Teruo Ishii (1924-2005)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Alligator
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Teruo Ishii (1924-2005)

Message par Alligator »

http://akas.imdb.com/name/nm0411030/

Sexy chitai (Sexy Line) Teruo Ishii, 1961) :

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J'avais entendu ou lu que du bien de Teruo Ishii. Ce film me laisse à croire que ce n'est pas entièrement injuste. Le bonhomme a de la caméra, même si certains plans à l'épaule sont techniquement et visuellement à chier (suivre Teruo Yoshida dans les petites ruelles de Tokyo est un dur labeur pour l'estomac du spectateur). En dehors de ces rares moments, Ishii suit ses comédiens avec variété et invention la plupart du temps.

La présence de Yoko Mihara est l'assurance tout risque du film. Car le rythme du film n'est pas bien maitrisé. L'histoire est un peu longue à se mettre réellement en place et l'action n'est pas toujours bien efficace. Par contre cette actrice à chaque plan réussit à dynamiser avec grâce et humour, décontraction et naturel, à exploiter de la plus belle des manières le récit dans lequel son personnage s'implique de plus en plus. Yoshida parait bien palichon à côté de l'explosivité de la belle gouailleuse. En personnage populaire et effronté, elle emmène le grand dadais naïf dans le monde de la pègre, n'hésitant pas à se mettre en grand danger.

C'est donc un bon petit film qui peche un peu par le rythme branlant. Le film ne démarre littéralement qu'à la moitié, voire aux trois quarts du film.
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Re: Teruo Ishii (1924-2005)

Message par Tutut »

Il est plutot réputé pour les films d'exploitation qu'il a fait après, comme Bohachi Bushido: Code of the Forgotten Eight.
Alligator
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Re: Teruo Ishii (1924-2005)

Message par Alligator »

Ah? Dans tous les cas, il m'a fait belle impression sur ce petit film.
shaman
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Re: Teruo Ishii (1924-2005)

Message par shaman »

La série des Line est inégale mais sympa à regarder. Ça apporte un autre regard sur la filmo de Teruo Ishii, toujours très limitée à ses quelques produits d'exploitation nageant dans l'excès outrancier. Un bon artisan quoi 8)

Si jamais ça intéresse, un dossier sur cette série.
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Re: Teruo Ishii (1924-2005)

Message par Alligator »

shaman a écrit :Si jamais ça intéresse, un dossier sur cette série.
Oui, ça intéresse. Merci
"Et dans son approche de cette ville japonaise, entre liberté décomplexée et véritable piège à rats, une Nouvelle Vague française se fait sentir".
Exact, j'ai oublié de le noter dans ma critique, mais j'y ai aussi fortement pensé à plusieurs reprises. Entre la fraicheur du personnage joué par Yoko Mihara et la vivacité de la caméra, on ne peut échapper à la Nouvelle Vague.

Je pourrais dire aussi que le film me fait penser plus encore à Vivement Dimanche de Truffaut, dans la relation entre les deux personnages principaux et cette fausse ingénuité de la jeune fille.
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Profondo Rosso
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Re: Notez les films naphtas - Octobre 2009

Message par Profondo Rosso »

Blind Woman's Curse de Teruo Ishii (1970)

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Petite déception, des idées folles et une réalisation par moment fabuleuse de teruo Ishii mais comme souvent avec lui la narration pêche vraiment ent entâche pas mal la vision. Un ouverture fabuleuse avec un saisissant combat en studio sous la pluie pui s'ensuit une narration en flashback (sans retour au présent dans la conclusion. On suit le duel à distance entre deux clans yakuzas, celui dirigé par Meiko Kaji subissant régulièrement les provocation de ses adversaires multipliant les manipulation et les traitrises pour les anihiler. En parallèle une ambiance fantastique s'immisce progressivement avec un Meiko Kaji en proie à des vision terrifiant la faisant soupçonner une malédiction pesant sur elle, tandis que dans le camp adverse officie une redoutable combattante aveugle aux desseins nébuleux. Toout va se résoudre dans un duel final crépusculaire et visuellement somptueux entre Meiko Kaji et la sabreuse aveugle (campée par Hoki Tokuda à la présence mystérieuse). EEntre temps, des séquences ouvertement fantastique hypnotique entre les apparitions du chat noir toujours saisissantes, les séquences barré entre Hoki Hokuda et son serviteur bossu ou encore des élans de sadisme bien tordu comme cet arrachage de tatouage douloureux. Malheureusement ça se traîne pas mal en dehors de ses moments fort malgré des personnage secondaires attachants et une Meiko Kaji moins glaciale (mais un peu trop en retrait) qu'à l'accoutumée. Meiko Kaji passe quasiment tout le film à subir affront et humiliation au sein de son clan pour une réaction uniquement dans les dix dernière minute du film, assez frustrante niveau action sorti du duel. Sans la maestria de Ishii ça serait limite anecdotique mais on retrouve pas mal de prémices de son futur et autrement plus palpitant "Female Yakuza Tale". 4/6

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Alligator
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Re: Teruo Ishii (1924-2005)

Message par Alligator »

Yakuza keibatsu-shi: Rinchi - shikei! (La Loi yakuza) (Teruo Ishii, 1969) :

http://alligatographe.blogspot.com/2009 ... hikei.html

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Dans le genre polar violent, ce film-là pourrait être comparé à un porno. La violence est omniprésente, elle est l'essence même du film car au coeur des rapports humains au sein du système Yakuza. Aussi Teruo Ishii cinéaste de la violence, spécialiste des films de torture, trouve-t-il un terrain de jeu idéal pour filmer toutes sortes de pratiques tortionnaires que subissent les ennemis des Yakuzas ou les membres qui ont violé les règles du gang.

Le fim est divisé en trois parties, trois histoires, trois époques, l'une médiévale, une autre plus moderne (estimation personnelle, donc qu'il faut prendre avec des baguettes) et la dernière contemporaine (années 60-70). Chacun de ces scketchs a pour sujet une loi bafouée et ses conséquences : un déferlement de violences diverses et variées (énucléation, découpage de langue, scalp, noyade, brisure de mimine, traditionnel tronçonnage de doigts, brûlures, etc.) où l'honneur est l'enjeu central. Chaque histoire permet donc de présenter une galerie de personnages, certains truculents à souhait, d'autres plus proches du mythe, à la manière des westerns spaghettis et leus univers baroques, proches de l'antique tragédie.

En fait le film fait de nombreuses références au cinéma bis occidental : western, giallo, horreur gore et même au film noir. Cette association d'influences hétéroclites produit un film très spectaculaire, parfois drôle, souvent effrayant. L'exagération, l'accumulation d'excès visuels et violents est l'occasion d'un pur divertissement bis. Le déferlement continu de violence parvient à faire oublier les mauvais acteurs -il y en a quelques-uns- et met en valeur de réelles bonnes performances des autres.

Reste également un film nerveux, jamais ennuyeux et parfois très joliment filmé. La réalisation dynamique à souhait, relève avec classe le pari de ne pas s'appuyer sur un classicisme poltron. Au contraire, Ishii prend des risques dans ses outrances et réussit la gageure de créer un film bien fichu. Dans le genre "film de yakuza" violent, ce film peut prétendre aisément au podium, très représentatif, un "must".
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Re: Teruo Ishii (1924-2005)

Message par todslaughter »

A part les projections à la Cinémathèque de "Femmes criminelles" et "L'enfer des tortures", à peu près tout ce qu'on a pu voir de Teruo Ishii en salles, ce sont les (sympathiques) aventures de "L'invincible Spaceman", réunies en trois longs-métrages, non ?
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Re: Teruo Ishii (1924-2005)

Message par Eigagogo »

todslaughter a écrit :A part les projections à la Cinémathèque de "Femmes criminelles" et "L'enfer des tortures", à peu près tout ce qu'on a pu voir de Teruo Ishii en salles, ce sont les (sympathiques) aventures de "L'invincible Spaceman", réunies en trois longs-métrages, non ?
Teruo Ishii était l'invité de l'étrange festival 2004, avec notamment les projections de:
Prisonnier d'Abashiri
Femmes Criminelles
Orgies sadiques de l'ère Edo
L'enfer des tortures
L'Effrayant Docteur Hijikata
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hellrick
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Re: Notez les films naphtas - Octobre 2010

Message par hellrick »

MEURTRE PAR PROCURATION (NIGHTMARE)
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4,5/6

Réalisé par le souvent sous-estimé Freddie Francis, NIGHTMARE constitue un bon exemple de « psycho thriller », évidemment inspiré par les grands classiques de l’épouvante à twist que furent PSYCHOSE ou LES DIABOLIQUES mais néanmoins suffisamment original pour emporter l’adhésion. La Hammer proposa d’ailleurs plusieurs films sur ce modèle comme par exemple HURLER DE PEUR ou PARANOIAQUE.

L’intrigue, signée du grand scénariste Jimmy Sangster, se montre au départ assez convenue et prévisible mais la seconde partie du métrage, beaucoup plus surprenante, relance l’intérêt.
Janet, une jeune fille mal dans sa peau, souffre de cauchemars récurrents depuis son plus jeune âge, époque où elle a vu sa mère poignarder son père jusqu’à ce que mort s’ensuive. Victime de visions macabres, Janet se voit forcée de quitter son école pour rentrer à la maison familiale, sous l’observation d’un médecin chargé de veiller sur elle et de la guérir, si toutefois c’est possible. Malheureusement, la situation empire et Janet est assaillie de rêves morbides de plus en plus réalistes, au point qu’elle commence à soupçonner l’existence de forces occultes désirant sa perte…

Production Hammer atypique loin des monstres du bestiaire traditionnel (vampires, loups-garous,…) ayant assuré la renommée de la compagnie, NIGHTMARE se révèle décidément très intéressant et parfois même passionnant. La principale qualité du film de Francis réside bien sûr dans le script très travaillé de Jimmy Sangster. Si les quarante premières minutes se conforment aux clichés du « psycho thriller » en détaillant la sombre machination visant à pousser une jeune fille à commettre un meurtre (pas de surprise ici, le spectateur comprend rapidement la direction que va suivre l’intrigue), la seconde moitié se montre nettement plus originale en multipliant les retournements de situation surprenants. Evidemment, NIGHTMARE brode un peu avec le vraisemblable lors de la succession finale de pirouettes « capilotractées » mais, comme il s’agit d’une caractéristique du genre et que Sangster amène tous ces twists avec beaucoup de talent nous ne ferons pas le difficile et prendrons l’ensemble comme un honnête divertissement horrifique bien ficelé.
Dés la première séquence, un passage intriguant et angoissant situé dans un asile psychiatrique qui se révèle en réalité un cauchemar assaillant la jeune héroïne, NIGHTMARE accroche le public et entame un jeu macabre dans lequel les apparences s’avèrent trompeuses, amenant le spectateur a constamment remettre en question la « réalité » des images proposées. Un travail splendide pour une construction scénaristique d’une belle richesse témoignant de l’inventivité d’un Sangster n’hésitant jamais à pratiquer la surenchère afin de maintenir l’intérêt.

Au niveau de la mise en scène, Francis se montre pour sa part franchement efficace et même inspiré, tirant admirablement parti d’un noir et blanc riche et oppressant. Optant pour un métrage ramassé et sans fioriture, le cinéaste quitte rarement les personnages principaux et sa caméra les suit dans des intérieurs menaçants. Une séquence particulièrement réussie nous montre une des protagonistes, cadrée en plongée, explorer une pièce déserte. Une porte claque et la jeune femme se trouve filmée en contre-plongée, la peur se lisant sur son visage. Simple mais effectif, à l’image du métrage dans son ensemble que l’on aurait tort de limiter à une belle « mécanique » angoissante. Le vétéran John Wilcox, responsable de la photographie, utilise, de son côté, les ombres à bon escient pour épaissir davantage l’atmosphère et donner une personnalité à ce NIGHTAMRE. Visuellement, le métrage s’avère donc de toute beauté et s’inscrit résolument dans le peloton de tête des plus grandes réussites esthétique de la Hammer. Les séquences de cauchemar possèdent en outre une véritable qualité et dégagent l’onirisme fantastique requis, Francis réussissant des passages très convaincants sans que le spectateur ne puisse trancher sur la véracité des faits proposés. Rêves, hallucinations ou événements réels ? Les différentes interprétations coexistent et le scénario, malin, n’en réfute aucune avant les dernières minutes de projection.

L’intrigue complexe de Sangster nécessitait un casting concerné pour rendre vraisemblable certaines séquences pouvant, en de mauvaises mains, faire basculer le métrage dans le comique involontaire et le ridicule. Heureusement, les interprètes sont toujours crédibles et Jennie Linden, remplaçant Julie Christie, livre une performance mémorable de jeune fille à la fois paniquée et hystérique, susceptible de plonger dans la folie ou de devenir une meurtrière à la moindre fêlure de sa raison. Julie Linden a quasi exclusivement travaillé pour la télévision (notons parmi ses rares apparitions sur les grands écrans Dr WHO AND THE DALEKS et WOMEN IN LOVE de Ken Russell) mais se sort remarquablement de ce rôle difficile. Moira Redmond, David Knight et la plupart des seconds rôles sont tout aussi convaincants et ce casting solide concourt lui aussi à la réussite de NIGHTMARE. Notons d’ailleurs la belle caractérisation des personnages, en particulier celui de Janet, que le film va pourtant évacuer de l’intrigue durant sa seconde moitié, reprenant la construction particulière de PSYCHOSE et déplaçant le centre d’attention d’une protagoniste à une autre.

En résumé, NIGHTMARE, loin d’être un simple décalque de PSYCHOSE ou des DIABOLIQUES (auquel le scénario emprunte cependant beaucoup), constitue une belle surprise dans le sous-genre, un temps fécond, du thriller horrifique teinté d’un surnaturel discret. Peu connu, le métrage mérite largement d’être redécouvert et réévalué pour en apprécier toutes les qualités et les fans de la Hammer aimeront sans doute se plonger dans les méandres de son scénario. A (re)voir.
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Re: Notez les films naphtas - Octobre 2010

Message par Lord Henry »

Les Cents Cavaliers (1964)

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En l'an mille, un village de Castille sans histoires résiste à l'oppression des Maures grâce au courage et à la témérité d'un jeune marchand.

Savoureux exercice de distanciation, les cent cavaliers prend le spectateur à contrepied sans que jamais la mise en scène ne se départisse de son élégance. Les péripéties épousent le cours sinueux des quiproquos et des coïncidences, et l'héroïsme est fruit des circonstances bien plus qu'il ne préside à des exploits enflammés. L'ironie se conjugue à l'acuité politique afin d'éclairer le récit picaresque d'une intelligence dénuée de condescendance. En ouverture, nous sommes conviés aux vigoureux argument que s'échangent les parties antagonistes d'un conflit social, éclats d'un marxisme teinté de truculence; à l'ultime image, les ennemis d'hier unissent leurs efforts en une harmonie agricole qui ne manque pas d'évoquer une phalange fourriériste. Cottafavi prodigue une attention gourmande au chef des maures; prosélyte de l'efficacité économique, celui-ci entreprend de convertir l'agriculture locale à la rationalité d'un productivisme sans états d'âme. Drapé dans sa suffisance, il émaille les divers rebondissements de déductions sentencieuses qui s'avèrent inévitablement erronées.
Si le réalisateur laisse ses protagonistes, sans exception, s'exposer au ridicule, il veille néanmoins à souligner leur dignité dans les moments les plus dramatiques. Cet humanisme trouve son point d'orgue dans le combat final où le recours au noir et blanc efface les distinctions entre les adversaires pour ne plus laisser que des victimes sur le champ de bataille.
Dernière modification par Lord Henry le 25 oct. 10, 09:17, modifié 1 fois.
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Re: Notez les films naphtas - Octobre 2010

Message par Profondo Rosso »

Argh raté ça dommage en version longue en plus !
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monk
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Re: Notez les films naphtas - Octobre 2010

Message par monk »

la cheuvauchée des bannis de Andre De Toth

J'imagine qu'il n'est nul besoin de m'étendre sur ce film, bien que je n'ai pas trouvé de sujet dédié. Excellent en tout point. Vraiment interessant.
Spoiler (cliquez pour afficher)
Dans les petites choses auquelles j'aime faire attention, j'aime le titre français qui renvoie à la fin du film, lui donnant toute son importance, là où le titre original est un peu plus "général" (mais tout à fait approprié).
Dans le livre on voit aussi beaucoup de matériel promotionel (merci Wild SIde !), dont pas mal d'affiches avec Tina Louise dévétue, se jettant sur un flingue, prête à en découdre avec l'aggresseur; scène totalement absente du film ! Le marketing n'a vraiment pas d'époque...
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Jeremy Fox
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Re: Notez les films naphtas - Octobre 2010

Message par Jeremy Fox »

monk a écrit :la cheuvauchée des bannis de Andre De Toth

J'imagine qu'il n'est nul besoin de m'étendre sur ce film, bien que je n'ai pas trouvé de sujet dédié. Excellent en tout point. Vraiment interessant.
Spoiler (cliquez pour afficher)
Dans les petites choses auquelles j'aime faire attention, j'aime le titre français qui renvoie à la fin du film, lui donnant toute son importance, là où le titre original est un peu plus "général" (mais tout à fait approprié).
Dans le livre on voit aussi beaucoup de matériel promotionel (merci Wild SIde !), dont pas mal d'affiches avec Tina Louise dévétue, se jettant sur un flingue, prête à en découdre avec l'aggresseur; scène totalement absente du film ! Le marketing n'a vraiment pas d'époque...
Il y a éventuellement Ce topic
et la critique du site
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Re: Notez les films naphtas - Octobre 2010

Message par monk »

Jeremy Fox a écrit :Il y a éventuellement Ce topic
et la critique du site
Ha ! Merci !
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