ed a écrit :Alors moi, je ne m'attends pas à un titre spécifiquement, vu que la description devrait coller à plusieurs films, mais je compte sur vous pour citer celui auquel je pense en particulier et sur lequel je ne sais plus rien...
En fait, le principe général, c'est un peu celui d'Une femme disparaît d'Hitchcock (ou de La Moustache...) : un personnage disparaît, et à l'exception du protagoniste principal, personne ne semble se souvenir de son existence. Sauf que moi, je cherche surtout des films dans lesquels on se pose la question de savoir dans quelle mesure tout ceci est vrai, si le personnage principal n'a pas rêvé, s'il n'est pas fou... ça peut être récent ou pas, et plus vous me citez de titre, plus je suis content
Merci d'avance !
Est-ce qu'en ce qui concerne l'univers sériel quelqu'un t'aura proposé l'excellente et trop courte série "Nowhere Man (L'Homme de Nulle Part)", dont la phrase d'introduction au générique du protagoniste (incarné par Bruce Greenwood) est "Je m'appelle Thomas Veil. Ou du moins, c'est ce que je croyais. Je suis photographe. J'avais tout : une femme, Alyson, des amis, un métier passionnant. Et en l'espace d'un instant, on m'a tout pris. Tout ça à cause d'une photo. J'ai le négatif. Ils sont prêts à tout pour l'obtenir. Je tiens ce journal pour prouver que ces évènements sont réels. Je sais qu'ils le sont, ce n'est pas possible autrement..."
Dans ce qu'on lui a tout prix est son identité et sa vie, ce Thomas Veil, tel les Dr. Banner ou Kimble avant lui, allant traverser les Etats-Unis, sous différentes identités et survivant de petits métiers, pour tenter de comprendre ce qui lui arrive, dévoiler la terrible vérité et échapper à ses poursuivants...
Je recherche le titre d'un film récent (moins de 10 ans je pense), peut-être belge, en noir et blanc, avec un titre court je crois, vu à la TV (Arte ??), et avec un plot assez hard où un homme au chômage, par l'intermédiaire d'un copain va participer à un jeu cruel où des hommes riches parient sur les chances de survie des participants qui ont chacun un pistolet chargé (le barillet est tourné au hasard,avec une balle, puis avec deux,trois...), alors que ceux ci forment un cercle et se visent mutuellement, le survivant gagne le pactole et peut participer à une autre partie. Je sais, c'est glauque
Dernière modification par moonfleet le 28 avr. 14, 19:45, modifié 1 fois.
moonfleet a écrit :Je recherche le titre d'un film récent (moins de 10 ans je pense), peut-être belge, en noir et blanc, avec un titre court je crois, vu à la TV (Arte ??), et avec un plot assez hard où un homme au chômage, par l'intermédiaire d'un copain va participer à un jeu cruel où des hommes riches parient sur les chances de survie des participants qui ont chacun un pistolet chargé (le barillet est tourné au hasard,avec une balle, puis avec deux,trois...), alors que ceux ci forment un cercle et se visent mutuellement, le survivant gagne le pactole et peux participer à une autre partie. Je sais, c'est glauque
Ouiiis, c'est 13 Tzameti, merci Seven !!
C'est un film français réalisé par un réalisateur d'origine russe, l'édition anglaise (avec s-titres débrayables dixit un acheteur) est bradée sur Amazon.uk en plus
ed a écrit :Alors moi, je ne m'attends pas à un titre spécifiquement, vu que la description devrait coller à plusieurs films, mais je compte sur vous pour citer celui auquel je pense en particulier et sur lequel je ne sais plus rien...
En fait, le principe général, c'est un peu celui d'Une femme disparaît d'Hitchcock (ou de La Moustache...) : un personnage disparaît, et à l'exception du protagoniste principal, personne ne semble se souvenir de son existence. Sauf que moi, je cherche surtout des films dans lesquels on se pose la question de savoir dans quelle mesure tout ceci est vrai, si le personnage principal n'a pas rêvé, s'il n'est pas fou... ça peut être récent ou pas, et plus vous me citez de titre, plus je suis content
Help me please ! Ça fait plusieurs fois qu'en regardant l'émission cinéphile (et très pointue) Fuori Orario sur la Rai Tre, je tombe sur cet extrait placé en interlude où dans un Moscou hivernal et filmé avec un gros grain on suit l'errance d'un clochard au sexe indéfini et au masque tragique entre Conrad Veidt années 20, Artaud échappé de l'asile et un acteur kabuki. Extrait accompagné du sublime Alifib de Robert Wyatt (peut-être ajouté pour l'occasion par le monteur de l'émission). Quelqu'un peut-il me dire d'où ça provient ? J'ai bien pensé à Belà Tarr ou à Sokourov mais je connais trop peu ces cinéastes... Ou alors Bartas mais là j'ai vu la plupart et ça ne me rappelle rien.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
Federico a écrit :
Non non, c'est contemporain. D'après les bagnoles qui circulent et le look des habitants je dirais années 90, peu après la fin de l'URSS.
Ça n'a pas l'air d'être ça mais merci pour le lien... qui détaille bien mieux Fuori Orario que le propre site de l'émission (irrégulièrement tenu). Malheureusement, rien sur celle du week end dernier où j'ai chopé cet extrait.
Le problème avec Enrico Ghezzi c'est qu'il a l'habitude de parsemer son émission de fragments de films sans en préciser toujours l'origine (et je ne parle pas de ses "expérimentations" comme le soir où il a diffusé un docu d'Herzog à l'envers).
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
j'y ai pensé, mais celui-là est sans Bela Lugosi en Dracula. Peut-être plutôt Dracula (1931) , toujours de Browning, et avec Lugosi dans le rôle cette fois.
Dernière modification par aelita le 1 juin 14, 16:19, modifié 3 fois.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)