Le cinéma français des années 60 (1960-69)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Commissaire Juve
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Re: Le cinéma français des années 60 (1960-69)

Message par Commissaire Juve »

Saint-Tropez Blues (Marcel Moussy, 1961)

C'était trois ans avant le Gendarme de Saint-Tropez, 21 ans avant Les Sous-doués en vacances, 25 ans avant Deux enfoirés à Saint-Tropez, mais j'aurais dû me méfier quand même.

En super résumé : les jeunes de Saint-Germain-des-Prés vont en vacances à Saint-Tropez.

En un peu plus détaillé : Marie Laforêt (21 ans) part en vacances à Saint-Tropez en compagnie d'Higelin (20 ans) et ne prévient pas ses parents.

Et ? C'est à peu près tout.

Au départ, on a l'impression d'assister à un film de vacances lambda. Le côté descente sur la côte en voiture -- en Eastmancolor -- est sympathique. Et puis, les djeunz commencent à traîner leur ennui dans la ville, sur les plages, sur les yachts, dans les soirées, et le spectateur finit par s'emmerder sec. C'est bien simple, j'ai fini le film en avance rapide (il était environ 3h30 du matin, mais l'heure ne fait rien à l'affaire).

Le film accumule probablement tous les clichés véhiculés par le cinéma sur les vacances tropéziennes* du petit monde germanopratin : le jazz, la bohème, les peintres bidon, les artistes bidon (Claude Chabrol fait un caméo), la cougar qui s'ennuie dans sa villa, les gens en tenue légère dans les hautes herbes, les pervers qui rôdent sur le port... il ne manque que l'alcool et la drogue comme on pouvait le voir dans "L'envers du Paradis" (E.T.Gréville, 1953). Et c'est dommage parce que Higelin, à l'époque, avait une bonne tête. Et parce que Marie Laforêt était bien mignonne.

Je peux me tromper (je suis pris soudain du complexe de Pontmartin), mais, de mon point de vue, ça n'a vraiment aucun intérêt.

* Mais ce film est peut-être la matrice de tous les films "tropéziens" !!!

EDIT : ah si, à l'époque, l'épilation des aisselles était vraiment au point ! :mrgreen:

Au passage : le Gaumont ex "à la demande" propose une copie restaurée. Ce n'est pas une restauration à la "Lawrence d'Arabie", mais c'est pas mal.

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Dernière modification par Commissaire Juve le 14 févr. 19, 09:29, modifié 6 fois.
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Re: Le cinéma français des années 60 (1960-69)

Message par Karras »

Commissaire Juve a écrit :Saint-Tropez Blues (Marcel Moussy, 1961)
Je pensais que Les vendanges de l'amour était sur la B.O., mais non ...
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Commissaire Juve
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Re: Le cinéma français des années 60 (1960-69)

Message par Commissaire Juve »

Elle chante deux fois (sauf oubli) : Tumbleweed et "Saint-Tropez" (c'est ce qu'elle répète dans le refrain).

Et il n'y a pas :
Do-you-do-you-do-you-do-you Saint-Tropez !
:mrgreen:
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Re: Le cinéma français des années 60 (1960-69)

Message par Commissaire Juve »

En très vite fait...

La Millième Fenêtre / La 1000e fenêtre (Robert Ménégoz, 1960)

En France, à l'époque où les grands ensembles sortaient de terre comme des champignons*, un officier de la marine à la retraite refuse de laisser détruire sa maison plantée au milieu d'une citée inachevée...

* qui se sont révélés vénéneux !

Dit comme ça, beaucoup vont penser "nanar". Erreur ! Pour peu qu'on soit intéressé par cette époque (notamment par les délires de l'urbanisme des Trente glorieuses), le film est vraiment bien. Et Pierre Fresnay s'y livre à un joyeux numéro (avec quelques répliques bien senties). Ajoutez Jean-Louis Trintignant dans un rôle d'architecte sympa et une Barbara Kwiatkowska (polonaise) toute mignonne et vous obtenez une comédie douce amère de bon aloi.

Bémol : la scène du mariage est un peu longuette.

Je ne sais pas où ça a été tourné, mais je parie pour le Mont-Mesly à Créteil ou Château-Gaillard à Maisons-Alfort (où ont été filmés certains plans d'Archimède le clochard). Cela dit, à un moment, on voit Jean-Louis Trintignant sur le quai de Bécon-les-Bruyères (pas vraiment dans le Val-de-Marne donc :mrgreen: ).


Je signalerai une faute de sous-titrage : Val-Palaiseau au lieu de Valparaiso ! Rhooo ! :?
EDIT : une autre faute... Trintignant dit "Un an..." et on lit "Anna" !

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Dernière modification par Commissaire Juve le 22 janv. 22, 08:42, modifié 1 fois.
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Supfiction
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Re: La chasse à l'homme (1964)

Message par Supfiction »

pak a écrit :8. La chasse à l'homme d'Édouard Molinaro (1964) :

Avec Claude Rich, Jean-Claude Brialy, Jean-Paul Belmondo, Françoise Dorléac, Marie Laforêt, Marie Dubois, Catherine Deneuve, Bernard Blier, Michel Serrault... Scénario de France Roche – Dialogues de Michel Audiard – Musique de Michel Magne et Giorgos Zambetas – Genre : Comédie / Film à sketchs – Production franco-italienne – Date de sortie : 22/09/1964
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Un jeune homme va se marier mais son meilleur ami, célibataire endurci, fait tout pour l'en dissuader, en lui narrant son expérience des femmes.

Ce n'est pas le film le plus connu d'Édouard Molinaro malgré un casting assez incroyable, même pour l'époque. Si Belmondo, Brialy, Rich, Dorléac, Deneuve, Laforêt, Dubois, Lafont, Darc... étaient jeunes au moment du tournage, ils n'étaient plus des inconnus pour le public, d'autant qu'ils sont entourés de Bernard Blier, Michel Serrault, Noël Roquevert, Francis Blanche et Micheline Presle. Une sacrée belle affiche. Il faut dire aussi que le principe du film à sketchs, genre à la mode dans les années 1960, aide à aligner des noms connus puisqu'il faut bien alimenter en personnages chaque historiette. Car ce sont bien des histoires assez anecdotiques qui nous sont narrées ici, plus ou moins légèrement misogynes (autre tendance à la mode).

Très « finement », le film débute et se termine sur les mêmes images, montrant des femmes à cheval faisant une chasse à courre, avec meute de chiens et son du cor, non pour chasser le renard, mais plutôt le mari. Toutefois, Molinaro mène rondement son récit malgré le sentiment de désuétude que l'on peut ressentir un demi-siècle plus tard devant cette envie de mariage, à voir plus posément comme un besoin d'être deux, même si pour y arriver, le chemin est parfois tortueux, dissimulant peut-être à un tournant un coup de foudre qui pourrait frapper même le plus blasé.

Les français ont toujours aimé se déplacer en masse en salles pour aller rire devant des comédies plus ou moins franchouillardes. A l'époque, on peut grossièrement distinguer deux tendances : une alliant une certaine finesse, une recherche de rire moins primaire, pour des films alertes et parfois très réussis avec comme chefs de file Michel Deville ou Philippe de Broca, l'autre étant plus dans la continuité de la gaudriole héritée des années 1930, parfois lourde, volontiers burlesque, avec des gens comme Robert Dhéry ou Jean Girault. La chasse à l'homme slalome un peu entre les deux, évitant la gaudriole facile tout en étant parfois franchement vaudevillesque (la partie Claude Rich, avec ses traditionnels qui-propos, portes qui claquent et placards où l'on se cache), faisant de son auteur l'un des héritiers de la « qualité France » du cinéma classique, le sujet et le ton du film rappelant fortement l'univers de Sacha Guitry.

Brialy, Rich et Belmondo sont tour à tour les héros d'un sketch, où chaque partie est sensée démontrer la volonté typiquement féminine de vouloir se marier et mettre le grappin sur un homme, seule manière d'avoir le dessus sur la gent masculine...

L'interprétation (forcément) formidable, rehausse le film : Belmondo en gentil mac (dont les besogneuses sont, excusez du peu, Bernadette Lafont et Mireille Darc) recyclé en patron de bistro en fait mené d'une main de fer par son épouse (énergique Marie Dubois), Rich en tombeur pensant avec sa braguette et amant d'une bourgeoise (Micheline Presle, qui cocufie Michel Serrault, excellent mari mené en bateau) tout en draguant sa secrétaire (Catherine Deneuve, à la perversité enfouie sous un verni d'innocence), ce que n'apprécie guère le père de cette dernière (épatant Bernard Blier qui récite du Audiard comme personne), Brialy en futur marié indécis à une fausse ingénue (Marie Laforêt, espiègle et divinement manipulatrice), plus quelques rôles secondaires comme la belle arnaqueuse campée par Françoise Dorléac alliant charme et humour, et son complice roublard joué par le toujours aussi fou Francis Blanche. Comme une récréation rassemblant des interprètes de la nouvelle vague et du cinéma populaire.

L'autre élément qui donne du cachet au film est la qualité des dialogues, ciselés par un Michel Audiard qui pimente ceux-ci de quelques saillies mémorables du genre :

« - Je vous laisse encore le choix : le mariage, ou les menottes.
- J'avoue que la différence m'échappe ».

Le dialoguiste tire incontestablement ce film du conventionnel, ce qui n'empêche pas celui-ci d'y tomber ponctuellement, notamment dans sa partie grecque nettement plus faiblarde que le reste.

Sans être à la hauteur des réussites du réalisateur qui viendront par la suite, on passe un agréable moment de cinéma léger, certes, mais régulièrement savoureux.

Étoiles : * * * . Note : 14/20.
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Autour du film :

1. Le scénario a été écrit par France Roche. Née le 2 avril 1921, France Roche est une des pionnières de la télévision française. Journaliste, elle a animé et participé à plusieurs émissions axées sur le cinéma, dès l'époque de l'ORTF. Elle a ainsi mené des interviews avec des acteurs aussi illustres que Pierre Brasseur, Jean Marais, Paul Meurisse, Michel Piccoli, Arletty, Annie Girardot, Simone Signoret, Jeanne Moreau, Brigitte Bardot, mais aussi Kirk Douglas, Sidney Poitier, Anthony Perkins, Ingrid Bergman... Elle a aussi écrit pour la presse cinématographique. Dans les années 1950 et 1960, elle rédigea plusieurs scénarios mais aucun des films qui les ont adapté sont restés dans les mémoires malgré la notoriété des réalisateurs (Henri Verneuil pour Les lions sont lâchés, Michel Boisrond pour Les amours célèbres ou Jean-Paul Le Chanois pour Agence matrimoniale par exemple).
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2. Françoise Dorléac et Jean-Paul Belmondo sortaient du triomphe de L'homme de Rio de Philippe de Broca, 4ème au box-office français de 1964. Année d'ailleurs très prolifique pour Belmondo puisque deux autres de ses films seront au top 10 : 100 000 dollars au soleil et Week-end à Zuydcoote, tous deux d'Henri Verneuil. Les trois films cités attireront plus de 11 millions de spectateurs. La chasse à l'homme fera nettement moins d'entrées. L'actrice et l'acteur n'ont aucune scène en commun dans ce dernier, alors qu'ils partageaient l'affiche de L'homme de Rio.

3. Comme dans La belle américaine ou Le corniaud, une berline décapotable a un rôle central dans l'un des sketchs du film. Il s'agit d'une Lincoln Continental modèle 1961 appartenant au compositeur Georges Garvarentz, qui l'a prêté pour d'autres tournages (Le diable et les 10 commandements, Les bricoleurs, Le glaive et la balance). C'est le même type de modèle (modifié) qui était la voiture présidentielle de John F. Kennedy, dans laquelle il fut mortellement blessé à Dallas le 22/11/1963.
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Je me suis régalé une nouvelle fois devant ce film au casting démentiel et au rythme trépidant et aux dialogues savoureux ou hilarants. Tous les acteurs sont géniaux, de Belmondo (particulièrement gâté question dialogues) à Blier, de Marie Dubois à Micheline Presle. Du grand art. L’une des plus grandes comédies françaises pour moi.
Si quelqu’un a le film en tête, je n’ai pas réussi à identifier la dernière actrice dans l’ordre chronologique, qui tombe amoureuse de Claude Rich lors de la scène du mariage.
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Re: La chasse à l'homme (1964)

Message par Commissaire Juve »

Supfiction a écrit : Si quelqu’un a le film en tête, je n’ai pas réussi à identifier la dernière actrice dans l’ordre chronologique, qui tombe amoureuse de Claude Rich lors de la scène du mariage.
Difficile de savoir. Mais le commissaire à l'oeil ! Le film étant une coproduction franco-italienne, cette jeune femme a tout l'air d'être ultramontaine !

Perso, je dirais Maria Pia Di Meo (mais Gogol images ne nous aide pas beaucoup ; on la voit âgée et ultra bistourisée la plupart du temps).

Elle aurait eu 24 / 25 ans pour le film ; ça colle (je précise que j'ai eu recours à la fiche italienne de Wikipedia de "Caccia al maschio").
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Re: La chasse à l'homme (1964)

Message par Supfiction »

Commissaire Juve a écrit :
Supfiction a écrit : Si quelqu’un a le film en tête, je n’ai pas réussi à identifier la dernière actrice dans l’ordre chronologique, qui tombe amoureuse de Claude Rich lors de la scène du mariage.
Difficile de savoir. Mais le commissaire à l'oeil ! Le film étant une coproduction franco-italienne, cette jeune femme a tout l'air d'être ultramontaine !

Perso, je dirais Maria Pia Di Meo (mais Gogol images ne nous aide pas beaucoup ; on la voit âgée et ultra bistourisée la plupart du temps).

Elle aurait eu 24 / 25 ans pour le film ; ça colle (je précise que j'ai eu recours à la fiche italienne de Wikipedia de "Caccia al maschio").
Merci mais je ne pense pas que ce soit elle. Elle a fait le doublage pour les italiens uniquement je pense.

Elle est à droite de Claude Rich sur la photo ici.
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Re: Le cinéma français des années 60 (1960-69)

Message par Rick Blaine »

Commissaire Juve a écrit :En très vite fait...

La Millième Fenêtre (Robert Ménégoz, 1960)

En France, à l'époque où les grands ensembles sortaient de terre comme des champignons*, un officier de la marine à la retraite refuse de laisser détruire sa maison plantée au milieu d'une citée inachevée...

* qui se sont révélés vénéneux !

Dit comme ça, beaucoup vont penser "nanar". Erreur ! Pour peu qu'on soit intéressé par cette époque (notamment par les délires de l'urbanisme des Trente glorieuses), le film est vraiment bien. Et Pierre Fresnay s'y livre à un joyeux numéro (avec quelques répliques bien senties). Ajoutez Jean-Louis Trintignant dans un rôle d'architecte sympa et une Barbara Kwiatkowska (polonaise) toute mignonne et vous obtenez une comédie douce amère de bon aloi.

Bémol : la scène du mariage est un peu longuette.

Je ne sais pas où ça a été tourné, mais je parie pour le Mont-Mesly à Créteil ou Château-Gaillard à Maisons-Alfort (où ont été filmés certains plans d'Archimède le clochard). Cela dit, à un moment, on voit Jean-Louis Trintignant sur le quai de Bécon-les-Bruyères (pas vraiment dans le Val-de-Marne donc :mrgreen: ).
Ah tiens, je l'ai vu ce week-end et effectivement c'est mieux que ce que je pouvais imaginer à la lecture du pitch. Notamment grâce à un bon casting, et un décor efficace (ce contraste entre la maison de Fresnay et le grand ensemble d'immeubles). C'est plutôt drôle, et il y a un témoignage intéressant sur la société au début des 60's.

Alors après sur le fond du propos, ce n'est pas vraiment léger et ça ne laisse pas beaucoup de marge de réflexion, il ne faut pas penser que 2 ans plus tard, Rosi fera Main basse sur la ville (entre autres). Mais ceci étant dit, c'est un film plutôt agréable.
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Re: La chasse à l'homme (1964)

Message par Thesix »

Supfiction a écrit : Si quelqu’un a le film en tête, je n’ai pas réussi à identifier la dernière actrice dans l’ordre chronologique, qui tombe amoureuse de Claude Rich lors de la scène du mariage.
Peut-être Sabine Sun (petit rôle non crédité d'après IMDB). Je ne trouve pas de photos d'elle en 64 et elle parait moins ingénue dans ses autres films, mais le nez est ressemblant je trouve... :mrgreen:
Si on passe AC/DC, je quitte la pièce (J. Jarmusch)
Et Amazon, c'est toujours le mal (et l'internet haut débit, et Google...)
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Re: La chasse à l'homme (1964)

Message par Commissaire Juve »

Supfiction a écrit :
Commissaire Juve a écrit :
Perso, je dirais Maria Pia Di Meo (mais Gogol images ne nous aide pas beaucoup ; on la voit âgée et ultra bistourisée la plupart du temps).
Merci mais je ne pense pas que ce soit elle...
J'ai le DVD. J'ai regardé ce matin. Elle a vraiment le type italien.

Cela dit : je n'avais pas vu le mot "Doppiatori" ; je me suis arrêté sur "italiani". :oops:
Thesix a écrit : Peut-être Sabine Sun... le nez est ressemblant je trouve... :mrgreen:
Hein ? le nez ? tu trouves ? Ah non... Et quel boudin ! :? (elle a un menton de camionneur en plus)
Rick Blaine a écrit :
Commissaire Juve a écrit :En très vite fait...

La Millième Fenêtre (Robert Ménégoz, 1960)
... comédie douce amère de bon aloi.
Ah tiens, je l'ai vu ce week-end et effectivement c'est mieux que ce que je pouvais imaginer... C'est plutôt drôle, et il y a un témoignage intéressant sur la société au début des 60's... c'est un film plutôt agréable.
Tutafé. Avec un petit côté Mocky ici ou là.
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