Ben de Sidonis, tout simplement, ça me parait important de préciser ce "d'on ne sait où", même si l'éditeur n'a rien à voir avec la conception du film, par contre pour sa découverte, là, une fois de plus, bravo...Jeremy Fox a écrit :Retour en cette année 1959 bénie pour le genre avec une étonnante surprise sortie d'on ne sait où : Face of a Fugitive de Paul Wendkos.
Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Le cinéma : "Il est probable que cette marotte disparaîtra dans les prochaines années."
Extrait d'un article paru dans The Independent (1910)
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
pak a écrit :Ben de Sidonis, tout simplement, ça me parait important de préciser ce "d'on ne sait où", même si l'éditeur n'a rien à voir avec la conception du film, par contre pour sa découverte, là, une fois de plus, bravo...Jeremy Fox a écrit :Retour en cette année 1959 bénie pour le genre avec une étonnante surprise sortie d'on ne sait où : Face of a Fugitive de Paul Wendkos.
Oui c'était une expression pour dire qu'on ne l'avait pas vu venir puisqu'il s'agissait d'un western totalement méconnu. La conclusion de mon texte était d'ailleurs la tienne
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
C'est de qui?
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Alexandre Angel a écrit :C'est de qui?
Russell Rouse : un sérieux concurrent pour Jacques Dorfman
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Ah oui, il faudrait que je revoie La première balle tueJeremy Fox a écrit :Russell Rouse
pas comprisJeremy Fox a écrit : un sérieux concurrent pour Jacques Dorfman
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Alexandre Angel a écrit :pas comprisJeremy Fox a écrit : un sérieux concurrent pour Jacques Dorfman
Vercingetorix Rentrerait facilement dans le top des films les plus ridicules ou (et) nuls de l'histoire du cinéma !
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Ah merde, je suis déçu
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Alexandre Angel a écrit :Ah merde, je suis déçu
Désolé pour la fausse joie Il est réputé pour sa ringardise mais je ne m'attendais pas à ça
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Gott Ver Domi, bon sang mais c'est bien sûr : c'est le film avec les Basques !!!
Rassure-toi je rêve de le voir
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Alexandre Angel a écrit :Gott Ver Domi, bon sang mais c'est bien sûr : c'est le film avec les Basques !!!
Rassure-toi je rêve de le voir
A ta place, je cauchemarderais de le voir et je me ferais payer pour le faire. A moins de le regarder bourré avec une bande de potes.
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Bonne idéeJeremy Fox a écrit :Alexandre Angel a écrit :Gott Ver Domi, bon sang mais c'est bien sûr : c'est le film avec les Basques !!!
Rassure-toi je rêve de le voir
A ta place, je cauchemarderais de le voir et je me ferais payer pour le faire. A moins de le regarder bourré avec une bande de potes. :mrgreen:
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Ah tiens, je l'ai vu en 35 mm celui-là.
C'est vrai que c'était gratiné. Mais on peut pas dire que c'est pas original
Le genre de truc improbable que j'avais trouvé "attachant" (faudrait que je retrouve mon avis plus complet)
C'est vrai que c'était gratiné. Mais on peut pas dire que c'est pas original
Le genre de truc improbable que j'avais trouvé "attachant" (faudrait que je retrouve mon avis plus complet)
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Oui enfin, le western avec les nains aussi était original... dans son postulat de départ. Mais de l'originalité comme ça, je peux largement m'en passerbruce randylan a écrit :Ah tiens, je l'ai vu en 35 mm celui-là.
C'est vrai que c'était gratiné. Mais on peut pas dire que c'est pas original
Je préfère un bon western conventionnel à un mauvais western original. Là c'est ridicule, cheap et crétin du début à la fin.
Le cri de guerre des basques (boules Quies recommandées), l'attaque des indiens au cours de laquelle les basques se transforment en kangourous en sautant sur des trampolines, la mort gratinée du rival en amour au bout de 30 minutes... j'en passe et des "meilleurs". J'étais gêné pour Susan Hayward et son accent soi disant français. Là franchement on a atteint des tréfonds de j'menfoutisme à tous les niveaux.
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Re: Le Western américain : Parcours chronologique III 1955-1959
Retour rapide sur l'année 1959 qui n'a pas donné que des chefs-d’œuvre du genre : la preuve avec Caravane vers le soleil de Russell Rouse.