L'Obituaire - Hommage aux disparus
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Jean Berger
Annonce de la mort de Jean Berger, grande voix du doublage, il fut notamment la voix de Patrick McNee (John Steed) dans "Chapeau Melon et Bottes de Cuir"
http://danslombredesstudios.blogspot.fr ... erger.html
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
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Dernière modification par beb le 31 mars 23, 12:53, modifié 1 fois.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Mort de Jean Cosmos, entre autres, scénariste de Tavernier.
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Il participa aussi aux riches heures de la télévision (« Les cinq dernières minutes », « Julien Fontanes, magistrat »…) : http://www.sacd.fr/Deces-de-Jean-Cosmos.3992.0.htmlAtCloseRange a écrit :Mort de Jean Cosmos, entre autres, scénariste de Tavernier.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Oui, un nom très souvent lu au générique de productions télévisées (feuilletons, séries, téléfilms -ou dramatiques comme on disait dans les 60's), par exemple dans deux feuilletons du début des années 70 qui sont pour moi d'excellents souvenirs : Le 16 à Kerbriant (revu assez récemment en VHS, et ça n'avait pas trop vieilli) et surtoutArdéchois cœur fidèle (1974), gros succès à l'époque .
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
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Annonce de la mort du réalisateur Jean-Pierre Vergne, on se souviendra du "kulte" "Le téléphone sonne toujours deux fois", et de "Priez pour nous" avec Delphine Rich et Samuel Labarthe : http://www.rtl.fr/culture/medias-people ... 7773922918
Autre décès celui du réalisateur allemand Florian Flicker : http://derstandard.at/2000004693980/Flo ... verstorben
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Voilà ce qu'en disait la cinémathèque en décembre 2011 lors de la diffusion d'un double programmebeb a écrit :Un réalisateur japonais dont je n'ai jamais entendu parler vient de mourir : Chūsei Sone
Il a démarré avec Seijun Suzuki, pas mal pour un début, avant de se spécialiser dans le roman porno.
Quelqu'un peut en dire plus sur lui ?
Nikkatsu : Chûsei Sone
Je ne me rappelle plus vraiment des films mais ils ne manquaient pas de qualités avec une mise en scène assez naturaliste (longs plan-séquences caméra à l'épaule) tout en proposant de nombreuses idées sur le décor ou le sens du cadre.Considéré par certains comme un génie, Chûsei Sone est sans doute l'auteur le plus méconnu du Roman Porno et celui qui mérite le plus d'être réévalué. La faute aux circonstances historiques qui ont conduit le cinéaste à se retirer définitivement du milieu du cinéma à la fin des années 80, suite à un échec commercial (Flying). Né en 1937 et diplômé d'histoire de l'art de l'Université de Tôhoku, il entre à la Nikkatsu en 62 et devient notamment l'assistant de Seijun Suzuki (La Jeunesse de la bête, Le Vagabond de Tokyo) qui aura sur lui une influence déterminante. Afin de compléter un maigre salaire d'assistant il collabore comme scénariste avec le cinéaste pink Kôji Wakamatsu (Sex Jack, L'Extase des Anges) sous le pseudonyme de Yoshiaki Ôtani ; collectif au sein duquel officient également Atsushi Yamatoya et Yôzo Tanaka, deux brillants scénaristes qui deviendront ses principaux collaborateurs (Graine de prostituée, la série Ohé, les supporters des fleurs!), et avec lesquels il intègre Hachirô Guryû (le Groupe des huit), la fameuse équipe de scénaristes constituée autour de Seijun Suzuki et auteur du cultissime La Marque du tueur (67).
Doté d'un sens unique de la mise en scène, Sone est avec Masaru Konuma (Sasurai no koibito : memai) le cinéaste le plus extrême du genre et celui qui sera parvenu à exprimer au mieux sa créativité à travers le Roman Porno. Réalisateur à succès (33 Roman Porno de 71 à 86) il se distingue par son sens de la parodie frisant souvent le grotesque. Pour autant son importance dépasse le cadre du Roman Porno puisque qu'il tourne pour L'Art Theatre Guild (Meurtres sans continuité), fonde sa propre société de production (Film Workers), et que la Nikkatsu lui confie la réalisation de films traditionnels, dont la série Ohé, les supporters des fleurs!, comédie débridée sur la culture des supporters universitaires qui devient au Japon un grand succès populaire. Il est aussi réputé pour ses adaptations de manga dont la série Angel Guts dessinée et scénarisée par Takashi Ishii, dont il a su transposer avec une rare intensité l'univers érotique et violent (High School Coed, Red Classroom).
Dans Delinquent Girl, film de jeunesse parodique le cinéaste reprend le personnage de jeune ingénue incarnée par l'actrice Yuko Katagiri dans Secret chronicle: prostitution market (72), pour en narrer les turpitudes dans un Tokyo contemporain. Il déconstruit le scénario et y apporte une dimension absurde en réécrivant la fin initialement prévue. A l'inverse Shinjuku Midaregai est un film atypique, n'appartenant à aucun genre. Œuvre devenue culte, elle le doit davantage à la personnalité de son talentueux scénariste Haruhiko Arai (La Femme aux cheveux rouges), qui signe ici son premier Roman Porno. Sous la forme d'une autofiction racontant les vicissitudes d'un aspirant scénariste, le film décrit avec vivacité l'effervescence du quartier de Golden Gai, sorte de Greenwich Village de Tokyo.
Les deux titres que la cinémathèque avait projeté dans le cadre d'une soirée bis Delinquent Girl : Alley Cat In Heat (1973) et Shinjuku midaregai : Ikumade matte (1977) avaient d'ailleurs déçu les amateurs de ce genre de soirée car ils n'avaient rien de vraiment bis et même pour du pinku eiga ils étaient bien moins racoleurs que la majorité avec un aspect chronique sociale... Surtout le deuxième qui se rapproche plus de la nouvelle vague.
D'ailleurs mon petit doigt m'a dit que la cinémathèque travaillerait sur un hommage plus conséquent au cinéaste.
Mais chut, c'est loin d'être finalisé
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Patrick Lung aussi vient de décéder
Totalement inconnu chez nous, c'était pourtant l'un des plus importants cinéastes hong-kongais des années 60-70 qui influença fortement John Woo.
j'avais écrit un article sur Story of a discharged prisoner (dont le Syndicat du Crime s'inspire beaucoup)
EDIT :
Totalement inconnu chez nous, c'était pourtant l'un des plus importants cinéastes hong-kongais des années 60-70 qui influença fortement John Woo.
j'avais écrit un article sur Story of a discharged prisoner (dont le Syndicat du Crime s'inspire beaucoup)
EDIT :
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Décès de Gottfried John à l'âge de 72 ans, il était connu pour son rôle du général Ouroumov dans GoldenEye, quatre ans plus tard, il est Jules César dans le premier volet des aventures d'Astérix et Obélix au cinéma. Il a travaillé à plusieurs reprises avec Rainer Werner Fassbinder (Despair, Le Mariage de Maria Braun et Lili Marleen).
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Annonce de la mort de Maria Mauban, délicieuse comédienne qui fut une fois Mme Cruchot dans "Le gendarme et les extra-terrestres", et à l'affiche de plusieurs comédies :http://www.lefigaro.fr/cinema/2014/09/0 ... -morte.php
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Décès le 30 août 2014, à l'âge de 94 ans du réalisateur Andrew V. Mc Laglen.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Réalisateur souvent critiqué et à raison pour un certain nombre de films. J'avoue que John Wayne faisait passer la pilule dans bon d'entre eux pour moi... et que j'ai beaucoup d'affection pour un film comme les Oies Sauvages. Incidemment, Mark Ridell devient le dernier réalisateur en vie à avoir dirigé John Wayne.Chip a écrit :Décès le 30 août 2014, à l'âge de 94 ans du réalisateur Andrew V. Mc Laglen.
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Dernière modification par onvaalapub le 4 sept. 14, 08:36, modifié 2 fois.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Don Siegel plutôtonvaalapub a écrit : Incidemment, Mark Ridell devient le dernier réalisateur à avoir dirigé John Wayne.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Je veux dire en vieJeremy Fox a écrit :Don Siegel plutôtonvaalapub a écrit : Incidemment, Mark Ridell devient le dernier réalisateur à avoir dirigé John Wayne.
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