L'occasion pour ceux qui n'ont jamais vu ce film magnifique de passer à l'acter !Jedediah Leland a écrit :superbe dvd pour 5£97... dispo chez les anglais et plus chez les allemands!
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Les Dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962)
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
Qu'entends-tu par afféteries de mise en scène ?Jeremy Fox a écrit :Trop d’afféteries de mise en scène m'ont totalement cassé l'émotion censée ressentir. Pas non plus apprécié la direction d'acteur. Pourtant l'histoire aurait du profondément me toucher... mais non.
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
Père Jules a écrit :Qu'entends-tu par afféteries de mise en scène ?Jeremy Fox a écrit :Trop d’afféteries de mise en scène m'ont totalement cassé l'émotion censée ressentir. Pas non plus apprécié la direction d'acteur. Pourtant l'histoire aurait du profondément me toucher... mais non.
En gros, comment faire compliqué quand on veut faire simple ? J'aurais peut-être accroché à l'histoire si Bourguignon ne recherchait pas l'originalité à tout prix et à chaque plan. Son film m'a semblé presque pensé plus fortement sur la forme que sur le fond (qui est passionnant je l'avoue) ; et ça m'a très vite gonflé ce manque de sobriété. Et puis je dois avouer n'avoir pas accroché à l'interprétation de Hardy Kruger pas plus qu'à celle de la petite fille. Et là tu avoueras que ça peut être assez rédhibitoire.
Tout ceci est éminemment subjectif car le culot de l'histoire est bien là : tout à fait appréciable et respectable.
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
Quel dommage, j'adore vraiment ce film.
Il mérite, je trouve, indéniablement sa réputation. Il est hors du temps, ne correspond à aucune mode, à aucun courant cinématographique. Il n’épouse pas les théories de la Nouvelle Vague (et ça, tu le sais, ça me touche particulièrement - parce que là aussi il y aurait matière à polémiquer). Les trouvailles stylistiques lui donne une identité propre dont il parvient étonnamment à se détacher à chaque plan. En cela, la musique de Maurice Jarre est le parfait partenaire du cinéaste. Quant à l’histoire à proprement parler, elle avait tout pour susciter le dégoût car évoquer une amitié si forte entre un homme d’une trentaine d’années et une fillette de douze ans était un pari risqué. Bourguignon traite cela sans moralisme, avec, et c’est en cela que c’est sublime, une rigueur d’adulte contrebalancée par un regard d’enfant. Rarement film aura été si loin dans l’exaltation poétique de sentiments si simples qu’ils finissent par nous être étrangers. Et l'interprétation est pour moi aussi touchante qu'impeccable.
Il mérite, je trouve, indéniablement sa réputation. Il est hors du temps, ne correspond à aucune mode, à aucun courant cinématographique. Il n’épouse pas les théories de la Nouvelle Vague (et ça, tu le sais, ça me touche particulièrement - parce que là aussi il y aurait matière à polémiquer). Les trouvailles stylistiques lui donne une identité propre dont il parvient étonnamment à se détacher à chaque plan. En cela, la musique de Maurice Jarre est le parfait partenaire du cinéaste. Quant à l’histoire à proprement parler, elle avait tout pour susciter le dégoût car évoquer une amitié si forte entre un homme d’une trentaine d’années et une fillette de douze ans était un pari risqué. Bourguignon traite cela sans moralisme, avec, et c’est en cela que c’est sublime, une rigueur d’adulte contrebalancée par un regard d’enfant. Rarement film aura été si loin dans l’exaltation poétique de sentiments si simples qu’ils finissent par nous être étrangers. Et l'interprétation est pour moi aussi touchante qu'impeccable.
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
... qui m'ont dans le même temps fait me détacher du film. J'aurais préféré plus de simplicité.Les trouvailles stylistiques lui donne une identité propre .
Je suis d'accord ; c'est pour cette raison que je trouve le film tout à fait respectable même s'il ne m'a pas touché.Quant à l’histoire à proprement parler, elle avait tout pour susciter le dégoût car évoquer une amitié si forte entre un homme d’une trentaine d’années et une fillette de douze ans était un pari risqué. Bourguignon traite cela sans moralisme
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
Vu aucun film de ce réalisateur mais je rêve de voir un jour son western La Récompense (The Reward) édité en DVD dans des conditions appropriées (et non pas comme les copies pan & scan qui circulent çà et là sur le net). Au boulot Sidonis !
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
La chronique par Olivier Bitoun à l'occasion de la sortie du film chez Wild Side en DVD et en Bluray.
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
A noter que pour l'occasion, le film a retrouvé son titre initial : Cybèle ou les dimanches de Ville d'Avray.
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Re: Les dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962
J'ai acheté le Blu Ray "Les Dimanches de Ville d'Avray" Wild Side hier à la Fnac Forum. Après l'écran de menu, pas de lecture possible sur mon lecteur Panasonic : le BR patine en provoquant un bruit dans le lecteur et bloque le lecteur. J'ai fait un échange de BR aujourd'hui et c'est la même chose avec le nouveau BR. En regardant de près sur le disque, il y a deux petites tâches claires au bord du disque. Problème de pressage ? Je retournerai faire un autre échange en demandant de vérifier le disque sur place auprès de vendeur. Quelqu'un a eu le même problème ?
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Re: Les Dimanches de ville D'Avray (Serge Bourguignon - 1962)
Pas mécontent d'avoir acheté cette très belle édition en soldes à la Fnac. L'entretien avec le réalisateur est passionnant.