Ce n'est pas chez OCS, c'est en général, et les génériques en français, ça a toujours été le cas, surtout quand c'est une version VM, c'est logique que cela soit destiné à la majeure partie du public qui n'aime pas les VF. Au moins maintenant on peut voir les films en VOST à la télévision, même si les sous-titres disparaissent régulièrement chez Orange, notamment sur Géants !Viggy Simmons a écrit :C'est uniquement pour le replay d'excellentes séries que je garde encore OCS... Pour les films, ça tient presque du foutage de gueule.
Autre truc que je n'aime pas chez OCS : ils ont tendance à montrer les génériques traduits en français au lieu des génériques originaux.
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Sur Netflix France, les génériques ne sont jamais traduits.Cathy a écrit : Ce n'est pas chez OCS, c'est en général, et les génériques en français, ça a toujours été le cas, surtout quand c'est une version VM, c'est logique que cela soit destiné à la majeure partie du public qui n'aime pas les VF. Au moins maintenant on peut voir les films en VOST à la télévision, même si les sous-titres disparaissent régulièrement chez Orange, notamment sur Géants !
C'est à OCS de suivre la voie.
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
On ne peut pas comparer Netflix qui a une diffusion quand même confidentielle et Ciné Orange ainsi que toutes les chaines de la télévision !
Je ne vois pas en plus le problème de voir un générique traduit, si le film ou la série est diffusée en VOST ! La majorité des spectateurs regardent les films et les séries en VF, donc logique que cela soit destiné à la majorité !
Je ne vois pas en plus le problème de voir un générique traduit, si le film ou la série est diffusée en VOST ! La majorité des spectateurs regardent les films et les séries en VF, donc logique que cela soit destiné à la majorité !
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Mardi 6 juin
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Tiens pour une fois une vraie rareté, même s'il est sorti en DVD dans les coffrets dédiés à la Screwball, le film n'était pas sous-titré, donc plutôt une bonne nouvelle !Jack Carter a écrit :Mardi 6 juin
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Ce qui aurait été bien c'est de passer aussi le Quine, afin de comparer, mais c'est déjà très bien. Que OCS continue dans cette voie!Cathy a écrit :Tiens pour une fois une vraie rareté, même s'il est sorti en DVD dans les coffrets dédiés à la Screwball, le film n'était pas sous-titré, donc plutôt une bonne nouvelle !Jack Carter a écrit :Mardi 6 juin
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
J'ai vu les deux et voilà ce que j'en disais. Maintenant je ne suis pas fan de Rosalind Russell
My Sister Eileen (1942) - Alexander Hall
Deux soeurs décident de quitter leur Ohio natal pour réussir à New York, Ruth veut devenir écrivain, et Eileen actrice de théâtre. Cette dernière rend fou tous les hommes qui l'approchent.
Ici nous sommes dans la screwball type, une histoire anecdotique et des dialogues fournis, des personnages débitant à toute vitesse leurs répliques et des situations totalement folles. My sister Eileen est avant tout une pièce de théâtre et cela se sent, on a l'impression d'une succession de scènes avec le plan final de chacune où le rideau devait tomber, les portes claquent, les acteurs entrent et sortent à toute vitesse. Le scénario repose sur ces personnages tous plus farfelus les uns que les autres qui se retrouvent tous dans le studio des deux soeurs niché dans l'entresol d'un immeuble. Mais finalement les scènes sont tellement too much qu'on finit par trouver cela trop gros et fatigant. Il y a évidemment quelques scènes complètement délirantes qui entrainent le rire ou le sourire, comme cette conga endiablée avec des marins étrangers. Les personnages secondaires sont assez nombreux d'ailleurs, avec ce journaliste qui veut aider Ruth, celui qui est attiré par Eileen, le propriétaire peintre "à la Picasso", le père, la grand-mère, ou Wreck le voisin marié qui est hébergé car la mère de sa femme ne sait pas qu'ils sont mariés. Rosalind Russell et Janet Blair rivalisent dans les deux soeurs, si le bagou de la première semble fait pour ce style de film, la seconde est effectivement bien plus charmante. Brian Aherne prête sa nonchalance à ce rédacteur épouvantablement bavard, et George Tobias campe un Apoppoulos au look résolument "moderne". Toutefois la comédie est assez saoulante, sans doute est-ce du aux acteurs principaux qui manquent de charisme ou à une mise en scène trop conventionnelle et théâtrale. 13 ans plus tard Richard Quine adaptera le film en comédie musicale avec Debbie Reynolds, Betty Garrett et Jack Lemmon.
***************************
Ma soeur est du tonnerre, My sister Eileen
Treize ans donc après ce film, Richard Quine aidé de Blake Edwards reprend My Sister Eileen et l'adopte sous forme de comédie musicale. Le point différent outre que le fait que les acteurs chantent et dansent, est que nous sortons des prises de vue d'intérieur, même si cela reste tourné en studio, le film semble moins statique et on sent moins le côté théâtral. Il est évident que les échanges qui fusent du premier sont remplacés par des chansons comme celle de Ruth qui déplore son manque de séduction, celle de Eileen qui réconforte sa soeur. Il y a aussi ces pures scènes de danse, comme celle entre Bob Fosse et Tommy Rall qui rivalisent de technique dans leur duo ou le quatuor jazzy du kiosque à musique. Betty Garret reprend le rôle de Rosalind Russell avec brio et moins de vulgarité sans doute. Janet Leigh est tout aussi charmante en Eileen. A noter aussi la présence de Dick York, le fameux Jean-Pierre de ma sorcière bien aimée dans le rôle de Wreck, le voisin du dessus. A noter aussi que les moeurs ont évolué et ne sont plus aussi soumises au Code Hayes, ainsi Wreck est marié dans la première version, alors que dans la seconde, il n'est que fiancé à sa co-locataire, pour rester moral, la jeune femme travaille la nuit et le jeune homme s'occupe des tâches ménagères le reste du temps. Il y a aussi Kurt Kasznar sympathique en propriétaire quelque peu escroc. Il y a naturellement Jack Lemon très séduisant en directeur de maison d'édition et qui va même jusqu'à pousser la chansonnette. Finalement il s'avère que ce remake bien que totalement fidèle au premier film, y compris dans la folie finale des marins brésiliens, semble plus réussi, moins saoulant et finalement plus léger.
My Sister Eileen (1942) - Alexander Hall
Deux soeurs décident de quitter leur Ohio natal pour réussir à New York, Ruth veut devenir écrivain, et Eileen actrice de théâtre. Cette dernière rend fou tous les hommes qui l'approchent.
Ici nous sommes dans la screwball type, une histoire anecdotique et des dialogues fournis, des personnages débitant à toute vitesse leurs répliques et des situations totalement folles. My sister Eileen est avant tout une pièce de théâtre et cela se sent, on a l'impression d'une succession de scènes avec le plan final de chacune où le rideau devait tomber, les portes claquent, les acteurs entrent et sortent à toute vitesse. Le scénario repose sur ces personnages tous plus farfelus les uns que les autres qui se retrouvent tous dans le studio des deux soeurs niché dans l'entresol d'un immeuble. Mais finalement les scènes sont tellement too much qu'on finit par trouver cela trop gros et fatigant. Il y a évidemment quelques scènes complètement délirantes qui entrainent le rire ou le sourire, comme cette conga endiablée avec des marins étrangers. Les personnages secondaires sont assez nombreux d'ailleurs, avec ce journaliste qui veut aider Ruth, celui qui est attiré par Eileen, le propriétaire peintre "à la Picasso", le père, la grand-mère, ou Wreck le voisin marié qui est hébergé car la mère de sa femme ne sait pas qu'ils sont mariés. Rosalind Russell et Janet Blair rivalisent dans les deux soeurs, si le bagou de la première semble fait pour ce style de film, la seconde est effectivement bien plus charmante. Brian Aherne prête sa nonchalance à ce rédacteur épouvantablement bavard, et George Tobias campe un Apoppoulos au look résolument "moderne". Toutefois la comédie est assez saoulante, sans doute est-ce du aux acteurs principaux qui manquent de charisme ou à une mise en scène trop conventionnelle et théâtrale. 13 ans plus tard Richard Quine adaptera le film en comédie musicale avec Debbie Reynolds, Betty Garrett et Jack Lemmon.
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Ma soeur est du tonnerre, My sister Eileen
Treize ans donc après ce film, Richard Quine aidé de Blake Edwards reprend My Sister Eileen et l'adopte sous forme de comédie musicale. Le point différent outre que le fait que les acteurs chantent et dansent, est que nous sortons des prises de vue d'intérieur, même si cela reste tourné en studio, le film semble moins statique et on sent moins le côté théâtral. Il est évident que les échanges qui fusent du premier sont remplacés par des chansons comme celle de Ruth qui déplore son manque de séduction, celle de Eileen qui réconforte sa soeur. Il y a aussi ces pures scènes de danse, comme celle entre Bob Fosse et Tommy Rall qui rivalisent de technique dans leur duo ou le quatuor jazzy du kiosque à musique. Betty Garret reprend le rôle de Rosalind Russell avec brio et moins de vulgarité sans doute. Janet Leigh est tout aussi charmante en Eileen. A noter aussi la présence de Dick York, le fameux Jean-Pierre de ma sorcière bien aimée dans le rôle de Wreck, le voisin du dessus. A noter aussi que les moeurs ont évolué et ne sont plus aussi soumises au Code Hayes, ainsi Wreck est marié dans la première version, alors que dans la seconde, il n'est que fiancé à sa co-locataire, pour rester moral, la jeune femme travaille la nuit et le jeune homme s'occupe des tâches ménagères le reste du temps. Il y a aussi Kurt Kasznar sympathique en propriétaire quelque peu escroc. Il y a naturellement Jack Lemon très séduisant en directeur de maison d'édition et qui va même jusqu'à pousser la chansonnette. Finalement il s'avère que ce remake bien que totalement fidèle au premier film, y compris dans la folie finale des marins brésiliens, semble plus réussi, moins saoulant et finalement plus léger.
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Claude Sautet en juin
Une histoire simple
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Les choses de la vie
César et Rosalie
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
c'est quand meme desesperant....les films de Sautet sont quand meme regulierement diffusés sur les chaines cablées (ciné +, OCS), voire sur les chaines hertziennes (Arte), et je ne parle pas de la facilité de les trouver sur galettes ou vod, pour en remettre une couche tous les ans. Les films sont excellents, je n'ai rien à redire dessus, mais putain, assez !!!
Passez-nous des films pas souvent diffusés !!!
Meme la prog du CDM est plus interessante, Brion se sort les doigts du cul pour nous proposer des raretés de temps à autre, au moins !!
desolé
heureusement que OCS passe le 1er Sister Eileen, ça compense un tout petit peu..
Passez-nous des films pas souvent diffusés !!!
Meme la prog du CDM est plus interessante, Brion se sort les doigts du cul pour nous proposer des raretés de temps à autre, au moins !!
desolé
heureusement que OCS passe le 1er Sister Eileen, ça compense un tout petit peu..
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Je savais que tu allais réagir Sur Ciné+Classic je découvre plus d'inédits ainsi que sur Arte. OCS je l'apprécie pour les séries.
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Je signale pour les amateurs de westerns un petit doc de 2009 (hélas trop court) sur la première carrière du Duke, période qui a précédé La Chevauchée fantastique, à la Lonestar, à la Monogram... : Young Mr. Wayne. On peut y admirer, entre autre, un duel chanté... À voir en ce moment.
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
A noter hier matin, vers 9H30, la diffusion de "Walk on the Wild Side" ou "La rue chaude" en français d'Edward Dmytryk ; une rareté qu'ils auraient pu mettre en valeur en la diffusant en Prime Time.
Titré aussi "La gata negra" en espagnol. Vu le générique avec le chat et le titre, il semble que c'est ce film qui ait inspiré le nom de l'éditeur Wild Side.
Pas encore vu, seulement enregistré.
Titré aussi "La gata negra" en espagnol. Vu le générique avec le chat et le titre, il semble que c'est ce film qui ait inspiré le nom de l'éditeur Wild Side.
Pas encore vu, seulement enregistré.
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Mince, je l'ai raté (je n'étais pas au courant) Il repasse?braddock2 a écrit :A noter hier matin, vers 9H30, la diffusion de "Walk on the Wild Side" ou "La rue chaude" en français d'Edward Dmytryk ; une rareté qu'ils auraient pu mettre en valeur en la diffusant en Prime Time.
Titré aussi "La gata negra" en espagnol. Vu le générique avec le chat et le titre, il semble que c'est ce film qui ait inspiré le nom de l'éditeur Wild Side.
Pas encore vu, seulement enregistré.
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Re: Les films sur Orange CinéGéants
Pas trouvé de rediffusion sur les dates visibles (jusqu'au 26 ou 27).
Sinon dans la nuit lundi à mardi prochain à 2H20, une autre rareté : "Tokyo Joe" avec Humphrey Bogart dispo en DVD columbia aux US.
Pas trouvé de rediffusion non plus !
Peut être les étaleront ils plus tard.
Sinon dans la nuit lundi à mardi prochain à 2H20, une autre rareté : "Tokyo Joe" avec Humphrey Bogart dispo en DVD columbia aux US.
Pas trouvé de rediffusion non plus !
Peut être les étaleront ils plus tard.