John Payne (1912-1989)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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kiemavel
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par kiemavel »

Jeremy Fox a écrit :J'ai terminé Tripoli en accéléré tellement je l'avais trouvé mauvais et ennuyeux.
Tu n'aimerais probablement pas plus "Le pirate des sept mers" alors…Le grand Sidney Salkow à la réalisation vs. Will Price. Mélange d'aventures et
d'humour dans les 2 cas. Ce sont de toute façon surement les 2 moins bons films parmi ceux que j'énumérais dans mon 1er post dans ce topic.
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Supfiction
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Supfiction »

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Une photo de Claudette Colbert & John Payne relax, je suppose pour la promo de Remember the day. Un film que j'aimerai voir s'il était disponible.

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Jeremy Fox
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Jeremy Fox »

Supfiction a écrit :
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Mon avis sur ce film

Une vieille institutrice vient attendre le discours d'investiture du futur président des USA. Flash back sur la vie de ces deux personnes qu'apparemment tout sépare et qui pourtant se sont cotoyées quelques 20 ans auparavant, la vielle dame ayant été l'institutrice du futur président.
Très jolie tranche d'Americana traitée avec une très grande discrétion et avec la sensibilité toute particulière d'Henry King. 'L'histoire' de l'amitié (amour) d'un jeune élève d'une dizaine d'années pour son institutrice (Claudette Colbert), celle de l'amour de cette dernière pour un de ses collègues, ce qui risque de provoquer le scandale à cette époque (début du siècle) un peu guindée, celle enfin de la vie de tous les jours d'une petite ville américaine comme il y en existe des milliers. Peu de progression dramatique mais une attention toute particulière à ce quotidien décrit une grande justesse. Pas de cris, de larmes, de pleurs, juste la vie de tous les jours.
John Payne et Claudette Colbert sont excellents et le film touchant par sa simplicité.
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Supfiction »

Merci Fox, ton texte donne envie.
Claudette Colbert est une actrice aussi à l'aide dans la comédie que dans le drame et son association avec John Payne doit effectivement valoir le coup.
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Supfiction »

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Crosswinds (1951)

Excellent moment passé devant ce film d'aventure de 1951, Crosswinds alias "L'or de la Nouvelle-Guinée" en français.
Le ténébreux dur à cuir John Payne (tendance Mitchum en plus athlétique) avant de finir dans les bras de la très sexy Rondha Fleming devra défendre chèrement sa peau contre des escrocs en pagaille (les gueules Alan Mowbray et John Abbott et le double malfaisant du héros incarné par Forrest Tucker qui lui vole son bateau avant de se retrouver à ses côtés dans la quête de l'or) et autres "sauvages" et crocodiles. Pas énormément d'action selon les critères actuels, une pointe de romantisme, un scénario simple et pourtant on ne s'ennuie à aucun moment. Le technicolor tire partie de paysages de rêve et bien sûr de la beauté de la belle Rhonda qui illumine le film de sa présence. Le couple Payne-Fleming est très réussi et constitue l'atout majeur de ce bon divertissement de dimanche après midi.
Une vague quête d'un trésor ("l'or" du titre du film est caché dans une épave d'avion) servant de prétexte à l'aventure presque 100% sur mer. Du cinéma pour rêver, ado des années 50 ou adulte du XXIème siècle, ça marche encore, le sourire moqueur en plus (ou non). Un type de cinéma qui s'est malheureusement totalement perdu en dépit de quelques ultimes rejetons (bien moins romantiques et bien plus excitées) dans les années 80 (A la poursuite du diamant vert, Alan Quaterman..).
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Supfiction »

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Captain China / Dans les mers de Chine (1950, de Lewis R. FOSTER, d'après le roman de John et Owen BAGNI)

"Film d'aventures maritimes pas transcendant mais mais dont les 1er rôles se nomment Gail Russell :oops: et John Payne…"

Le capitaine China a un compte a réglé avec son ancien second, Brendensen, après s'être retrouvé seul, ivre et enfermé dans sa cabine et avoir failli couler avec son bateau. Finalement repêché, China est révoqué. Cherchant à retrouver son poste de capitaine déchu, il se retrouve à nouveau en rivalité avec Brendensen, lorsqu'il embarque sur le navire de celui-ci. Il en profite pour régler ses comptes (avec Brendensen mais aussi avec un marin qu'il suspecte de l'avoir enfermé dans sa cabine lors du naufrage).
Gail Russell est une passagère rapidement intrigué par ce quasi-mythique "China" dont tout le monde parle. La rivalité entre China et Brindensen s'accroit alors.
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John Payne n'incarne pas le héros d'aventure valeureux à la Errol Flynn /Tyrone Power. C'est un homme brutal, hargneux, revanchard et qui se bat avant tout pour lui-même. Il faut voir dans quel état quasi bestial il se met lors d'une bagarre sur le pont avec un marin (Lon Chaney Jr), ce qui n'est pas pour déplaire à la belle Gail (dont l'état d'excitation devant la scène est sans équivoque). A cet égard, son personnage est très intéressant, se situant à mi-chemin entre la femme fatale et la jeune femme fragile que l'on trouve d'ordinaire dans le cinéma d'aventure (cf. Virginia Mayo, Olivia de Havilland, etc). Elle est de fait assez proche de certaines héroïnes de western (Angie Dickinson, Rhonda Fleming..).
C'est d'ailleurs elle qui fait le premier pas et s'invite dans la cabine de China, lui faisant le coup du "une allumette ?". On pense à Lauren Bacall face à Bogart dans la fameuse scène du port de l'angoisse.

Le film n'est d'ailleurs pas tout à fait un film d'aventure. S'il commence un peu ainsi, on est en suite un peu frustré par le manque d'action et de rebondissements. On est clairement pas devant un grand film exotique d'aventure mais plutôt devant quelques péripéties maritimes avec une pointe de romance (comme Les naufrageurs des mers du sud mais dans la série B). Sur terre, le scénario aurait également pu être celui d'un (petit) film noir rédempteur. Le film a également un petit côté "Casablanca", son dénouement est d'ailleurs son exact inverse..

S'il y a du John Wayne dans John Payne, carrure aidant, on est pas immédiatement convaincu lorsqu'il enfile sa casquette de capitaine de navire. Trop fougueux peut-être (ou sans doute ai-je été trop marqué par certains de ses rôles de loser magnifique).
En revanche, j'ai trouvé ses (trop courtes) scènes de romance avec Gail très convaincantes. Sans parler de la castagne dans lequel il excelle toujours autant..
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Re: John Payne (1912-1989)

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Sun Valley Serenade - 1941


Avec pour objectif d’attirer les feux sur le Big Band dirigé par Phil Corey (Glenn Miller), le manager du groupe (Milton Berle) annonce à la presse que Ted (John Payne), le pianiste de l’orchestre, a accepté de parrainer un réfugié européen, puisque de l’autre côté de l’océan la Seconde Guerre Mondiale fait rage. Croyant que cet expatrié sera un petit enfant, quelle n'est pas la surprise de Ted quant à sa place il voit arriver une belle norvégienne (Sonja Henie) ! Dès leur rencontre, la charmante nordique n'a plus qu'une idée en tête, se faire épouser de lui alors qu'il est déjà amoureux de la chanteuse du groupe (Lynn Bari). Pensant se défaire de l’encombrante jeune femme en partant jouer dans une station de ski durant la saison d'hiver, il la retrouve pourtant sur les pistes de Sun Valley, continuant de plus belle à le harceler...

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Si le nom du réalisateur Bruce Humberstone ne dit certainement pas grand-chose à nombre d’entre vous, il fut pourtant l’un des cinéastes les plus prolifiques de la 20th Century Fox, homme à tout faire du studio, 'Yes Man' un peu équivalent à Richard Thorpe pour la MGM. Après avoir été l’assistant de King Vidor, Edmund Goulding ou Allan Dwan, aux côtés d’Irving Cummings, Walter Lang et Archie Mayo, c’est lui qui mettra en scène le plus grand nombre des comédies musicales de la Fox, celles avec en têtes d'affiches Betty Grable, Alice Faye, la patineuse Sonja Henie ou encore Carmen Miranda. Si certaines se révèleront très mauvaises (Pin Up Girl), elles auront été le plus souvent extrêmes plaisantes (Hello Frisco, Hello) voire savoureuses comme celle qui nous concerne ici. Mais c’est pour un film noir qu’Humberstone est aujourd’hui surtout connu en France : I Wake Up Screaming dont l’acteur principal, aux côtés de Betty Grable, était Victor Mature, comédien qu’il fera à nouveau tourner dans son deuxième et très sympathique western, Massacre à Furnace Creek, genre qu’il abordera à nouveau en 1955 avec le très bon Dix hommes à abattre (Ten Wanted Men) avec Randolph Scott. Vous aurez compris qu’il s’agit d’un réalisateur à redécouvrir, sans aucun génie mais doté d’un professionnalisme à toutes épreuves.

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Sun Valley Serenade est une comédie musicale représentative de ce que faisait le studio dans le domaine à cette époque. Autant dire que pour les cinéphiles français, il s’agit de tout un pan du cinéma hollywoodien tout à fait obscur si on le compare avec la comédie musicale de la MGM. Et pourtant, ce fut un des genres de prédilection du studio de Darryl F. Zanuck durant les années de guerre, la Fox en produisant presque tout autant que son concurrent direct. Mais, alors que le studio du lion avait sous contrat des noms aussi célèbres que Gene Kelly, Frank Sinatra, Fred Astaire ou Judy Garland, la 20th Century Fox mettait en avant John Payne, Don Ameche, Alice Faye, Betty Grable -la pin-up peinte sur les avions des membres de l’US Air Force- ou Carmen Miranda -la chanteuse aux 'chapeaux fruitiers' surréalistes- ; autant dire des noms qui ne devraient plus dire grand-chose à la plupart car très clairement des comédiens/danseurs/chanteurs d’un niveau de notoriété aujourd’hui bien moindre que ceux de la Metro Goldwin Mayer. Mais la Fox se rattrapera par la suite grâce à de très gros budgets alloués aux adaptations des succès de Richard Rodgers & Oscar Hammerstein qui furent pour la plupart mises en chantier les décennies suivantes et qui obtinrent des succès phénoménaux, le plus célèbre étant toujours à juste titre La Mélodie du bonheur (The Sound of Music) de Robert Wise.

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Pour en revenir à Tu seras mon mari -titre à priori idiot mais qui résume néanmoins assez bien le pitch, celui d’une réfugiée qui n’a qu’une idée en tête et qui va tout mettre en œuvre pour y parvenir : se faire épouser de l’homme qui a accepté de l’adopter-, il s’agit d’une comédie musicale totalement méconnue dans l’Hexagone mais qui devrait dérider les plus dépressifs, sorte de film idéal pour les fêtes de fin d’années d’autant qu’il se déroule au sein de splendides paysages neigeux. Le film est avant tout un véritable festival Glenn Miller puisqu’il s’agira du premier des deux ‘musicals’ dans lesquels il jouera en prenant un autre nom ; le second, Orchestra Wives de Archie Mayo, sera en revanche bien médiocre. Ici, nous avons donc la chance de voir Glenn Miller diriger et jouer ses plus grands tubes de ‘Moonlight Serenade’ à ‘In the Mood’ en passant par ‘Chattanooga Choo Choo’ que chantent une première fois The Modernaires avant qu'il ne soit repris par Dorothy Dandridge dans un numéro au cours duquel les étonnants Nicholas Brothers nous gratifient d'un spectaculaire et acrobatique numéro de claquettes comme seuls ils en ont le secret. Sinon, le reste de l'arrière fond musical instaure une ambiance swinguante et chaleureuse avec surtout au programme le merveilleux ‘It Happened In Sun Valley’ de Harry Warren et Mack Gordon qui revient en leitmotiv ou encore l’amusante ‘The Kiss Polka’. Le duo John Payne/Sonja Henie entonnera également le plaisant ‘I Know Why (and So Do You)’.

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John Payne s’avère ici parfait en pianiste d’orchestre, sorte de mélange de personnage à la Cary Grant et à la James Stewart, tout aussi convaincant dans la romance que dans le splastick (la séquence des chaises au chalet). Après avoir été l'un des principaux jeunes premiers de ces dizaines de comédies musicales de la Fox auprès de Betty Grable ou Alice Faye, il entamera une sorte de seconde partie de carrière dès la fin des années 40 ; cette fois, aux côtés de Rhonda Fleming, Gail Russel ou d'autres aussi belles jeunes femmes, il tournera des dizaines de films d'aventures ou de westerns de série B dont de nombreux réalisés par Lewis R. Foster et Edward Ludwig. L’acteur, dont le nom est aujourd’hui quasiment tombé dans l’oubli, aura pourtant toujours une place de choix dans le cœur des cinéphiles pour avoir été le comédien de prédilection d’Allan Dwan durant les années 50, dans les films que ce dernier tourna avec le producteur Benedict Bogeaus (Silver Lode, Tennessee's Partner...) A cause d’un physique assez neutre et d'un visage quasiment immuable, beaucoup le jugeront fade mais, à l’instar de Randolph Scott, je lui trouve au contraire une certaine élégance de dandy et un jeu à la sobriété exemplaire, ne tablant jamais sur aucunes mimiques ou grimaces, ne cherchant jamais à trop en faire. Certains prendront cette forme d'underplaying pour un manque de talent ; pour ma part, elle me convient et me convainc tout à fait. A ses côtés ici, un Milton Berle assez drôle mais surtout la ‘Esther Williams de la patinoire’, Sonja Henie, triple championne olympique de patinage artistique en 1928, 1932 et 1936, virtuose de la discipline comme nous le prouvent ses deux numéros. Même si meilleure patineuse que comédienne, elle est loin d’être aussi mauvaise qu’on a bien voulu le dire ; en tout cas elle ne manque pas d'énergie, possède un charmant sourire et sa bonne humeur est assez contagieuse.

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Alors certes les séquences à ski sont un peu trop longuement étirées, les transparences assez grossières et enfin l'intrigue loin d'être ni révolutionnaire ni très subtile ; il n’en demeure pas moins que cette comédie musicale s’avère très plaisante surtout qu'elle se déroule dans des endroits montagneux vraiment dépaysants et bien mis en valeur par Bruce Humberstone qui nous régale l’œil en faisant de cette célèbre station de ski américaine de l’Idaho un véritable décor de carte postale. Le film finit un peu abruptement mais c'est à cause d'un petit accident que la patineuse eut lors de son dernier jour de tournage et qui l'empêcha de finir son fameux numéro final sur un lac de glace noircie ; une séquence réglée et chorégraphiée par Hermes Pan, plastiquement très belle. Sans surprises, pas spécialement mémorable ni pour la mise en scène ni pour le scénario, néanmoins un ‘Feel Good Movie’ et l’une des meilleures comédies musicales du studio -également l’un des plus gros hits de l’année 1941-, idéale par son atmosphère et son lieu de tournage pour ces périodes de fêtes de Noël. Pour l'anecdote, ‘Chattanooga Choo Choo’, écrit spécialement pour le film, fut le premier disque à être vendu à plus d’un million d’exemplaires et donc peut se targuer d'avoir été le premier disque d’or de l’histoire de l’industrie musicale.
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Supfiction »

A ne pas rater sur Paramount Elvis&Jerry Channel :
Jack Carter a écrit :le 26 novembre
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Jack Carter »

Elvis&Jerry&Cannon, pour etre plus complet :mrgreen:
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Jeremy Fox »

Excellente interprétation de cet acteur mésestimé et de ses deux compères (dont la ravissante Rhonda... :oops: )
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Jeremy Fox »

Le western du WE n'existe encore pas sur support numérique (messieurs les éditeurs) mais passe en revanche pas plus tard que cette semaine sur Paramount Channel : il s'agit de L'aigle et le vautour de Lewis R. Foster.
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Jeremy Fox »

Notre western du WE, Seul contre tous de Jesse Hibbs n'existe encore pas en DVD ; si ce texte pouvait donner des idées à Sidonis... :fiou:
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Jeremy Fox »

Le western du Week end est La Ville sous le joug de Edward Ludwig qui ne bénéficie pas encore de galette numérique mais que l'on peut voir de temps en temps sur Paramount Channel.
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Re: John Payne (1912-1989)

Message par Jeremy Fox »

Sun Valley Serenade de Bruce Humberstone : notre comédie musicale de Noël. Les amateurs de Glenn Miller devraient être à la fête.
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