Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
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Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
J'ai beaucoup aimé la premiere aventure d'Harry Palmer, Ipcress Danger Immédiat; et je me demandais ce que valait la suivante?
Le DVD n'est pas très cher et j'ai bien envie de me laisser tenter...
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Tu as les avis de Lord Henry et Julien Léonard iciFrank Bannister a écrit :et je me demandais ce que valait la suivante?
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Je n'avais pas vu.
Vous pouvez cloturer ce topic.
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
A mon avis, il ne faut pas le cloturer. L'autre topic concerne Ipcress, danger imédiat, réalisé par Sidney J. Furie...Frank Bannister a écrit :Vous pouvez cloturer ce topic.
- Boubakar
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Je ne connaissais que de nom le personnage de Harry Palmer, brillamment interprété par Michael Caine, mais ça ne m'a pas empêché d'être déçu par le film, que j'ai trouvé un peu trop sage, conventionnel.
Si je me fie aux avis de Lord Henry et Julien, ce deuxième volet est le moins intéressant, donc je suis quand même curieux de voir ce personnage dans d'autres circonstances (notamment Icpress).
A noter une petite anecdote, il parait que c'est le premier film où le héros est orné de lunettes (j'avais lu ça sur un ancien numéro de Première).
Si je me fie aux avis de Lord Henry et Julien, ce deuxième volet est le moins intéressant, donc je suis quand même curieux de voir ce personnage dans d'autres circonstances (notamment Icpress).
A noter une petite anecdote, il parait que c'est le premier film où le héros est orné de lunettes (j'avais lu ça sur un ancien numéro de Première).
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Oui, pareil. Si le film se regarde sans peine, il est aussitôt oublié. Une production lambda de plus, typiquement sixties.Boubakar a écrit :Je ne connaissais que de nom le personnage de Harry Palmer, brillamment interprété par Michael Caine, mais ça ne m'a pas empêché d'être déçu par le film, que j'ai trouvé un peu trop sage, conventionnel.
Si je me fie aux avis de Lord Henry et Julien, ce deuxième volet est le moins intéressant, donc je suis quand même curieux de voir ce personnage dans d'autres circonstances (notamment Icpress).
A noter une petite anecdote, il parait que c'est le premier film où le héros est orné de lunettes (j'avais lu ça sur un ancien numéro de Première).
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Notez les films naphtas - Octobre 2010
Mes Funérailles à Berlin de Guy Hamilton (1967)
Le colonel Stok, un agent des services soviétiques responsable de la sécurité du Mur de Berlin, semble vouloir passer à l'Ouest, mais les preuves sont contradictoires. Stok demande aux Britanniques de prendre en charge l'opération et demande à ce que l'un de leurs agents, Harry Palmer, le fasse sortir clandestinement de RDA.
Deuxième volet de la trilogie Harry Palmer, Mes Funérailles à Berlin constitue un parfait équilibre entre la paranoïa du premier Ipcress danger Immédiat et de la fomlie furieuse du 3e Un cerveau d'un milliards de dollars orchestré par Ken Russell. C'est celui des trois donnant le plus dans l'espionnage classique à travers un intrigue sur fond de passage à l'Ouest, d'anciens nazis et de trésor de guerre. On pouvait craindre épisode moyen avec la présence derrière la caméra de Guy Hamilton, responsable d'un bon James Bond par accident avec Goldfinger (Terence Young en avait assuré la pré production et le découpage avant de se faire virer par les Broccoli au moment de tourner)avant de se révéler dans toute sa médiocrité lors des 3 autres épisodes qu'il fera entre le mollasson Les Diamants sont éternels et les nullissimes Vivre et laisser mourir et L'Homme au pistolet d'or.
Ici bien entouré par l'équipe technique du premier film (Ken Adam aux déors, Otto Heller à la photo entre, ne manque John Barry à la partition)malgré une mise en scène assez classqique et neutre (surtout en regard des expérimentations de Ipcress)Hamilton offre là son meilleur film. L'intrigue dépeint la mission de Palmer destiné à faire passer à l'Ouest un général russe (Oskar Homolka qui revient dans l'épisode suivant) menacé par les multiple évasions récente de Berlin Est. Bien évidemment, ce point de départ nous emmène bien plus loin à coup de rebondissements, pièges et chasse trappe divers remarquablement orchestré. Pourtant tout cela nous est narré sur un tempo nonchalant marqué par la personnalité de Michael Caine. Les aspect atypiques du premier films se retrouvent ici entre la description très terre à terre des services secrets (le service fausse identité quasi artisanal) ou un Harry Palmer toujours plus désabusé, alors qu'un Bond sous la décontraction demeure un vrai patriote Palmer un juste un professionnel qui effectue ses missions en rechignant (la fin de Ipcress l'a mis en position de faiblesse face au service et il récolte de divers sales boulot) et sans passion. Son ingéniosité n'en est que mieux souligné, il faut attendre les 10 dernières minutes pour un semblant de scène d'action sinon tout le film est une immense partie stratégique entre les service soviétique, anglais et israelien dont les enjeux se dévoilent progressivement. L'humour pince froid est omniprésent avec un Michael Caine impérial que ce soit les agent berlinois outrés de le voir recruter les plus grands escrocs de la ville pour ses tractations ou ce savoureux moments où Palmer réplique à une jeune femme au décolleté plongeant "England loves you".
En gros les aquis et innovation de Ipcress se fonde dans un aspect plus conventionnel sans être désagréable, avant que Ken Russell fasse tout voler en éclats avec le suivant totalement azimuté. 4,5/6 Par curiosité je verrai bien les deux épisodes un peu à part sorti dans les années 90...
Le colonel Stok, un agent des services soviétiques responsable de la sécurité du Mur de Berlin, semble vouloir passer à l'Ouest, mais les preuves sont contradictoires. Stok demande aux Britanniques de prendre en charge l'opération et demande à ce que l'un de leurs agents, Harry Palmer, le fasse sortir clandestinement de RDA.
Deuxième volet de la trilogie Harry Palmer, Mes Funérailles à Berlin constitue un parfait équilibre entre la paranoïa du premier Ipcress danger Immédiat et de la fomlie furieuse du 3e Un cerveau d'un milliards de dollars orchestré par Ken Russell. C'est celui des trois donnant le plus dans l'espionnage classique à travers un intrigue sur fond de passage à l'Ouest, d'anciens nazis et de trésor de guerre. On pouvait craindre épisode moyen avec la présence derrière la caméra de Guy Hamilton, responsable d'un bon James Bond par accident avec Goldfinger (Terence Young en avait assuré la pré production et le découpage avant de se faire virer par les Broccoli au moment de tourner)avant de se révéler dans toute sa médiocrité lors des 3 autres épisodes qu'il fera entre le mollasson Les Diamants sont éternels et les nullissimes Vivre et laisser mourir et L'Homme au pistolet d'or.
Ici bien entouré par l'équipe technique du premier film (Ken Adam aux déors, Otto Heller à la photo entre, ne manque John Barry à la partition)malgré une mise en scène assez classqique et neutre (surtout en regard des expérimentations de Ipcress)Hamilton offre là son meilleur film. L'intrigue dépeint la mission de Palmer destiné à faire passer à l'Ouest un général russe (Oskar Homolka qui revient dans l'épisode suivant) menacé par les multiple évasions récente de Berlin Est. Bien évidemment, ce point de départ nous emmène bien plus loin à coup de rebondissements, pièges et chasse trappe divers remarquablement orchestré. Pourtant tout cela nous est narré sur un tempo nonchalant marqué par la personnalité de Michael Caine. Les aspect atypiques du premier films se retrouvent ici entre la description très terre à terre des services secrets (le service fausse identité quasi artisanal) ou un Harry Palmer toujours plus désabusé, alors qu'un Bond sous la décontraction demeure un vrai patriote Palmer un juste un professionnel qui effectue ses missions en rechignant (la fin de Ipcress l'a mis en position de faiblesse face au service et il récolte de divers sales boulot) et sans passion. Son ingéniosité n'en est que mieux souligné, il faut attendre les 10 dernières minutes pour un semblant de scène d'action sinon tout le film est une immense partie stratégique entre les service soviétique, anglais et israelien dont les enjeux se dévoilent progressivement. L'humour pince froid est omniprésent avec un Michael Caine impérial que ce soit les agent berlinois outrés de le voir recruter les plus grands escrocs de la ville pour ses tractations ou ce savoureux moments où Palmer réplique à une jeune femme au décolleté plongeant "England loves you".
En gros les aquis et innovation de Ipcress se fonde dans un aspect plus conventionnel sans être désagréable, avant que Ken Russell fasse tout voler en éclats avec le suivant totalement azimuté. 4,5/6 Par curiosité je verrai bien les deux épisodes un peu à part sorti dans les années 90...
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Le Mur tenait toujours la dernière fois que je l'avais vu... et alors plutôt trouvé sympa. Mais je suis forcé de reconnaître qu'il a pris un sérieux coup d'mou dans l'aile. Le début est toujours aussi plaisant mais très vite le rythme devient monotone. La superposition des intrigues (vraie-fausse défection d'un colonel soviétique, recherche par le Mossad d'un ex-nazi) avec le lot habituel de chausses-trappes et de duperies peinent à captiver. Le tout filmé sans aucune imagination.
Si ça se laisse malgré tout regarder, c'est pour un bon rendu de la sinistrose berlinoise des 60's avec ses immenses terrains vagues, ses baraques de briques en ruines, ses avenues trop larges, sa grisaille sous l'éclat froid de l'énorme étoile Mercedes (ça sent le placement de produit, elle est plusieurs fois dans le cadre et une scène est carrément tournée juste à côté sur le toit du building*).
Et puis surtout pour la cool-attitude de Caine reprenant son personnage d'espion binoclard grand amateur de jolies femmes (avec au début une réplique machiste qui ferait presque frémir son Alfie quand il dit à sa copine en liquette qu'elle n'a rien à faire à la cuisine et lui intime l'ordre d'aller au pieu !)
Mais pas pu m'empêcher de sourire moi aussi au timing parfait du bref échange entre Caine et la très sexy Ira Hagen qui lui fait généreusement apprécier la profondeur de son décolleté dans la boîte de travestis :
- I like England...
- England likes you...
Bis-repetita peu après lors de la rencontre avec la belle agente du Mossad dans son taxi lorsqu'elle lui demande avec une feinte ingénuité si il aime la robe qu'elle s'est dessinée...
Il est loin le temps où l'on reconnaissait un gentleman anglais à ce que lui seul était capable de dire "Pardon Monsieur !" après s'être trompé de porte pour tomber accidentellement sur une demoiselle au bain...
(*) Détail en soi banal mais qui résume toute la situation absurde de l'époque et le décalage temporel : des deux côtés du Mur (construit il y a seulement 5 ans) on roule en taxi Mercedes mais l'Ouest a droit au modèle 190D quand l'Est en est resté aux antiques 170D.
Si ça se laisse malgré tout regarder, c'est pour un bon rendu de la sinistrose berlinoise des 60's avec ses immenses terrains vagues, ses baraques de briques en ruines, ses avenues trop larges, sa grisaille sous l'éclat froid de l'énorme étoile Mercedes (ça sent le placement de produit, elle est plusieurs fois dans le cadre et une scène est carrément tournée juste à côté sur le toit du building*).
Et puis surtout pour la cool-attitude de Caine reprenant son personnage d'espion binoclard grand amateur de jolies femmes (avec au début une réplique machiste qui ferait presque frémir son Alfie quand il dit à sa copine en liquette qu'elle n'a rien à faire à la cuisine et lui intime l'ordre d'aller au pieu !)
Mais pas pu m'empêcher de sourire moi aussi au timing parfait du bref échange entre Caine et la très sexy Ira Hagen qui lui fait généreusement apprécier la profondeur de son décolleté dans la boîte de travestis :
- I like England...
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Il est loin le temps où l'on reconnaissait un gentleman anglais à ce que lui seul était capable de dire "Pardon Monsieur !" après s'être trompé de porte pour tomber accidentellement sur une demoiselle au bain...
Côté anecdote, j'ai découvert qu'Eva Renzi et Paul Hubschmid (qui joue le pote faux-frère de Caine) venaient de tourner ensemble la même année 1966 dans Playgirl de Will Tremper, film ouest-allemand conçu pour lancer la carrière de la débutante. La déjà très hübsch Eva devint Frau Hubschmid l'année suivante.
Dernière modification par Federico le 20 janv. 14, 22:53, modifié 4 fois.
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Voilà, avec Michael Caine, ça suffit à donner un film plaisant, mais il faut bien admettre que c'est le Harry Palmer le plus faible des trois épisodes des 60's. Coincé entre la noirceur d'Ipcress File et la folie de Billion Dollar Brain, il apparaît plus terne, bien moins intéressant et innovant.Federico a écrit : Si ça se laisse malgré tout regarder, c'est pour un bon rendu de la sinistrose berlinoise des 60's avec ses immenses terrains vagues, ses baraques de briques en ruines, ses avenues trop larges, sa grisaille sous l'éclat froid de l'énorme étoile Mercedes (ça sent le placement de produit, elle est plusieurs fois dans le cadre et une scène est carrément tournée juste à côté sur le toit du building).
Et puis surtout pour la cool-attitude de Caine reprenant son personnage d'espion binoclard grand amateur de jolies femmes (avec au début une réplique machiste qui ferait presque frémir son Alfie quand il dit à sa copine en liquette qu'elle n'a rien à faire à la cuisine et lui intime l'ordre d'aller au pieu !)
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
J'ai un gros faible pour Billion dollar brain: humour, folie, irrévérence (le méchant est un anticommuniste) , très beau générique, bataille parodiant Alexandre Nevski et Françoise Dorléac dans son dernier rôle.Rick Blaine a écrit :Voilà, avec Michael Caine, ça suffit à donner un film plaisant, mais il faut bien admettre que c'est le Harry Palmer le plus faible des trois épisodes des 60's. Coincé entre la noirceur d'Ipcress File et la folie de Billion Dollar Brain, il apparaît plus terne, bien moins intéressant et innovant.Federico a écrit : Si ça se laisse malgré tout regarder, c'est pour un bon rendu de la sinistrose berlinoise des 60's avec ses immenses terrains vagues, ses baraques de briques en ruines, ses avenues trop larges, sa grisaille sous l'éclat froid de l'énorme étoile Mercedes (ça sent le placement de produit, elle est plusieurs fois dans le cadre et une scène est carrément tournée juste à côté sur le toit du building).
Et puis surtout pour la cool-attitude de Caine reprenant son personnage d'espion binoclard grand amateur de jolies femmes (avec au début une réplique machiste qui ferait presque frémir son Alfie quand il dit à sa copine en liquette qu'elle n'a rien à faire à la cuisine et lui intime l'ordre d'aller au pieu !)
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Je préfère Ipcress, pour son atmosphère oppressante, mais je dois dire que j'aime beaucoup le film de Russell également. Surprenant au premier abord, je ne m'attendais à ce type de film dans la série, mais finalement très réussie, et que son humour et sa folie rendent passionnant.blaisdell a écrit :J'ai un gros faible pour Billion dollar brain: humour, folie, irrévérence (le méchant est un anticommuniste) , très beau générique, bataille parodiant Alexandre Nevski et Françoise Dorléac dans son dernier rôle.Rick Blaine a écrit :
Voilà, avec Michael Caine, ça suffit à donner un film plaisant, mais il faut bien admettre que c'est le Harry Palmer le plus faible des trois épisodes des 60's. Coincé entre la noirceur d'Ipcress File et la folie de Billion Dollar Brain, il apparaît plus terne, bien moins intéressant et innovant.
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Pareil que tout le monde : en dépit d'un très bon scénario, peut-être le meilleur de la saga, le pire épisode des Harry Palmer, flingué par la mise en scène asthmatique de Guy Hamilton.
- Watkinssien
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
Ah au contraire, je trouvais la mise en scène assez élégante dans mon (vieux) souvenir, ce qui m'a rendu ce film plaisant.Borislehachoir a écrit :Pareil que tout le monde : en dépit d'un très bon scénario, peut-être le meilleur de la saga, le pire épisode des Harry Palmer, flingué par la mise en scène asthmatique de Guy Hamilton.
Mais il faut que je le revoies.
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Re: Mes funérailles à Berlin (Guy Hamilton - 1966)
N'empêche que ce tryptique IPCRESS/ Mes funérailles à Berlin/Un cerveau d'un milliard de dollars, animé par trois cinéastes assez complémentaire, constituait une jolie franchise.
Au milieu des années 90, Michael Caine a repris le rôle dans deux films visiblement beaucoup plus modestes: Bullet to Beijing de George Mihalka et Midnight to St Petersburg de Doug Jackson.
Au milieu des années 90, Michael Caine a repris le rôle dans deux films visiblement beaucoup plus modestes: Bullet to Beijing de George Mihalka et Midnight to St Petersburg de Doug Jackson.