo entre les outlaws et les cow-boys ; les premiers sont décimés, les seconds poursuivis sans avoir eu le temps de dissiper le malentendu. Ils sembleraient pourtant qu'ils soient recherchés eux aussi...

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Ces deux westerns 'underground' ayant déjà été chroniqués avec passion sur le site, je vous invite à aller découvrir les lauriers que leurs tresse Olivier Bitoun ; de mon côté, dérogeant un peu aux règles que je m’étais fixé et puisqu'il n'y aurait pas non plus grand chose d'intéressant à ajouter à ce qui a été écrit là-bas, je vais pouvoir les aborder en même temps et assez succinctement.

Sortis le même jour dans la plus grande indifférence aux USA, les deux westerns ‘jumeaux’ de Monte Hellman sont entre temps devenus cultes en Europe et plus précisément en France ; il faut dire que c’est Jack Nicholson qui s’est en gros chargé de ‘vendre’ ces deux films -dont il est l’un des interprètes et ayant même écrit l’un des deux- et c’est Bertrand Tavernier qui fut en quelque sorte leur attaché de presse dans notre pays. Depuis les deux films ont tous deux reçus ‘l’aval’ de Quentin Tarantino et on ne compte plus les dithyrambes à leurs encontre. Que ce soit le désintéressement des uns ou l’état extatique des autres, ils étaient à mon humble avis tout autant injustifiés et tout aussi exagérés même si je peux parfaitement comprendre qu’on puisse adorer ou détester ces deux westerns pour le moins curieux et, à l’instar de leurs musiques, aussi fascinants qu’agaçants, aussi originaux qu'un peu vains.

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Même si je suis loin de les trouver mauvais, l’impression finale demeure néanmoins un peu mitigée, plus en tout cas que lors de leurs découvertes il y a une dizaine d’année où la fascination l’avait emporté sur l’irritation. On a beaucoup parlé de Budd Boetticher à leur propos ; moi le premier ! Leurs ressemblances sont à mon avis dues principalement à leurs budgets réduits obligeant les cinéastes à un minimalisme et à une sobriété qui font aussi que les scènes d’action sont réduites à portion congrue au profit de dialogues parfois abondants avec une attention toute particulière portée sur la recherche du réalisme (que ce soit dans les dialogues ou les situations). Mais toutes les comparaisons doivent s’arrêter là car d’une part, que ce soit Carole Eastman ou Jack Nicholson, ils sont loin d’avoir le talent d’écriture d’un Burt Kennedy, de l’autre – et toujours subjectivement- les recherches formelles de Monte Hellman sont loin de faire oublier la perfection confinant à l’évidence des westerns que Boetticher tourna avec Randolph Scott. Monte Hellman tente des choses -surtout pour pallier à la faiblesse de ses moyens-, certaines intéressantes et culottées, d’autres plutôt pénibles ou ratées.

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Tout cela ne va pas sans ennui notamment lorsque le cinéaste met en scène le scénario un peu 'light' de Jack Nicholson pour L’Ouragan de la vengeance qui m'aurait semblé bien plus adapté à un court qu'à un long métrage. L’attaque de la cabane des hors-la-loi par la milice semble par exemple durer une éternité alors qu’il ne s’y passe rien d’autre que d’incessants coups de feu tirés de part et d’autre sans grande tension dramatique. The Shooting, moins classique, plus énigmatique au point d’être parfois sur le point de franchir la lisière du fantastique (la première apparition de Millie Perkins par exemple), exerce un plus grand pouvoir de fascination aidé en cela par un découpage abrupte, des idées réjouissantes d'incongruité ainsi que la présence d’ellipses pour le moins singulières. Dommage alors que certains comédiens soient aussi limités, mettant de ce fait encore plus de distance entre le spectateur et ce qui se déroule à l'écran (enfin là je parle pour moi une fois encore) ; je pense justement à l’actrice qui malgré son visage d'une grande beauté n’est que rarement convaincante (moins encore dans L’Ouragan de la vengeance) ou à Will Hutchins qui cabotine presque autant que son sosie 'westernien', le parfois pénible James Best. En revanche Warren Oates dans le premier et Cameron Mitchell dans le second font parfaitement bien leur travail alors que Jack Nicholson est plutôt sobre mais aussi parfois un peu terne notamment dans L’Ouragan de la vengeance dans lequel il est vrai il tient un rôle bien moins ‘haut en couleurs’ et charismatique.

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Sinon les deux films partagent de belles recherches dans la composition des plans, une superbe utilisation des paysages désertiques de l’Utah, une ambiance singulière et un ton original, une capacité certaine à faire ressentir l'impression de canicule et de moiteur qui submergent les personnages, un amour des chevaux au moins égal dans leur façon de les filmer à celui de Boetticher, des enjeux dramatiques expressément obscurs et des motivations pas toujours très claires, des détails et actions inexpliqués (un peu comme si les deux films avaient été charcutés au montage)… Certes atypiques, énigmatiques, sortant des sentiers battus et parfois déroutants mais me concernant un peu surfaits et pas totalement aboutis voire parfois assez ennuyeux. A revoir !
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Jeremy Fox
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Jeremy Fox »

pak a écrit :
Jeremy Fox a écrit :

Tu peux te rendre compte si ce sera un nanar à partir d'une simple bande annonce ? Pas moi. Ce ne sera surement pas pire que le Kennedy en tout cas.
Perso, trouvé ça tellement mauvais que j'ai pas été au bout...

Mais j'ai le DVD, je retenterai, des fois, c'est juste une question d'humeur. Mais quand même, Kennedy, ça reste meilleur, de même qu'Andrew V. MacLaglen, tes réalisateurs préférés ! :mrgreen:
:shock: Je pensais que vous exagériez ! Et bien si, c'est pire que le Kennedy ! Et comparativement McLintock est un chef-d’œuvre : d'ailleurs j'ai beaucoup de sympathie pour celui-ci.

Je crois avoir vu là l'un des 5 films les plus nuls, les plus cons et les moins drôles de ma vie. La chronique va être vite torchée. :twisted:
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Rick Blaine
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Rick Blaine »

J'en ai un souvenir assez lointain, mais pas du tout aussi critique. Pas mémorable du tout certes, mais j'ai le vague souvenir d'avoir passé un bon moment.
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Jeremy Fox
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Jeremy Fox »

Ce fut pour moi un véritable calvaire d'autant plus que je m'attendais à être diverti, amusé. Te souviens tu des détourages immondes de Dean Martin et Alain Delon filmés devant des transparences dans de nombreuses scènes où ils sont filmés en plan américain ? J'étais vraiment triste pour les deux comédiens que j'aime pourtant beaucoup. :oops:
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Rick Blaine »

Jeremy Fox a écrit :Ce fut pour moi un véritable calvaire d'autant plus que je m'attendais à être diverti, amusé. Te souviens tu des détourages immondes de Dean Martin et Alain Delon filmés devant des transparences dans de nombreuses scènes où ils sont filmés en plan américain ? J'étais vraiment triste pour les deux comédiens que j'aime pourtant beaucoup. :oops:
Je ne me souviens pas de la facture visuelle du film, mais je dirais qu'elle était probablement assez cheap effectivement. Par contre, j'ai le souvenir d'avoir été amusé. Peu-être étais-je dans un jour de grande mansuétude. :mrgreen:
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Jeremy Fox »

Rick Blaine a écrit : Je ne me souviens pas de la facture visuelle du film
Tu es bien assis ?! :mrgreen:

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Re: Le Western américain : Parcours chronologique IV 1960-1969

Message par Rick Blaine »

:mrgreen:

Effectivement, ça pique...
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