Le péplum italien

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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hellrick
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Re: Le péplum italien

Message par hellrick »

LES CONQUERANTS HEROIQUES
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Pour un de ses derniers péplums, Steve Reeves reprend le rôle d’Enée qu’il tenait déjà précédemment dans LA GUERRE DE TROIE de Georgio Ferroni. Cette séquelle débute par conséquent après la défaite des Troyens, alors qu’Enée conduit son peuple vaincu jusqu’en Italie où il espère s’établir et vivre en paix. S’installant à l’embouchure du Tibre, les Troyens, d’abord bien accueillis par le souverain local Latinus se heurtent ensuite aux manigances de Turnus, roi des Rutulus, qui va, par ruse, provoquer la colère de son peuple à l’encontre des nouveaux venus. En effet, Latinus souhaite donner sa fille Lavinia, promise à Turnus, en mariage à Enée. Le jaloux Turnus finit par déclarer la guerre aux Troyens…

Adapté du poème de Virgil « L’Enéide » (une bonne référence littéraire fait toujours son effet et, en plus, ça évite au scénariste de trop se creuser le ciboulot), LES CONQUERANTS HEROIQUES s’intéresse aux pérégrinations des Troyens et en particulier du musculeux Enée, demi-dieu né des amours d’un mortel et d’Aphrodite. Enée est d’ailleurs considéré comme le fondateur légendaire de Rome puisqu’ancêtre de Romulus et Remus, une parenté dont se réclamait également Jules César. Cependant, LES CONQUERANTS HEROIQUES n’adapte qu’une partie de « L’Enéide », supprimant les nombreuses péripéties connues par les Troyens après la chute de la cité (arrivée à Carthage, visite des Enfers, etc.) pour débuter au moment où la tribu nomade s’installe dans le Latium, région centrale de l’Italie où sera plus tard fondée Rome.

Outre Steve Reeves, alors star incontournable des péplums les plus prestigieux depuis l’inaugural LES TRAVAUX D’HERCULE, le film donne la vedette à Giacomo Rossi-Stuart (OPERATION PEUR) et Gianni Garko (SARTANA) dans le rôle du vilain Turnus. Le producteur Giorgio Venturi (alias Giorgio Rivalta) dirige la mise en scène (il ne signa que trois longs-métrage) tandis qu’Albert Band s’en octroie tout le crédit au générique de la version américaine dont il signa l’adaptation.

Moins épique et spectaculaire que LA GUERRE DE TROIE, le long-métrage demeure cependant de bonne facture et bénéficie d’un budget conséquent qui le distingue de la masse des séries B « péplum » sorties à la même époque. Si la première partie demeure intimiste et se conforme aux clichés inhérents au genre avec sa petite bande d’opprimés soumis à la tyrannie d’un despote, le dernier acte se veut plus grandiose et propose quelques batailles efficaces entre les antagonistes en présence. On note d’ailleurs quelques scènes intéressantes, notamment celle où les épouses et enfants des Troyens assiégés ramassent, au péril de leur vie, les flèches tombées sur le champ de bataille pour les apporter aux archers défendant les murailles. Malheureusement, le film souffre aussi de longueurs (une durée de 105 minutes ne parait pas excessive pour ce genre de production mais LES CONQUERANTS HEROIQUES tire souvent à la ligne), de quelques flashbacks (issus de LA GUERRE DE TROIE) pas toujours bien intégrés à l’intrigue et de dialogues pauvrement écrits. Cela rend l’entreprise quelque peu boiteuse en dépit de ses indéniables qualités : on est passé à côté d’un incontournable du péplum italien pour n’avoir, au final, qu’un bon péplum. Ce qui n’est déjà pas si mal au milieu des dizaines de sous-produits fauchés proposés à la même époque.

Plus intimiste que son prédécesseur, LES CONQUERANTS HEROIQUES demeure donc un péplum de bonne facture, réalisé avec un certain souci de réalisme et un minimum d’ambitions. Le tout se regarde avec plaisir et saura contenter les amateurs du genre, lesquels pourront ensuite poursuivre (en quelque sorte) cette histoire en visionnant le HELENE DE TROIE de Ferroni ou le ROMULUS ET REMUS de Corbucci.
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hellrick
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Re: Le péplum italien

Message par hellrick »

SPARTACUS ET LES DIX GLADIATEURS

Après qu’ils se soient rebellés dans l’arène, dix gladiateurs menés par Roccia sont bannis de la cité de Capoue et parcourent la campagne. Ils sauvent une jeune fille, Livia, attaquée par des brigands et sont accueillis par son père, le tyrannique sénateur romain Julius Varo. Trompés par celui-ci, les gladiateurs acceptent de l’aider à débarrasser le pays de Spartacus présenté comme un redoutable bandit
Comme le précise Florent Fourcart (dans « Le péplum italien »), le succès du SPARTACUS de Kubrick suscita de nombreuses imitations dans la Péninsule et, durant quelques années, le « film de gladiateurs » devint un sous-genre populaire du péplum, inventant de nouvelles aventures au plus célèbre d’entre eux et même, comme ici « une vie alternative à Spartacus ». Ce long-métrage constitue la pièce centrale d’une trilogie débutée avec LES DIX GLADIATEURS et conclue avec LE TRIOMPHE DES DIX MERCENAIRES. Co-écrit par Sergio Sollima et le réalisateur Nick Nostro, ce deuxième opus alterne moments sérieux, voire violents, avec des touches humoristiques parfois proches d’un Asterix, notamment lorsque nos gladiateurs rigolards assomme, un par un, toute une décurie romaine. D’autres passages, plus dramatiques, s’interrogent sur le sens de l’existence d’un gladiateur et nous avons droit à une scène de torture originale : les rebelles, pendus par un seul bras aux branches d’un arbre, sont criblés de flèches par les Romains.
Dan Vadis campe le héros Roccia. Vadis (1938 – 1987) joua dans une dizaine de péplums avant, comme beaucoup de ses collègues musclés, se reconvertir dans l’espionnite (CHASSE A L’HOMME A CEYLAN) et le western (TROIS CAVALIERS POUR FORT YUMA, DIEU PARDONNE A MON PISTOLET). Pour l’anecdote on le retrouve également dans LE CORNIAUD et une poignée de films de Clint Eastwood (CA VA COGNER, BRONCO BILLY) avant qu’il ne termine sa carrière dans un hommage à ses jeunes années, LES SEPT GLADIATEURS de Bruno Mattei (le monteur de ce SPARTACUS ET LES DIX GLADIATEURS, comme quoi tout se tient dans le petit monde du bis).
A ses côtés, on reconnait l’Allemande Helga Liné, grande spécialiste du cinéma populaire à la très riche carrière (KRIMINAL, HERCULE CONTRE LES TYRANS DE BABYLONE, UN MERCENAIRE RESTE A TUER pour citer quelques-uns de ses meilleurs films) et les plus physionomistes pourront peut-être reconnaitre l’acteur de western Jeff Cameron (LE COLT ÉTAIT SON DIEU) dans le rôle d’un des gladiateurs.
Quoiqu’il recoure à des stock-shots très repérables pour les séquences les plus spectaculaires, Nick Nostro offre une mise en scène efficace avec de beaux passages d’action et des duels réussis, aux poings ou à l’arme blanche, soutenu par la musique martiale entrainante de Carlo Savina. Les personnages, caricaturaux, fonctionnent toutefois et le film développe l’atmosphère de camaraderie régnant entre les gladiateurs (lesquels, dans la tradition du péplum, rigolent beaucoup à gorge déployée). L’intrigue, simple, reste divertissante et menée à un rythme satisfaisant, sans s’égarer dans les interminables discussions plombant de nombreux péplums. En conclusion, une œuvrette sympathique qui saura contenter les amateurs de ce style de « muscle opera » suranné mais distrayant. Le parfait petit film du samedi soir.
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Jeremy Fox
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Re: Le péplum italien

Message par Jeremy Fox »

hellrick a écrit :SPARTACUS ET LES DIX GLADIATEURS

avec des touches humoristiques parfois proches d’un Asterix, notamment lorsque nos gladiateurs rigolards assomme, un par un, toute une décurie romaine.
Alors qu'ils sont perchés et cachés dans un arbre et qu'ils assomment un par un les soldats romains qui passent dessous ?

Si oui, tu viens de me confirmer qu'il s'agit bien du premier film qui m'ait marqué et dont je me souvienne, en quelque sorte le déclencheur de ma cinéphilie, ce devait être un après midi de 1972 à l'âge de 5 ans :o
A moins que ce soit le premier de la trilogie, à savoir Les 10 gladiateurs, titre dont je me souviens mieux qu'avec Spartacus au début.
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Alexandre Angel
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Re: Le péplum italien

Message par Alexandre Angel »

Jeremy Fox a écrit :
Si oui, tu viens de me confirmer qu'il s'agit bien du premier film qui m'ait marqué et dont je me souvienne, en quelque sorte le déclencheur de ma cinéphilie, ce devait être un après midi de 1972 à l'âge de 5 ans :o
Année redoutable :D
Moi, c'était Kali Yug, déesse de la vengeance de Mario Camerini.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Jeremy Fox
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Re: Le péplum italien

Message par Jeremy Fox »

Alexandre Angel a écrit :
Jeremy Fox a écrit :
Si oui, tu viens de me confirmer qu'il s'agit bien du premier film qui m'ait marqué et dont je me souvienne, en quelque sorte le déclencheur de ma cinéphilie, ce devait être un après midi de 1972 à l'âge de 5 ans :o
Année redoutable :D
Moi, c'était Kali Yug, déesse de la vengeance de Mario Camerini.
Les après midi sur la première chaine de l'ortf semblaient friandes de cinéma italien :wink:
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Alexandre Angel
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Re: Le péplum italien

Message par Alexandre Angel »

Jeremy Fox a écrit :Les après midi sur la première chaine de l'ortf semblaient friandes de cinéma italien :wink:
Mon exemple passait sur la 2 le Dimanche vers 15h00.
Les films de la Une, si mes souvenirs sont bons, c'était (et ça l'a été longtemps) en fin d'après-midi (je me souviens de L'Appât, en noir et blanc, par exemple).
On va se faire traiter de vioques :mrgreen:
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Re: Le péplum italien

Message par Jack Carter »

Alexandre Angel a écrit :
Jeremy Fox a écrit :Les après midi sur la première chaine de l'ortf semblaient friandes de cinéma italien :wink:
Mon exemple passait sur la 2 le Dimanche vers 15h00.
Les films de la Une, si mes souvenirs sont bons, c'était (et ça l'a été longtemps) en fin d'après-midi (je me souviens de L'Appât, en noir et blanc, par exemple).
On va se faire traiter de vioques :mrgreen:
Mais non, mais non.... :mrgreen:
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Alexandre Angel
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Re: Le péplum italien

Message par Alexandre Angel »

Merci Jack :uhuh:
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Jeremy Fox
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Re: Le péplum italien

Message par Jeremy Fox »

:lol:
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Re: Le péplum italien

Message par hellrick »

Jeremy Fox a écrit :
hellrick a écrit :SPARTACUS ET LES DIX GLADIATEURS

avec des touches humoristiques parfois proches d’un Asterix, notamment lorsque nos gladiateurs rigolards assomme, un par un, toute une décurie romaine.
Alors qu'ils sont perchés et cachés dans un arbre et qu'ils assomment un par un les soldats romains qui passent dessous ?
Ca doit être dans le premier film. Ici, ils sont en haut d'une colline et assomment les soldats au fur et à mesure que ceux-ci arrivent en haut de la colline. Gag de répétition de fillm en film donc :mrgreen:
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Re: Le péplum italien

Message par Jeremy Fox »

hellrick a écrit :
Jeremy Fox a écrit :
Alors qu'ils sont perchés et cachés dans un arbre et qu'ils assomment un par un les soldats romains qui passent dessous ?
Ca doit être dans le premier film. Ici, ils sont en haut d'une colline et assomment les soldats au fur et à mesure que ceux-ci arrivent en haut de la colline. Gag de répétition de fillm en film donc :mrgreen:

Ok merci bien : tu as quand même réussi à me faire découvrir quelle fut la matrice de ma cinéphilie puisqu'il s'agissait donc bien du premier volet et non celui avec Spartacus :) Oui, runing gag d'un film à l'autre :mrgreen:
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Re: Le péplum italien

Message par hellrick »

HERCULE L’INVINCIBLE
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Cette petite production, sortie en France en aout 1965, date de la fin de l’âge d’or du péplum mythologique italien, lequel vivait là ses derniers feux avant de succomber sous les coups des pistoleros du spagh’. L’intrigue, rudimentaire, n’innove nullement : Hercule (ou Ursus dans la version française) vient en aide à la princesse Teica, menacée par un lion. En récompense de cet exploit le roi Tideo offre au valeureux demi-dieu la main de sa fille mais à condition qu’Hercule tue un redoutable dragon dont les dents auraient la propriété d’exhausser les vœux ! Malheureusement, la cruelle reine Etel attaque le royaume de Tideo et emmène ses habitants en esclavage. Hercule, aidé du pleutre et glouton Babar, décide de se dresser contre la méchante souveraine.
Alvaro Mancori n’a réalisé que deux films mais, par contre, il fut directeur de la photographie sur plus de soixante. Cela se ressent à la vision de cet HERCULE L’INVINCIBLE dont la belle image demeure une des plus grandes qualités. Cherchant l’inspiration, toutes proportions gardées, du côté de Mario Bava (lequel aurait peut-être participé aux effets spéciaux) et des cadors du gothique italien, le cinéaste débutant joue des couleurs vives, entre les grottes aux teintes verdâtres très cinégéniques et les fleuves de laves écarlates. Dans cet univers colorés, Hercule se déplace à la manière des futurs barbares musculeux de la Fantasy, affrontant un lion puis un ours, manquant de périr écartelé par des éléphants dans une arène ou bandant ses muscles pour faire s’écrouler la cité de la méchante reine (une constante du genre !). Le spectacle, court et rythmé, inclut également des batailles à mains nues et un affrontement contre un dragon (manifestement un stock-shot) avant l’inévitable happy end au terme des 80 minutes réglementaires. Conscient que le péplum était en perte de vitesse, Mancori semble vouloir en aligner tous les clichés coutumiers pour aboutir à une décoction saupoudrée d’humour frôlant parfois la parodie. Le personnage de Babar sert ainsi de sidekick comique au héros mais il faut avouer que sa présence devient rapidement agaçante.
Au final, HERCULE L’INVINCIBLE se regarde sans déplaisir. Certes, les plus cyniques, toujours prompts à s’esbaudir, pousseront sans doute quelques ricanements devant les effets spéciaux : figurants en costume, miniature très visibles et poupées précipitées dans un fleuve de lave pour figurer les soldats vaincus par Hercule. Tant pis pour eux. Les cinéphiles plus naïfs ou moins portés sur le second degré, apprécieront simplement le long-métrage pour ce qu’il est, une sorte de bande dessinée mélangeant aventures et fantastiques dans le seul but de divertir. Mission globalement remplie pour cette production sympathique et distrayante.

Sorti en dvd par Artus, copie impeccable et nombreux bonus, du tout bon!

http://www.sueursfroides.fr/critique/he ... cible-3620
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Re: Le péplum italien

Message par Rick Blaine »

Pas encore vu celui là, mais j'ai trouvé l'autre Hercule sorti par Artus (Les fils du soleil) fort sympathique.
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Re: Le péplum italien

Message par hellrick »

Rick Blaine a écrit :Pas encore vu celui là, mais j'ai trouvé l'autre Hercule sorti par Artus (Les fils du soleil) fort sympathique.
j'ai eu les deux, je me ferais l'autre la semaine prochaine :wink:
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Re: Le péplum italien

Message par Shinji »

Documentaire "Muscles, glaives et fantasmes" diffusé sur Arte :
https://www.arte.tv/fr/videos/080130-00 ... -fantasmes

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