Laurel (1890-1965) & Hardy (1892-1957)

[bruce randylan]

Laurel et hardy conscrit
pour mon 1er film du duo, un peu deçu, le rythme n'est pas assez molasson, les gags assez facile, et la mise en scène manque cruellement de finesse ( je parle pas de l'histoire ). Y-a evidement quelque passage sympas ( avec un influence Harpo pour la scène du lit de prison ? )
Bien plus convaincu par les deux courts qu'offre Arte en Bonus
Bonnes d'enfants s'avère donc bien lpus dynamique et drôle. Celà dit si quelqu'un peut m'expliquer la chute finale, parce que j'ai beau la retourner dans tous les sens, je la comprend pas ( voire je la trouve pas ).
Oeil pour oeil est un burlesque comme je les aime : Bête, méchant et gratuit. Puérile mais vraiment jubilatoire ( donc pour moi )

Laurel et hardy au far west
excellente comédie bien rythmée et le duo fonctionne au petit oignon.
Certains passages sont vraiment anthologiques et les running gag fonctionnent bien ( pas toujours le cas en général ).

Encore au dessus
les compagnons de la nouba
le film n'est jamais autant réussi que dans les scènes qui s'étirent à l'infini ( le début devant les portes, la bassine d'eau chaude... ). il manquerait juste les scènes de destructions massives qu'on trouve dans les autres opus ( enfin pour ceux que j'ai vu ) pour avoir une (p)référence du genre.

Zut plus que c'est donc ton frère et c'est fini.

Ps : merci à Arte pour le cadeau de la bande annonce du film en version allemande. Depuis le temps que je la cherchais ( d'autant que le zone 3 coréen ne proposait que la version espagnol ). Arte a repondu au fantasmes de tout cinéphile qui se respecte.
J'espère qu'ils en ont d'autres de ce genre là ( une version colorisée au pochoir de la bête humaine par exemple )

[Abronsius]

Big Business

ça commence n'importe comment, ça continue encore plus n'importe comment et ça délire grave de chez grave...
Un très bon Laurel et Hardy.
Il paraît que la maison appartenait à des voisins, la maison du tournage est restée intacte !!!


(en fait, c'est ici)

[daniel gregg]

Big Business

ça commence n'importe comment, ça continue encore plus n'importe comment et ça délire grave de chez grave...
Un très bon Laurel et Hardy.
Il paraît que la maison appartenait à des voisins, la maison du tournage est restée intacte !!!


(en fait, c'est ici)

Quand je pense que j' ai réussi à le rater !
Ce qui m'a offert la folle idée de m 'autoriser de m'offrir les dvd édités par IMAGE ENTERTAINMENT...
De toutes façons , difficile d'être déçu!

[bruce randylan]

C'est donc ton frère.
Encore énormément de plaisir devant ces 68 minutes d'efficacité qui ne ménage pas ses vraisemblances. C'est tant mieux, c'est peut être le rythmé des Laurel et Hardy que j'ai pu voir. Pas de temps morts, quelques gags vraiment bien senti ( les esquimos de Singapour, le regard à travers le cercle formé par deux doigts, le torse enflammé ), les quiproquos ne sont pas les plus originaux mais sont mené à un train bien mené. Et puis, y-a pas à dire le James Finlayson a une sacrée gueule.
Seul ombre au tableau, le passage avec les pieds dans le béton un peu trop étiré.

Avec ça, Arte offre Laurel et Hardy Ramoneur, encore une pure réussite de dynamisme qui démontre que le duo n'est jamais meilleur dans leurs scènes de destruction en régle.
En plus le gag final est sans aucun doute le plus réussi de leurs films

En croisière ( Réalisé par Gordon Douglas ! )
Je pourrais presque écrire 2 pour le prix d'un tant ce film semble composé de 2 parties qui n'ont rien à voir l'un avec l'autre.

La 1ère est simplement génialle, ultra-rythmée, truffés de bon gag ( jouant souvent sur la répétition ) et les bruitages bien exploités ( klakxon ; instrument de musique etc... ).
La 2ème moitié sans être déplaisante est clairement en dessous via une grosse panne d'inspiration avec un intrigue trés bizarre de criminel en cavale.
A noter qu'il s'agit de la dernière apparition de l'incontournable Finlayson.

La bataille du siècle
Peut-être le plus célèbre court du duo pour sa bataille de tarte à la crème dantesque. Problème, le film semble au deux tiers disparu. Seul le ( drôle ) combat de boxe au début est présent dans son intégralité, le reste est le plus souvent raconté par cartons et il ne reste de la fameuse bataille que quelques minutes éparses. Je m'attendais à un grand moment de rigolade, j'en ressors trés frustré.

Qui dit mieux
Film parlant pas des plus original ( Stan vient semer la zizanie dans le couple de Oliver ) mais c'est souvent drôle même si l'humour n'apporte rien de nouveau. En revanche le gag final est vraiment trés drôle et jubilatoire. A noter un trés amusant effet de transition

Les deux éléctriciens
Sur le principe de l'excellent oeil pour oeil, Laurel et Hardy mènent une guerre aux attaques progressives avec leurs voisins. Sans parvenir à égaler son prédecesseur ( le rythme est moins soutenu ; l'intrigue se dissout un peu et surtout Finlayson est irremplaçable ; ), ça reste plaisant et le running gag du type venant piller la boutique excellent.

Laissez-nous rire
Pour une fois, dommage que ce court n'est pas été tourné à l'époque du parlant, il aurait pu multiplier l'effet par deux. Dans le cas présent, c'est une comédie tout ce qu'il y a de plus classique, tout juste honorable et assez mineur.




Sous les verrous
Film assez mineur qui ne vaut que pour une poignée de scènes pour le coup culte : le Cours de Finlayson ou Hardy essayant de trouver un position dans son lit. Quelques répliques sont également assez drôles.
Autre bonne surprise, les intermédes musicaux sont plutot réussis dans le genre Negro Spirituel.
Le reste s'oublie trés rapidement. D'ailleurs je ne sais plus quoi rajouter.

En court-métrage
Gai Gai Marions Nous
Le duo s'essaye dans la parodie de film fantastique avec majordome bossu et tentative d'assassinat sans apporter grand chose à leur humour. Sans plus.

Drôles de locataires
Malgré sa courte-durée, ça souffre de rythme ici et le sujet est loin d'exploiter son potentiel et se contente de stricte minimun dans les quiproquos. Seule la dernière scène d'avère vraiment drôle.

Stan Boxeur
Voilà qui est plus savoureux avec ce film qui est souvent exploité comme prélude à Sous les Verrous ( on n'y retrouve le même méchant ) mais qui se trouve sur le dvd de Laurel et Hardy au Far West.
Dans le cas présent, c'est presque une poursuite ininterrompu qui se termune sur un match de boxe plutot sympa au final.

[Roy Neary]

Je me permets d'indiquer les 3 chroniques que DvdClassik a consacrées à ces deux personnages fort drôles et sympathiques :

Stan Laurel : 16 courts métrages

Oliver Hardy : 10 courts métrages

Laurel et Hardy : Les Conscrits

[frédéric]

Sorties dvd fox zone 2, le 23 Mai.

FANTOMES DECHAINES
LE GRAND BOUM
LES MAITRES DU BALLET
LAUREL & HARDY TOREADORS
LES ROIS DE LA BLAGUE

[Cathy]

Sorties dvd fox zone 2, le 23 Mai.

FANTOMES DECHAINES
LE GRAND BOUM
LES MAITRES DU BALLET
LAUREL & HARDY TOREADORS
LES ROIS DE LA BLAGUE

Films qui étaient déjà sortis sous forme de deux coffrets de trois films, il y avait en plus Quel pétard, sorti de manière isolée avant par contre !

[Patrick58]

Si vous aimez Laurel et Hardy, je ne peux que vous recommander ce forum très actif :
http://laurelandhardyforum.com/

[bruce randylan]

Les montagnards sont là ( John G. Blystone - 1938 )
Pas un grand moment de cinéma ni un grand film du duo. Ca serait même dispensable si quelques moments ne venaient relever la sauce.
Parmis les moments amusant, on compte sur les trous dans le plancher pour pièger des souris, Stan Laurel essayant de piquer de la gnole à un St bernard ( excellent acteur canin au demeurant ) et les 2 compères devant transporter un piano sur un pont branlant.
Le reste ne décolle jamais vraiment et quelques intermèdes musicaux hors-sujet viennent ponctuer l'histoire. Toute fois, je dois avouer que leur aspect kitsch et léger ne m'ont pas dérangé du tout.
Un opus à l'image des acteurs : fatigués...

En bonus on trouvent 2 curiosités : les carottiers
Produits spécialement pour la France, ces 2 courts-métrages permettent d'entendre Laurel et Hardy s'exprimaient dans un français approximatif mais amusant. Après ces courts ne semblent être en rien des créations originales mais sont des remake de courts déjà existants ( Be big & Laughing gravy ). Ils me semblent qu'ils ont fait pareil pour l'espagne et l'allemagne... De plus, malgré leur 40 minutes, ce sont 2 courts sont indépendants simplement relié par un unique carton.
La première partie n'a vraiment que peu d'interêt voire aucun. Gags se comptant sur les doigts de la main et peu inspirés. Celui interminable des bottes en est le meilleur de exemples.
C'est donc avec soulagement que la 2ème partie commence surtout qu'elle se révèle drôle. Laurel et Hardy tentent de cacher à leur propriétaire qu'ils ont un chien dans leur chambre. S'en suit un succèssion de chutes, de destructions, de maladresses classiques mais efficaces. On ne pourra que regretter le dernier tiers long et bavard qui voudrait nous émouvoir sur la relation entre les 2 gaffeurs.

Les 3 autres sont
Son altesse royale ( Double Whoopee - 1929 )
Ce court où Laurel et Hardy deviennent portier d'un grand hotel, humilliant de la sorte un prince allemand est tout à fait honnête. Le running gag de la chute dans la cage d'ascenseur est excellent, comme la trogne des seconds rôles. Après, encore une fois, les situations et les confrontations ( le chauffeur de taxi ) ne sortent pas du lot de leur filmographie mais ça fonctionne toujours sur moi.

Y-a Erreur ( Wrong Again - 1929 )
Une chouette réussite qui doit essentiellement à la présence de Leo McCarey à la réalisation. Les cartons sont pleins d'esprit, la réalisation alerte et dynamique et l'histoire rondement mené et exploitant bien le postual : Stan et Oliver ramène chez un bourgeois un cheval portant le même nom qu'un tableau volé.
On regrettera juste que les gags se déroulent sur un peu trop longtemps atténuant du coup leur force.

Un animal encombrant ( Angora love - 1929 )
On retourne dans le trés moyen. C'est d'ailleurs quasiment la même trame que la 2ème partie des carottiers sauf que le chien est remplacé par une chèvre et que c'est beaucoup moins drôle. Seul le moment - vu et revu - où Laurel, Hardy et un 3ème acteur se lancent tour à tour une bassine d'eau parvient à décrocher un sourire.
Autant dire que c'est peu.

[villag]

Un de mes preferes: LES COMPAGNONS DE LA NOUBA; Yves Robert a du s'en inspirer dans UN ELEPHANT..........; dans le premier, les épouses de nos 2 compères s'aperçoivent en regardant les actualites cinema, que leurs epoux, sois disant au travail, s'amusent comme des fous à New York; dans le film d'Yves Robert, c'est en regardant le tele que l'epouse de Jean Rochefort s'aperçoit que son mari la trompe....dans les 2 cas, le même gag!

[Watkinssien]

C'est toujours un plaisir de visionner les films mettant en scène ces deux grands burlesques du cinéma.

J'aodre particulièrement La Bataille du Siècle de Clyde Bruckman, Oeil pour Oeil de James Wesley Horne et Laurel et Hardy menuisiers de Lloyd French !

[someone1600]

Je crois malheureusement n'avoir pas encore eu la chance de voir l'un de leurs films...

[allen john]

Etant depuis quelques temps en possession des 21 volumes de la quasi intégrale Britannique 1926-1941 de Laurel et Hardy, chez Universal, je me suis proposé (Et comme je m’entends bien avec moi-même, j’ai aussitôt accepté) de recenser les films, volume par volume, en effet les 21 DVD proposent de façon plus ou moins thématique et donc dans le plus grand désordre les films, qu’ils soient courts, moyens ou longs. Il s’agit donc, je le répète, de la version zone 2 UK, qui diffère de la version Française par une certain nombre de points : tous les films Roach de Laurel et Hardy ayant survécu y figurent, à l’exception de trois films : March of the Wooden soldiers, The devil’s brother (Alias Fra Diavolo) et Bonnie Scotland. On n’y trouve pas non plus The Flying deuces, le fameux (et très francheemnt ennuyeux) film connu sous le titre de L et H conscrits, tournés pour la RKO pendant le contrat Roach. Sont par contre représentés les courts métrages Roach avec soit Laurel et Hardy, en tant que duo constitué, faisant une petite apparition clin d’œil, soit avec les deux comédiens indépendamment l’un de l’autre, interprétant avant leur formation des rôles leur permettant éventuellement de jouer quelques scènes ensemble dans des films tournés avant leur regroupement crucial et définitif, avec Do detectives think, en 1927. Les 21 volumes sont par ailleurs riches en versions alternatives de films, depuis quelques versions étrangères, tournées en parallèle aux longs et moyens métrages, présentant parfois des scènes exclusives, jusqu’à des versions colorisées aux métrages souvent différent des versions Net B. Bref, il y a de la matière, et je vais (On peut toujours essayer) rendre à l’humanité souffrante un grand service en y mettant bon ordre… Je vais donc les répertorier selon leur date de réalisation, les décrire brièvement, et attribuer à chaque film sa place dans le volume correspondant.

A noter que cette collection est organisée de la façon suivante : chaque volume impair tourne autour d’un long métrage spécifique (A l’exception du volume 21, qui est construit autour d’une copie originale de Brats , un court de deux bobines.), et chaque volume pair est une collection de courts et de moyens métrages réunis par thème (La neige, Aventures maritimes, Vie conjugale, etc). Enfin, il convient de rappeler que cette collection n’offre de sous-titres qu’en anglais, et encore uniquement sur les films parlants en anglais : les versions Espagnoles , Françaises et les extraits d’une version Allemande (Pardon us, sur le volume 21) en sont dénués.

Cette filmographie doit beaucoup (et même plus !) à celle établie par Randy Skretvedt dans son livre indispensable Laurel & Hardy, the magic behind the movies, paru en 1987 chez Moonstone Press .

Les sept premiers films sont tous en deux bobines, comme tous les films muets de Laurel et Hardy.

45 minutes from Hollywood (VOLUME 12) Décembre 1926. Réal : Fred Guiol

Les sept premiers films sont tous des films pré-Laurel et Hardy, tournés à une époque durant laquelle Roach ne savait pas quoi faire avec ses vedettes. Ce premier film en est un bon exemple, tourné par un assez anonyme tâcheron du studio, avec une vedette qui ne percera jamais (Glenn Tryon, également héros de Along Came Auntie , de Fred Guiol, disponible sur le volume 9, ainsi que de Lonesome, de Paul Fejos, tourné en 1928) et qui offre une participation mineure de Hardy. Laurel et Hardy participent, mais ne servent pas à grand-chose, dans un film qui ressemble çà de l’authentique bas de gamme.

Duck soup (VOLUME 12) Janvier 1927. Réal: Fred Guiol

Roach avait demandé un scenario à Laurel, dans le but de construire un film autour de l’acteur: s’inspirant d’un sketch écrit par son père, Laurel incvente une improbable et impeccable histoire de maison squattée par des vagabonds, un corpulent autoritaire et un fluet déphasé . Roach envisageait de donner le rôlr du premier à Syd Crossley, mais c’est Hardy qui en a hérité, prouvant ainsi que l’alchimie entre Laurel et Hardy était une réalité. Le film est drôle, et il revient de loin, puisqu’il a longtemps été considéré comme perdu.

Slipping wives (VOLUME 10) Janvier 1927. Réal: Fred Guiol

La réussite de Duck soup n’a pas permis à Roach et Laurel de continuer la formule, et les deux acteurs sont à nouveau séparés dans ce petit film, dont la réussite est réelle, mais qui n’exploite que peu l’interaction entre les deux futurs partenaires. Ce Slipping wives fait partie d’une série de films dans lesquels Roach faisait tournéer des has been, et un mélange curioeux de comédie sophistiquée et de boulevard outrancier. Laurel est un homme engagé par Priscilla Dean pour rendre son mari jaloux, et Hardy est le majordome, forcément irascible. Ce n’est pas un chef d’œuvre, mais c’est du Hal Roach en bonne forme, empreint de cette folie communicative qui n’épargne pas les héros, généralement bien comme il faut, de ces films.

Love’em and weep (VOLUME 8 ) Avril 1927. Réal: Fred Guiol

On s’approche de très près d’une vision d’avenir, avec un film de… Finlayson et Laurel, dans lequel le grand Hardy fait une apparition, et Mae Busch (Rhaa Lovely) fait plus qu’une apparition, dans une tentative de come-back après une dépression nerveuse. Somme toute, l’actrice Australienne revient à ses premières amours, elle qui a joué les pin-ups chez Sennett en 1915… Elle est une vamp qui menace de chantage la félicité conjugale de Finlayson, celui-ci n’ayant d’autre ressource que de demander son aide à son collaborateur Laurel, dont le mariage va souffir aussi. Sur un scénario cousin, charley Chase avait déjà tourné Too many mammas en 1925, et Laurel et Hardy reviendront à cette histoire en 1931 sous le titre Chickens come home.

Why girls love sailors (VOLUME 16) Mai 1927. Réal: Fred Guiol

Un petit film de plus, dans lequel Laurel est un marin inepte, Hardy un second brutal, et Malcolm Waite un méchant vraiment méchant. A part la toute première apparition de ainta Garvin (Méconnaissable), pas grand-chose à glaner, les scènes se suivent de coups de pieds en coups de pieds, et Laurel et Hardy se voient assez peu. De toutes façons, il s’agit d’une histoire de marins infidèles dans laquelle Laurel est le valeureux héros, actif et (relativement) efficace, donc on n’est pas encore chez Laurel et Hardy…

With love and hisses (VOLUME 7) Mai 1927. Réal: Fred Guiol

Premier film militaire, dans lequel Finlayson est le colonel, Hardy le sergent et Laurel le troufion d’une troupe de soldats de la Garde Nationale. Hardy et Laurel jouent un peu plus l’un avec l’autre, et Laurel est de plus en plus égaré sur ce vaste monde, mais il y a encore un effort à faire…

Sailors beware! (VOLUME 16) Juin 1927. Réal: Hal Yates

Une autre histoire de marins, située cette fois sur un transatlantique, avec un scénario assez élaboré. De nouveau, on peut déplorer que les deux comparses n’aient que peu de scènes ensemble, mais on remarquera chez Hardy un trait qui ira en s’accentuant : il aime les femmes, et perd toute agressivité en leur présence, jouant avec ses mains d’une façon inimitables dans des mimiques gracieuses et joyeusement ridicules. Laurel, une fois de plus, est le héros d’une improbable histoire de vol de bijoux, par des escrocs qui ne sont autres que Anita Garvin et son mari interprété par Harry Earles (Freaks), qui se fait passer pour un bébé.

[someone1600]

Encore un topic qui s'annonce passionnant Allen John.

Tu es décidemment un expert du muet... Faudrais que je découvre ca moi aussi... deja j'ai commencé un peu avec les chaplin dont j'ai visionné les 5 ou 6 premiers films. (courts)

[ex-beldvd man]

J'avais fait une feuille Excel qui reprenait la liste de leurs courts-métrages avec les différences de disponibilité dans le coffret UK et les DVD individuels FR. Je vais t'envoyer le lien en MP, cela peut peut-être t'intéresser...