Les films les plus improbables
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Re: Les films les plus improbables
Très etrange de voir la version VF sur YT qui dure moins d'une heure ... que manque t il?
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Re: Les films les plus improbables
On en a déjà parlé dans le topic des news ciné US, voici un film qui aura assurément sa place dans ce topic, si l'on en croit sa bande annonce :
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Re: Les films les plus improbables
Des minutes par ci par la, tu vois un jump vers 18'15" ou l'on passe de Douglas qui descend de cheval a Arnold a table: il manque 1mn de Douglas dans le saloon etc...hansolo a écrit :Très etrange de voir la version VF sur YT qui dure moins d'une heure ... que manque t il?
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Re: Les films les plus improbables
c'est assez sympa Cactus Jack : une version live du Road Runner avec Kirk Douglas en Vil Coyote et le couple Ann-Margret-Arnold Schwarzenegger en Bip-Bip... Et la version Youtube est clairement une version tronquée à éviter.Chdx a écrit :Des minutes par ci par la, tu vois un jump vers 18'15" ou l'on passe de Douglas qui descend de cheval a Arnold a table: il manque 1mn de Douglas dans le saloon etc...hansolo a écrit :Très etrange de voir la version VF sur YT qui dure moins d'une heure ... que manque t il?
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Re: Les films les plus improbables
VOLUPTUEUSE LAURA de l'indispensable Joe d'Amato
Attention spoilers!
Eva (Laura Gemser) fait à Hong Kong un numéro de danse avec un serpent. Elle se sent toute chaude à imaginer les reptiles sur son corps et rencontre un vieux (Jack Palance) passionné par les serpents qui tombe amoureux d'elle. Mais Eva lui préfère une femme. Le vieux se fâche et, jaloux, fait tuer la copine par un mec qui balance dans la chambre des jeunes filles un méchant mamba. Du coup Eva se venge en attrapant le méchant monsieur et en lui rentrant un serpent dans le cul. Puis elle retrouve le vieux, qui est en réalité son papa traumatisé parce que sa femme l'avait quitté pour une autre femme. Eva danse avec un mamba, se fait mordre et meurt.
Malgré les apparences c'est plus zarbi que sexy même si ça touche à l'inceste, la zoophilie et l'homosexualité féminine.
C'est aussi très lent et curieux mais la musique est sympa, le casting chouette et puis bon Laura Gemser nue c'est jamais un mauvais plan.
Curieux donc
Attention spoilers!
Eva (Laura Gemser) fait à Hong Kong un numéro de danse avec un serpent. Elle se sent toute chaude à imaginer les reptiles sur son corps et rencontre un vieux (Jack Palance) passionné par les serpents qui tombe amoureux d'elle. Mais Eva lui préfère une femme. Le vieux se fâche et, jaloux, fait tuer la copine par un mec qui balance dans la chambre des jeunes filles un méchant mamba. Du coup Eva se venge en attrapant le méchant monsieur et en lui rentrant un serpent dans le cul. Puis elle retrouve le vieux, qui est en réalité son papa traumatisé parce que sa femme l'avait quitté pour une autre femme. Eva danse avec un mamba, se fait mordre et meurt.
Malgré les apparences c'est plus zarbi que sexy même si ça touche à l'inceste, la zoophilie et l'homosexualité féminine.
C'est aussi très lent et curieux mais la musique est sympa, le casting chouette et puis bon Laura Gemser nue c'est jamais un mauvais plan.
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La planète des tempêtes
Curiosité, "La planète des tempêtes" disponible encore quelques jours sur Arte+7, en version multilingue : http://www.arte.tv/guide/fr/063603-000- ... escription et http://television.telerama.fr/televisio ... 145767.php
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Re: Les films les plus improbables
Ah oui, c'était bien gratiné.
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Re: Les films les plus improbables
Très agréablement surpris de la qualité de la copie!
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Re: Les films les plus improbables
Pas tout lu mais :
- What a flash (JM Barjol - 1972) Un film de dingues pour les dingues. Je ne sais pas s'il existe un dvd par contre. http://www.imdb.com/title/tt0260556/?ref_=fn_al_tt_1
- Johan (mon été 75) (P Vallois - 1976) Un film d'homos assez bon, une curiosité de l'avant sida, d'une folle liberté. A voir. http://www.imdb.com/title/tt0222067/?ref_=fn_al_tt_3
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Re: Les films les plus improbables
Oui il en existe un, on me l'a offert... toujours pas regardé. J’appréhende.bronski a écrit :- What a flash (JM Barjol - 1972) Un film de dingues pour les dingues. Je ne sais pas s'il existe un dvd par contre. http://www.imdb.com/title/tt0260556/?ref_=fn_al_tt_1
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Les films les plus improbables
Voilà un film parfait pour Pâques à montrer aux enfants (surtout s'ils veulent avoir un lapin à la maison)! Et les Monty Python n'ont qu'à bien se tenir!
Avec quand même Janet Leigh, Stuart Whitman, Rory Calhoun (sur le retour).
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Re: Les films les plus improbables
Film très sympa sur le thème des animaux agressifs, c'est sur qu'avec des rats à la place des lapins ça aurait fait moins sourire mais n'empêche que c'est plaisant.O'Malley a écrit :Voilà un film parfait pour Pâques à montrer aux enfants (surtout s'ils veulent avoir un lapin à la maison)! Et les Monty Python n'ont qu'à bien se tenir!
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Re: Les films les plus improbables
Je savais pas trop où mettre ça et je suis même pas sur qu'il faille en parler... Mais pour la postérité et les génération futures, c'est important quand même.
J'ai oublié de vivre / Me olvidé de vivir (Orlando Jiménez Leal - 1978)
Julio Iglesias
Voilà. La critique pourrait s'arrêter ici. Pas forcément pour dire en ricanant "ahaha, c'est un film avec Julio Iglesias, la te-hon"... Non, juste pour signifier que le film ne raconte rien de plus. 10 ans après La vida sigue igual, Julio revient pour la seconde et dernière fois devant la caméra et joue de nouveau son propre rôle dans un exercice étourdissant de mise en abîme. Imaginez : Julio est en tournée, un peu las. Il rencontre une fille, le début des amours mais la vie d'un chanteur mondialement idolâtré n'est pas de tout repos, et comme pour Spiderman, impose de grandes responsabilités. Il finira donc seul, une fois de plus, après un généreux concert devant son public transi d'amour.
Celà dit, il n'est pas sûr que Julio ai compris qu'il tournait un film. Un producteur avisé a du lui faire croire qu'il s'agissait de film de vacances... ou de plusieurs clip pour accompagner sa tournée... ou d'une réclame pour une marque d'alcool. Quoiqu'il en soit, Julio (le comédien) ne semble pas faire attention qu'une caméra le suit en permanence. L'équipe technique aussi sans doute qui laisse passer quelques détails ahurissant qui ne le mettent pas en valeur comme des tâches marrons sur le derrière de son pantalon blanc... Il n'avait peut-être plus de Julio de papier toilette.
En tout cas, Julio a l'air constamment perdu et à côté de la plaque. Périphrase pour dire qu'il a surtout l'air constamment bourré en fait (au mieux). Ca donne des moments d'une niaiserie absolu tel l'escapade motorisée sur la plage ou des moments plus gênant comme un duo douloureux dans un bar new-yorkais.
En fait le film possède pas mal de détails presque dérangeants à l'instar des choristes jumelles flippantes ou de la tonalité du concert final qui paraissent dire le contraire de leur ambition.
Cette séance de diaporama de 90 minutes, qui aurait pu être sponsorisé par "Salut les copain", est difficile à imaginer et à décrire puisqu'il s'agit d'une créature totalement dénuée de dramaturgie. Avec pour étrange particularité de n'être pas le plus ennuyant des navets que j'ai pu croisé puisqu'il n'essaye même pas d'être cinématographique, créant un flottement curieux, un suspens "extradiégétique" : le film va-t-il finalement raconter quelque chose lors de la séquence suivante ou non ?
Conçu pour une diffusion dans les pays latins, le film a connu un doublage français mais les distributeurs ont sans doute pris peur et ne l'ont pas distribué en salles (seulement en VHS à priori et en petit tirage). Ne me demander pas comment un ami s'est retrouvé avec la copie 35mm française d'époque (la seule ?), il ne saurait pas l'expliquer lui-même mais c'est une pièce de choix de sa collection.
Et dire que Kevin95 n'était pas même pas là.
J'ai oublié de vivre / Me olvidé de vivir (Orlando Jiménez Leal - 1978)
Julio Iglesias
Voilà. La critique pourrait s'arrêter ici. Pas forcément pour dire en ricanant "ahaha, c'est un film avec Julio Iglesias, la te-hon"... Non, juste pour signifier que le film ne raconte rien de plus. 10 ans après La vida sigue igual, Julio revient pour la seconde et dernière fois devant la caméra et joue de nouveau son propre rôle dans un exercice étourdissant de mise en abîme. Imaginez : Julio est en tournée, un peu las. Il rencontre une fille, le début des amours mais la vie d'un chanteur mondialement idolâtré n'est pas de tout repos, et comme pour Spiderman, impose de grandes responsabilités. Il finira donc seul, une fois de plus, après un généreux concert devant son public transi d'amour.
Celà dit, il n'est pas sûr que Julio ai compris qu'il tournait un film. Un producteur avisé a du lui faire croire qu'il s'agissait de film de vacances... ou de plusieurs clip pour accompagner sa tournée... ou d'une réclame pour une marque d'alcool. Quoiqu'il en soit, Julio (le comédien) ne semble pas faire attention qu'une caméra le suit en permanence. L'équipe technique aussi sans doute qui laisse passer quelques détails ahurissant qui ne le mettent pas en valeur comme des tâches marrons sur le derrière de son pantalon blanc... Il n'avait peut-être plus de Julio de papier toilette.
En tout cas, Julio a l'air constamment perdu et à côté de la plaque. Périphrase pour dire qu'il a surtout l'air constamment bourré en fait (au mieux). Ca donne des moments d'une niaiserie absolu tel l'escapade motorisée sur la plage ou des moments plus gênant comme un duo douloureux dans un bar new-yorkais.
En fait le film possède pas mal de détails presque dérangeants à l'instar des choristes jumelles flippantes ou de la tonalité du concert final qui paraissent dire le contraire de leur ambition.
Cette séance de diaporama de 90 minutes, qui aurait pu être sponsorisé par "Salut les copain", est difficile à imaginer et à décrire puisqu'il s'agit d'une créature totalement dénuée de dramaturgie. Avec pour étrange particularité de n'être pas le plus ennuyant des navets que j'ai pu croisé puisqu'il n'essaye même pas d'être cinématographique, créant un flottement curieux, un suspens "extradiégétique" : le film va-t-il finalement raconter quelque chose lors de la séquence suivante ou non ?
Conçu pour une diffusion dans les pays latins, le film a connu un doublage français mais les distributeurs ont sans doute pris peur et ne l'ont pas distribué en salles (seulement en VHS à priori et en petit tirage). Ne me demander pas comment un ami s'est retrouvé avec la copie 35mm française d'époque (la seule ?), il ne saurait pas l'expliquer lui-même mais c'est une pièce de choix de sa collection.
Et dire que Kevin95 n'était pas même pas là.
Dernière modification par bruce randylan le 5 mai 18, 01:15, modifié 1 fois.
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
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Re: Les films les plus improbables
Carol Linley !!! La jolie pépée de El Perdido ? Oh lala ! (sur le moment, j'ai confondu avec Laura Linney et je n'ai pas très bien compris ce qui se passait ).
Elle était mimi quand elle était jeune. Quand on voit des photos récentes, ça fait super mal au coeur.
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bruce randylan a écrit :... Il n'avait peut-être plus de Julio de papier toilette. ...
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