Les films les plus improbables

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Dale Cooper
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Re: Les films les plus improbables

Message par Dale Cooper »

Federico a écrit :
bruce randylan a écrit : Un de mes films cultes de ma jeunesse. Je le voyais très souvent vers 12-15 ans. Je me demande comment ça a vieilli. Rien que l'idée d'utiliser des chansons comme chronomètres en fait un film incontournable :D
Il m'éclatait bien avec son esprit cartoon... et j'ai hélas pas mal déchanté en le revoyant il y a 2 ou 3 ans, même malgré Andie MacDowell (de loin la nonne la plus chouquette depuis Deborah Kerr et Shirley MacLaine :oops: ) et le numéro de cette cintrée de Sandra "Bunny Ba-balls" Bernhard. Tout ça pour répondre à ta question : eh ben, non, il n'a pas super bien vieilli....:?
À sa sortie, ce film devait déjà être très, très pénible. D'ailleurs il avait cartonné aux Razzie Awards... Même ado, je trouvais ça con-con et c'était dur d'arriver jusqu'à la fin. Mais j'aimais bien aussi l'idée du casse sur une chanson évoqué par Bruce Randylan (reste sur ton souvenir, c'est un conseil).
25 ans avant et dans le genre délirant, Les Tribulations d'un Chinois en Chine allait beaucoup plus loin dans le nawak et pourtant se laissait suivre jusqu'au bout.
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Message par Federico »

Dale Cooper a écrit :
Spoiler (cliquez pour afficher)
Federico a écrit : Il m'éclatait bien avec son esprit cartoon... et j'ai hélas pas mal déchanté en le revoyant il y a 2 ou 3 ans, même malgré Andie MacDowell (de loin la nonne la plus chouquette depuis Deborah Kerr et Shirley MacLaine :oops: ) et le numéro de cette cintrée de Sandra "Bunny Ba-balls" Bernhard. Tout ça pour répondre à ta question : eh ben, non, il n'a pas super bien vieilli....:?
À sa sortie, ce film devait déjà être très, très pénible. D'ailleurs il avait cartonné aux Razzie Awards... Même ado, je trouvais ça con-con et c'était dur d'arriver jusqu'à la fin. Mais j'aimais bien aussi l'idée du casse sur une chanson évoqué par Bruce Randylan (reste sur ton souvenir, c'est un conseil).
25 ans avant et dans le genre délirant, Les Tribulations d'un Chinois en Chine allait beaucoup plus loin dans le nawak et pourtant se laissait suivre jusqu'au bout.
Alors là, tant qu'à choisir, je crois que je préfère encore revoir HH. De Broca est l'un de mes cinéastes de chevet mais pas pour ce film-là (mélange maladroit et fatigant de Verne et Hergé). :|
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Message par lecoinducinéphage »

tenia a écrit :
onvaalapub a écrit :Image
Ça ça avait l'air bien :mrgreen:
Et je l'ai vu. Et c'est aussi hilarant qu'on peut le lire ci et là, mais une précaution avant tout : prévoir une bonne quantité de pinard pour accompagner. :mrgreen:

Cette nuit sur TF1... à trois heures du matin ! Vieux moutard... http://www.allocine.fr/article/ficheart ... 41937.html
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Re: Les films les plus improbables

Message par Federico »

Le grand Ornette Coleman étant parti casser une p'tite graine sans donner d'infos sur son retour, j'ai voulu voir quelles furent ses contributions au cinéma. Eh ben on ne peut pas dire qu'on fit souvent appel à lui... mais - et ce n'est pas si étonnant que ça en fin de compte - il participa à ce qui semble bien être un drôle de machin pas commun :
Image

Chappaqua (1966 Conrad Rooks)
Un "beat movie" autobiographique et auto-produit où le jeune (et très friqué) réalisateur raconte ses virées extatico-junkies et son autre "trip" européen de désintoxication. Je ne l'ai pas encore regardé, juste des extraits et sa bande-annonce, mais ça promet.
Ce qui laisse rêveur, c'est aussi sa distribution et son équipe technique parce que je ne pense qu'il existe d'autres films (même de cette période foldingue friande en castings bricolés entre deux rails sur un yacht florido-monégasque) où l'on croise à la fois - les alors quasi inévitables - William Burroughs et Allen Ginsberg mais aussi Jean-Louis Barrault :shock: , Hervé Villechaize :o , Jacques Seiler (excellent second couteau qui fit les beaux jours de grandes séries ORTF, notamment en complice de Vidocq), Ravi Shankar, Moondog :o :D , les Fugs, l'ex-star du Crazy Horse Rita Renoir, la petite vedette yé-yé-twist Moustique et donc aussi Ornette qui apparait en amateur de peyotl.

Pour la zik, tous les noms cités plus haut et à la supervision un p'tit jeunot, un certain Philip Glas (dont ce serait apparemment le tout premier travail pour le cinéma).

A la caméra, ni plus ni moins que Robert Frank, Etienne Becker et le vieux maître Eugen Schüfftan !

Avouez que ça dépote pas qu'un peu, non ? Bon, maintenant, va falloir vérifier le résultat sur pièce...
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Message par lecoinducinéphage »

Federico a écrit :Le grand Ornette Coleman étant parti casser une p'tite graine sans donner d'infos sur son retour, j'ai voulu voir quelles furent ses contributions au cinéma. Eh ben on ne peut pas dire qu'on fit souvent appel à lui... mais - et ce n'est pas si étonnant que ça en fin de compte - il participa à ce qui semble bien être un drôle de machin pas commun :
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Chappaqua (1966 Conrad Rooks)
Un "beat movie" autobiographique et auto-produit où le jeune (et très friqué) réalisateur raconte ses virées extatico-junkies et son autre "trip" européen de désintoxication. Je ne l'ai pas encore regardé, juste des extraits et sa bande-annonce, mais ça promet.
Ce qui laisse rêveur, c'est aussi sa distribution et son équipe technique parce que je ne pense qu'il existe d'autres films (même de cette période foldingue friande en castings bricolés entre deux rails sur un yacht florido-monégasque) où l'on croise à la fois - les alors quasi inévitables - William Burroughs et Allen Ginsberg mais aussi Jean-Louis Barrault :shock: , Hervé Villechaize :o , Jacques Seiler (excellent second couteau qui fit les beaux jours de grandes séries ORTF, notamment en complice de Vidocq), Ravi Shankar, Moondog :o :D , les Fugs, l'ex-star du Crazy Horse Rita Renoir, la petite vedette yé-yé-twist Moustique et donc aussi Ornette qui apparait en amateur de peyotl.

Pour la zik, tous les noms cités plus haut et à la supervision un p'tit jeunot, un certain Philip Glas (dont ce serait apparemment le tout premier travail pour le cinéma).

A la caméra, ni plus ni moins que Robert Frank, Etienne Becker et le vieux maître Eugen Schüfftan !

Avouez que ça dépote pas qu'un peu, non ? Bon, maintenant, va falloir vérifier le résultat sur pièce...

Je me souviens du témoignage de Pascal Aubier qui travailla sur le film, Conrad Rooks avait demandé quel était le plus grand comédien français, on lui répondit Jean-Louis Barrault, il fut engagé en suivant et très bien payé
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Re: Les films les plus improbables

Message par Federico »

lecoinducinéphage a écrit :Je me souviens du témoignage de Pascal Aubier qui travailla sur le film, Conrad Rooks avait demandé quel était le plus grand comédien français, on lui répondit Jean-Louis Barrault, il fut engagé en suivant et très bien payé
Il n'avait pas du voir Le testament du Dr Cordelier... :mrgreen: :uhuh:
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Dale Cooper
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onvaalapub a écrit :Image


"Préparé à tout... presque tout"
C'est une bande-annonce de Bruce Randylan ou quoi?
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Message par Edouard »

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Pas du naphta mais tant pis !
Le casting n'est pas piqué des hannetons, je trouve.
Pour ceux qui n'ont pas fait langue de bois commerciale en première langue par Samïn Faïrouze il faut comprendre Smaïn tout court et pour Lorie Pester, c'est Lorie, tout court aussi (dans ce cas là, pourquoi ne pas avoir pris son vraie nom de Laure Pester ? Mystère et boule de gomme). Qui sont donc dans un film avec Mike Tyson. :uhuh:

Un mot sur le pitch qui vaut lui aussi son pesant de cacahuètes: un terroriste veut le retour de l'OAS... en 2015. Tout un programme !

A noter que dans ce bordel, Tyson... joue son propre rôle ! :shock:
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Message par Commissaire Juve »

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Joey Starr, Eric Cantona, Vanessa Paradis et Laetitia Casta n'étaient pas libres ?
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
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Message par Edouard »

Commissaire Juve a écrit :Image

Joey Starr, Eric Cantona, Vanessa Paradis et Laetitia Casta n'étaient pas libres ?
:lol:
Cadeau bonus spécial dédicace pour toi Commissaire: THE Bande Annonce. Normal si c'est manichéen c'est sorti pour fêter le cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. Normal si c'est mal joué, t'as vu le casting !

Je voulais aller voir ce... hum... "film"au ciné mais personne ne voulait se l'infliger. Or, rien de plus triste que de voir un nanar tout seul.
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Message par bruce randylan »

Dale Cooper a écrit :

"Préparé à tout... presque tout"
C'est une bande-annonce de Bruce Randylan quoi?
Hein ? Quoi ? Comment ? Te moquerais-tu de ma dyslexie, bougre de chenapan ? :(
Spoiler (cliquez pour afficher)
Mais par contre, si tu veux voir une de mes bandes-annonces, tu peux aller ici, en bas de la page !
http://www.ocs.fr/les-programmes
C'est moi qui ai fait celle du mois Juin 8)
(bon, le mixeur a un peu foiré certains passages et on a rajouté derrière mon dos les plans de football américain de la dernière partie)

Sinon, dans l'improbable, j'ai vu un champion toute catégorie hier

J'ai avorté Mr le procureur (Rob Houwer, Eberhard Schröder - 1971)

Bien gratiné celui-ci : il s'agit d'un film d'exploitation allemand sur le doux thème de l'avortement.
En gros, vous prenez un aspect sociologique majeur du pays (l'interdiction de l'IVG et le recours donc à des interventions clandestines) pour "accoucher" d'un film à sketch où une petite dizaine d'exemples sont évoqués...

Amateurs du bon gout et du raffinement, ce film est pour vous : gamine de 13 ans violée, appartement ou camionnette reconvertie en salle d'opération, patron libidineux, praticien véreux profitant de la détresse de ses patientes, jeune femme campagnarde extirpant de l'argent à ses nombreux amants ou une adolescente enceinte, fille d'un maire soucieux de sa réputation.

Certaines séquences vont tellement loin dans le sordide (soft) racoleur que ça en devient honteusement drôle, surtout quand le cinéaste s'essaye a des métaphores visuelles affligeantes tel un violeur dégustant avec les doigts le gâteau que devait ramener la fillette à l'occasion de la Fête des Mères (et qui finira écrasé par la voiture des criminels) ou les roses que coupent une maman alors que sa fille hésite à évoquer sa grossesse. Sans oublier bien-sur un avortement dont la douleur donne des spasmes à une femme qui viennent secouer une poupée. Lubitsch n'est pas loin. :mrgreen:

Mais ce n'est encore rien en comparaison des séquences les plus douteuses. Notons la camionnette qui enchaine les opérations dans des conditions rudimentaires sans le moindre tact ou considération (avec un suspens ridicule sur deux flics en patrouille rôdant autour du véhicule). Celle sur le médecin est encore plus surréaliste puisque ce dernier se permet de photographier ses patientes sous toutes les coutures (en prenant le temps de changer d'appareil :lol: ) avant de les violer dans un élan de cynisme stupéfiant tandis que le mari se morfond dans une salle d'attente aux posters tout autant poétiques.

Tout n'est pas noir heureusement dans ce monde et il faut aussi des passages plus légers et positifs (la campagnarde et la secrétaire qui trouve l'amour alors qu'elle se rendait dans une clinique anglaise, pouvant ainsi garder le fruit de sa liaison avec son patron qu'elle remettra tout de même à sa place).
Il va sans dire que toutes ses petites histoires sont des prétextes pour dévêtir les actrices, souvent intégralement et que très peu sont les allemandes à porter des sous-vêtements il faut croire. Une exception tout de même : La fillette de 13 ans (bien qu'interprétée par une comédienne plus âgée)... mais pour compenser, on trouve quand même une petite scène où ces gamines montrent innocemment leurs petites culottes lors d'activités physiques dans un square. :lol:

Un peu comme un Mondo, le tout est "légitimé" par des séquences reportages avec micro-trottoir donnant la parole à la population. Plus surprenant, le commentaire vient rappeler (avec trémolos dans la voix), que oui, les femmes souffrent et qu'elles doivent avoir le droit de disposer de leur corps comme bon leurs semble. Pour peu, on croirait presque a la sincérité de la démarche de cette œuvre engagée et d'utilité public.
A noter aussi que Sybil Danning y joue un petit rôle, encadrant le récit pour mieux lui donner sa dimension de fable morale. Car oui, même l'épouse d'un procureur réactionnaire et intransigeant peut elle aussi avorter illégalement. Un twist puissant donc.

Il va sans dire que la VF est du niveau de la chose.

A ranger au chaud à côté de Suède, entre enfer et Paradis.

Ps : le film demeure le 9ème plus gros succès d'un film allemand aux USA :shock:
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Commissaire Juve
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Message par Commissaire Juve »

Edouard a écrit :
Commissaire Juve a écrit :Image

Joey Starr, Eric Cantona, Vanessa Paradis et Laetitia Casta n'étaient pas libres ?
:lol:
Cadeau bonus spécial dédicace pour toi Commissaire: THE Bande Annonce. Normal si c'est manichéen c'est sorti pour fêter le cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. Normal si c'est mal joué, t'as vu le casting !

Je voulais aller voir ce... hum... "film"au ciné mais personne ne voulait se l'infliger. Or, rien de plus triste que de voir un nanar tout seul.
Ah la vache ! :?

C'est un peu comme dans "Le Deal" (avec William H. Macy et Meg Ryan) : où des mecs transforment un biopic sur Benjamin Disraeli (1804-1881... deux fois 1er ministre du Royaume-Uni) en Ben Disraeli : Freedom Fighter, une histoire de Rambo juif joué par un noir converti au judaïsme. :lol: (il y a une scène de lancer de grenade -- par une comédienne qui n'a rien dans les bras -- assez drôle)

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Dans ton film, quand Lorie tire au pistolet, on sent que les flingues lui restent dans les mains par miracle ! :mrgreen:
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Re: Les films les plus improbables

Message par Edouard »

Commissaire Juve a écrit :
Edouard a écrit :
:lol:
Cadeau bonus spécial dédicace pour toi Commissaire: THE Bande Annonce. Normal si c'est manichéen c'est sorti pour fêter le cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. Normal si c'est mal joué, t'as vu le casting !

Je voulais aller voir ce... hum... "film"au ciné mais personne ne voulait se l'infliger. Or, rien de plus triste que de voir un nanar tout seul.
Ah la vache ! :?

C'est un peu comme dans "Le Deal" (avec William H. Macy et Meg Ryan) : où des mecs transforment un biopic sur Benjamin Disraeli (1804-1881... deux fois 1er ministre du Royaume-Uni) en Ben Disraeli : Freedom Fighter, une histoire de Rambo juif joué par un noir converti au judaïsme. :lol: (il y a une scène de lancer de grenade -- par une comédienne qui n'a rien dans les bras -- assez drôle)

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Dans ton film, quand Lorie tire au pistolet, on sent que les flingues lui restent dans les mains par miracle ! :mrgreen:
J'aime bien le look de Lorie, ultra différent de son look habituel manière de dire "rôle de composition; c'est l'actrice et non la chanteuse que vous admirez; c'est son Tchao Pantin". Sergio Leone avait eu l'intelligence de garder le look normal d'Henry Fonda pour Il était une fois dans l'Ouest. Mais au vu de la BA , on peut affrimer sans exagération aucune que Jean-Marc Minéo n'est définitivement pas Sergio Leone.

Mais ce que j'aime le plus, c'est le jeu de Smaïn: rien que dans la BA il est complètement à la ramasse, à côté de la plaque, nul et se la joue "chef gros dur".

Sérieux, j'ai hâte de le trouver à 3 €, si possible en BR, dans un supermarché car on tient, j'en suis certain, une belle bête de concours !
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Re: Les films les plus improbables

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Re: Les films les plus improbables.

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bruce randylan a écrit :
Dale Cooper a écrit :"Préparé à tout... presque tout"
C'est une bande-annonce de Bruce Randylan quoi?
Hein ? Quoi ? Comment ? Te moquerais-tu de ma dyslexie, bougre de chenapan ? :(
Ça et le côté montage de film d'action HK qui nous empêche d'apprécier le jeu des comédiens et la magnifique photo.
Sympa ta BA. T'as dû aussi te farcir Glee pour trouver un ou plusieurs passages "intéressants" pour les raccords? Arf mon pauvre vieux...
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