Gregory Peck (1916-2003)
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Je fais partie des admiratrices de Gregory Peck et sincerement je vous trouve bien injuste. Pour moi, il fait parti des grands acteurs de son temps. Personne ne peut nier qu'il a travailler avec les plus grands réalisateurs d'hollywood. Personnellement, je pense que c'était un acteur qui avait du potentiel et du talent mais je crois que tout simplement (un peu comme marilyn monroe) qu'il était trop populaire et qu'on avait tendance à lui coller des rôles à la peau, à mon avis on ne lui a pas donner beaucoup d'occasions de s'exprimer
N'empeche pour tout ce qu'a dit Julien précedemment, il reste pour moi une des légendes d'Hollywood
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Gregory Peck a tout de même eu quelques rôles laissant émerger sa part d'ombre. Ainsi, dans les nerfs à vif, à la fin, il en vient à décider de faire justice lui-même. Son profil d'Américain "droit dans ses bottes" le rend d'autant plus inquiétant lorsqu'il en vient à devenir lui-même menaçant...
Mais dans Moby Dick (John Huston) aussi, il campe un capitaine Achab fou furieux et inquiétant, ou dans la Maison du docteur Edwardes (Alfred Hitchcock), où il fait peser comme une menace sourde autour de lui...
Mais dans Moby Dick (John Huston) aussi, il campe un capitaine Achab fou furieux et inquiétant, ou dans la Maison du docteur Edwardes (Alfred Hitchcock), où il fait peser comme une menace sourde autour de lui...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Je ne sais pas si ce point a déjà été mentionné mais en plus de son physique très avantageux, Peck avait un autre atout naturel : sa voix. Je continue de penser qu'il n'était pas parmi les plus grands (ou doués) acteurs de sa génération mais ils n'étaient pas nombreux à l'égaler dans ces deux domaines. Et avec le recul, je comprends très bien pourquoi il était l'acteur préféré d'une de mes amies (elle-même merveilleusement photo- et audio-génique ).
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Je suis tout à fait d'accord sur un point: il avait une voix terriblement séduisante . Personnellement, je pense que c'est pas uniquement une question de talent. Je veux dire que c'est quand un même un personnage qui a marqué sa génération selon, il était quand même unique. Pour moi, il représente vraiment le charme discret par l'elegance, la finesse de sa personnalité, et ce jusqu'a ces dernières années, il a toujours gardé une prestance incroyable .
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Gregory Peck ?
C'est bien l'un des acteurs qui a joué dans ce "WILLOW" que vous n'aimez pas ?
"Au secours, au secours, y a Gregory Peck qui m'menace avec un gland !!"
Ok, je
C'est bien l'un des acteurs qui a joué dans ce "WILLOW" que vous n'aimez pas ?
"Au secours, au secours, y a Gregory Peck qui m'menace avec un gland !!"
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
La flamme pourpre (Purple plain) - Réalisé par Robert Parrish / 1954 :
Un bien curieux film de guerre signé Robert Parrish. Une fois n'est pas forcément coutume, Gregory Peck joue dans un film de guerre anglais. Autant dire qu'on remarque le style british dès les premières minutes : gros plans foisonnant afin de souligner le jeu ou l'angoisse d'un acteur, musique particulière, photographie chatoyante utilisant une charte bien spécifique de couleurs (les amateurs de la Hammer, entre autres, reconnaîtront notamment le style), accent anglais à tous les étages... sans compter un manque de budget trahissant sa non-appartenance au système hollywoodien (on sent que tout est à faire, que rien n'appartient au studio de production... contrairement aux studios hollywoodiens qui, grâce à leur système, permettaient même à leurs séries B de changer de décors assez souvent).
Jamais on ne verra un soldat japonais dans ce film de guerre en Birmanie (année 1945), et la deuxième partie du film se concentre sur quelques décors naturels, trois acteurs et une civière en bambou. Film minimaliste, donc, mais efficace, surtout dans certaines séquences spéciales : l'évacuation d'un village après bombardement, la mort de l'un des protagonistes en plein désert (très intense) et surtout cette superbe séquence d'ouverture soulignant un Gregory Peck en pleine crise de folie (une scène digne du film Un homme de fer d'Henry King). La réalisation de Parrish est très efficace, filmant à bras le corps, captant la chaleur et la sueur dans un style parfois "caméra à l'épaule". On pourra lui reprocher quelques tics de mise en scène, comme cette abondance de gros plans se succédant les uns les autres, mais l'effet fonctionne tout de même bien. La flamme pourpre raconte beaucoup de chose, entre une histoire d'amour post-traumatique et la survie de trois hommes en plein désert, mais ne réalise en fin de compte aucune véritable prouesse en n'abordant totalement aucun des sujets traités. En résulte une impression d'inabouti sur certains points, quoique l'ensemble fonctionne parfaitement dans sa vision immédiate.
Un film de guerre intimiste, sobre, à l'atmosphère étrange et aux enjeux pas toujours bien clairs (on se demande même dans les dernières minutes ce que tout cela veut réellement raconter, au-delà de son intrigue). Une curiosité plutôt anecdotique dans la carrière de Gregory Peck (ici impeccable, comme d'habitude), tout en restant un joli film, une réussite.
Un bien curieux film de guerre signé Robert Parrish. Une fois n'est pas forcément coutume, Gregory Peck joue dans un film de guerre anglais. Autant dire qu'on remarque le style british dès les premières minutes : gros plans foisonnant afin de souligner le jeu ou l'angoisse d'un acteur, musique particulière, photographie chatoyante utilisant une charte bien spécifique de couleurs (les amateurs de la Hammer, entre autres, reconnaîtront notamment le style), accent anglais à tous les étages... sans compter un manque de budget trahissant sa non-appartenance au système hollywoodien (on sent que tout est à faire, que rien n'appartient au studio de production... contrairement aux studios hollywoodiens qui, grâce à leur système, permettaient même à leurs séries B de changer de décors assez souvent).
Jamais on ne verra un soldat japonais dans ce film de guerre en Birmanie (année 1945), et la deuxième partie du film se concentre sur quelques décors naturels, trois acteurs et une civière en bambou. Film minimaliste, donc, mais efficace, surtout dans certaines séquences spéciales : l'évacuation d'un village après bombardement, la mort de l'un des protagonistes en plein désert (très intense) et surtout cette superbe séquence d'ouverture soulignant un Gregory Peck en pleine crise de folie (une scène digne du film Un homme de fer d'Henry King). La réalisation de Parrish est très efficace, filmant à bras le corps, captant la chaleur et la sueur dans un style parfois "caméra à l'épaule". On pourra lui reprocher quelques tics de mise en scène, comme cette abondance de gros plans se succédant les uns les autres, mais l'effet fonctionne tout de même bien. La flamme pourpre raconte beaucoup de chose, entre une histoire d'amour post-traumatique et la survie de trois hommes en plein désert, mais ne réalise en fin de compte aucune véritable prouesse en n'abordant totalement aucun des sujets traités. En résulte une impression d'inabouti sur certains points, quoique l'ensemble fonctionne parfaitement dans sa vision immédiate.
Un film de guerre intimiste, sobre, à l'atmosphère étrange et aux enjeux pas toujours bien clairs (on se demande même dans les dernières minutes ce que tout cela veut réellement raconter, au-delà de son intrigue). Une curiosité plutôt anecdotique dans la carrière de Gregory Peck (ici impeccable, comme d'habitude), tout en restant un joli film, une réussite.
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Le combat du capitaine Newman (Captain Newman M.D.) - Réalisé par David Miller / 1963 :
Très beau moment de carrière pour David Miller qui réalise ce film juste après Seuls sont les indomptés, magnifique western moderne assez traumatisant dans son genre. Ce Combat du capitaine Newman ne dépareille pas et s'avère une splendide réussite formelle et thématique, transcendée par un casting génial. Le type même du film méconnu à redécouvrir absolument. Gregory Peck est ici un médecin militaire qui, durant la deuxième guerre mondiale, reçoit dans son aile d'hôpital des traumatisés de guerre, des gens devenus incapables de gérer leur angoisse et leur traumatisme. Et tout y passe, du patient qui finit par se suicider à celui pour qui la rédemption n'est probablement pas loin, de celui que l'on renvoie au combat et qui y meurt à celui (paralysé dans son lit) que l'on oublie pas parmi les copains. Très émouvant, très sobre, parfois très dur, et pourtant régulièrement drôle ! Ce n'est pas si souvent que l'on traite le milieu psychiatrique avec autant de finesse et surtout avec autant d'empathie et de douceur : ici, il n'est point question de destins sombres et de fous furieux psychopathes, ce ne sont que des hommes livrés à eux-mêmes qu'un système encore balbutiant (le trauma de guerre n'est pas encore accepté comme tel par l'opinion publique) tente d'aider coûte que coûte. Un récit très humain, donc, avec sa galerie de personnages très attachants. Parmi les malades, mention spéciale à Eddie Albert parfait en officier schizophrène, Bobby Darin exceptionnel (nommé à l'Oscar) en pilote culpabilisé (la séquence sur le lit, avec l'effet du sérum, est anthologique) et Robert Duvall, encore débutant mais avec cette présence tellement sincère... Côté médical, on notera la présence d'un trio superbement utilisé : Gregory Peck est d'une sobriété encore une fois qui fait honneur à sa réputation (juste, posé, un modèle d'énergie maîtrisée), Angie Dickinson est à la fois magnifique et délicate (une performance intelligemment dirigée par David Miller), et bien sûr un Tony Curtis encore dans sa meilleure période. La chaîne, Le grand chantage, Certains l'aiment chaud, Les vikings, Spartacus, La grande course autour du monde... Une carrière qui débutait sous les meilleures auspices (et que dire de L'étrangleur de Boston, merveille de la fin des années 60 ?). Il est ici drôle, décalé, rassurant et dévoué, un personnage aussi étonnant que haut en couleur.
Reste une mise en scène exemplaire, au cadre serré, livrée par un David Miller dans sa meilleure période, capable de souligner les séquences clé par une impressionnante capacité à filmer sans que son style ne se fasse remarquer. Un modèle de précision, de discrétion et de concision. Un petit chef-d'oeuvre oublié qu'il faut redécouvrir de toute urgence.
Très beau moment de carrière pour David Miller qui réalise ce film juste après Seuls sont les indomptés, magnifique western moderne assez traumatisant dans son genre. Ce Combat du capitaine Newman ne dépareille pas et s'avère une splendide réussite formelle et thématique, transcendée par un casting génial. Le type même du film méconnu à redécouvrir absolument. Gregory Peck est ici un médecin militaire qui, durant la deuxième guerre mondiale, reçoit dans son aile d'hôpital des traumatisés de guerre, des gens devenus incapables de gérer leur angoisse et leur traumatisme. Et tout y passe, du patient qui finit par se suicider à celui pour qui la rédemption n'est probablement pas loin, de celui que l'on renvoie au combat et qui y meurt à celui (paralysé dans son lit) que l'on oublie pas parmi les copains. Très émouvant, très sobre, parfois très dur, et pourtant régulièrement drôle ! Ce n'est pas si souvent que l'on traite le milieu psychiatrique avec autant de finesse et surtout avec autant d'empathie et de douceur : ici, il n'est point question de destins sombres et de fous furieux psychopathes, ce ne sont que des hommes livrés à eux-mêmes qu'un système encore balbutiant (le trauma de guerre n'est pas encore accepté comme tel par l'opinion publique) tente d'aider coûte que coûte. Un récit très humain, donc, avec sa galerie de personnages très attachants. Parmi les malades, mention spéciale à Eddie Albert parfait en officier schizophrène, Bobby Darin exceptionnel (nommé à l'Oscar) en pilote culpabilisé (la séquence sur le lit, avec l'effet du sérum, est anthologique) et Robert Duvall, encore débutant mais avec cette présence tellement sincère... Côté médical, on notera la présence d'un trio superbement utilisé : Gregory Peck est d'une sobriété encore une fois qui fait honneur à sa réputation (juste, posé, un modèle d'énergie maîtrisée), Angie Dickinson est à la fois magnifique et délicate (une performance intelligemment dirigée par David Miller), et bien sûr un Tony Curtis encore dans sa meilleure période. La chaîne, Le grand chantage, Certains l'aiment chaud, Les vikings, Spartacus, La grande course autour du monde... Une carrière qui débutait sous les meilleures auspices (et que dire de L'étrangleur de Boston, merveille de la fin des années 60 ?). Il est ici drôle, décalé, rassurant et dévoué, un personnage aussi étonnant que haut en couleur.
Reste une mise en scène exemplaire, au cadre serré, livrée par un David Miller dans sa meilleure période, capable de souligner les séquences clé par une impressionnante capacité à filmer sans que son style ne se fasse remarquer. Un modèle de précision, de discrétion et de concision. Un petit chef-d'oeuvre oublié qu'il faut redécouvrir de toute urgence.
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Tout à fait, Peck est un grand. Il a surtout interprété des personnages positifs, mais c'était certainement tout autant par conviction, qu'à cause du manque d'imagination des producteurs ou réalisateurs, ou à cause de sa popularité (il y a des acteurs qui sont devenus célèbres avec des personnages de "méchants"). Il a même interprété Mengele, dans Ces garçons qui venaient du Brésil. Un rôle vraiment inattendu, au vu de sa filmo.Balooo a écrit :Je fais partie des admiratrices de Gregory Peck et sincerement je vous trouve bien injuste. Pour moi, il fait parti des grands acteurs de son temps. Personne ne peut nier qu'il a travailler avec les plus grands réalisateurs d'hollywood. Personnellement, je pense que c'était un acteur qui avait du potentiel et du talent mais je crois que tout simplement (un peu comme marilyn monroe) qu'il était trop populaire et qu'on avait tendance à lui coller des rôles à la peau, à mon avis on ne lui a pas donner beaucoup d'occasions de s'exprimer
N'empeche pour tout ce qu'a dit Julien précedemment, il reste pour moi une des légendes d'Hollywood
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
M. Léonard c'est parfait ! Rien à jeter dans ton texte et surtout rien à ajouter, tu as tout dit. Une excellente surprise lorsque je l'avais découvert sur Ciné Classic : émouvant, drôle, toujours juste, réaliste et parfaitement interprété par ce très beau trio d'acteurs. Gregory Peck est impeccable, Angie Dickinson......Angie DIckinson quoi et Tony Curtis campe un personnage aux multiples facettes qui "répond" parfaitement au sérieux du role du Capitaine Newman. Je viens de percuter en lisant ton texte que ce film était l'oeuvre de David Miller qui m'avait déjà régalé avec Seuls sont les indomptés et qui propose, une nouvelle fois, un film sérieux, à la mise en scène sobre et sans fioritures. Malgré l'histoire qui ne prete pas à sourire, on en savoure chaque moment et on en ressort avec la satisfaction d'avoir vu un très bon film
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
David Miller a quand même fait des films franchement réussis, y'a pas à dire. Dommage qu'il n'ait pas été plus cohérent que cela dans sa filmo de façon générale.
Par contre, Angie Dickinson est vraiment très belle, je suis d'accord avec toi, mais j'ai un peu tiqué sur sa coiffure très "sixties", un peu trop en fait...
Par contre, Angie Dickinson est vraiment très belle, je suis d'accord avec toi, mais j'ai un peu tiqué sur sa coiffure très "sixties", un peu trop en fait...
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Oui mais c'est Angie Dickinson Julien ! Si c'est le seul défaut du film (et tu parles d'un défaut ) moi ça me vaJulien Léonard a écrit :Par contre, Angie Dickinson est vraiment très belle, je suis d'accord avec toi, mais j'ai un peu tiqué sur sa coiffure très "sixties", un peu trop en fait...
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Oui, je ne vois que ça. Mais ça ne m'a pas gêné plus de 10 minutes...feb a écrit :Oui mais c'est Angie Dickinson Julien ! Si c'est le seul défaut du film (et tu parles d'un défaut ) moi ça me vaJulien Léonard a écrit :Par contre, Angie Dickinson est vraiment très belle, je suis d'accord avec toi, mais j'ai un peu tiqué sur sa coiffure très "sixties", un peu trop en fait...
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Waouhhh!Julien Léonard a écrit :Le combat du capitaine Newman (Captain Newman M.D.) - Réalisé par David Miller / 1963 :
Encore un film dont j'ignorais l'existence.
Rien que la présence de Peck, Curtis & Dickinson à l'affiche me convaincrait de le voir; si en plus c'est un chef d'oeuvre comme tu le dis
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Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
Je sens qu'il va falloir que je le vois, ce Capitaine Newman.
En plus, il y a Angie...
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Re: Gregory Peck (1916-2003)
+ 1hansolo a écrit :Waouhhh!Julien Léonard a écrit :Le combat du capitaine Newman (Captain Newman M.D.) - Réalisé par David Miller / 1963 :
Encore un film dont j'ignorais l'existence.
Rien que la présence de Peck, Curtis & Dickinson à l'affiche me convaincrait de le voir; si en plus c'est un chef d'oeuvre comme tu le dis
Plus qu'alléchant tout ça