Nota : Danik Patisson n'y montre pas son derrière. Elle ne fait qu'en parler.
Isabelle (Isabel) Corey (qui est décédée en 2011 !)... c'était une polissonne... mais elle n'était pas très bonne comédienne (dans "Bob le flambeur" à tout le moins).
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Commissaire Juve a écrit :
Pour Le long des trottoirs, je t'avoue que c'est assez vague. Quand j'ai vu ça, avec d'autres du même genre, c'était au temps de la vhs ; et je suis à ce point René Chateauphile que je les ai gardé ces cassettes (je viens même d'en récupérer une poignée, des trucs pas encore sortis en DVD et assez rares)
Je viens de voir que Danièle (Danik, c'était pour faire exotique ) tournait encore assez récemment mais on se souvient d'elle, un peu, pour ses films des 50th. Dans ce genre là, mais à la carrière encore plus réduite, il y avait la jolie Isabelle Corey, la jeune petite amie de Duchesne dans Bob le flambeur…et surement bien d'autres (tu connais mieux ce cinéma là que moi)
Ce film offre de très belles scènes du vieux Paris et rien que pour cela il mérite d'être vu (à l'instar de Paris Blues) et une réalisation très soignée. Danik Patisson est une belle découverte, personnellement, et Anne Vernon confirme tout le bien que je pensais d'elle (après Edouard et Caroline).
L'histoire apparait quelque-peu (voir très) datée et on a parfois l'impression d'être dans Les misérables. Néanmoins la très belle fin fait passer la pilule, le réalisateur apportant un réel point de vue et une certaine ironie. Du beau cinéma réaliste.
Nota : Danik Patisson n'y montre pas son derrière. Elle ne fait qu'en parler.
Isabelle (Isabel) Corey (qui est décédée en 2011 !)... c'était une polissonne... mais elle n'était pas très bonne comédienne (dans "Bob le flambeur" à tout le moins).
Oui, une polissonne ; et c'est aussi à cette époque là que Daniel Cauchy jouait les sauvageons. Chevènementiste ?
Pour Le long des trottoirs, je t'avoue que c'est assez vague. ...
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L'histoire apparait quelque-peu (voir très) datée et on a parfois l'impression d'être dans Les misérables. Néanmoins la très belle fin fait passer la pilule, le réalisateur apportant un réel point de vue et une certaine ironie. Du beau cinéma réaliste.
Oui, on n'est pas très loin de Cosette, mais faut replacer ce film dans le contexte. A l'époque, ça travaillait pas mal les gens. Ces films-là étaient pratiquement des films institutionnels pour éduquer les jeunes femmes et leurs parents !
En 1957, par exemple, les Anglais avaient réalisé The Flesh is Weak / Le Trottoir (présentation de l'histoire en bas de la fiche).
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
J'ai en tête le thème dédié au personnage de Lola et des Parapluies de Cherbourg : le mélancolique et rêveur Roland Cassard. Un chouette thème de Michel Legrand, évidemment. RIP
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
C'est une blague ?! J'ai posté pas plus tard qu'hier une petite chronique en hommage à Demy, où je m'épanchais précisément sur son premier long-métrage, Lola, où Marc Michel est parfait. Sa carrière cinéma étant plus que modeste, il demeure pour moi l'inoubliable Roland Cassard.
Commissaire Juve a écrit :
EDIT : en même temps, il faut reconnaître qu'il n'a pas une filmo fantastique.
Clairement, ce fut sans doute davantage un comédien de théâtre que de cinéma. Moi-même je l'aurais oublié s'il n'y avait eu que Les Parapluies de Cherbourg. C'est surtout la silhouette qu'il promène dans les rues nantaises de Lola qui me l'a rendu inoubliable et attachant. Un peu comme Michel Subor qu'on ne connaît surtout que dans Le Petit soldat.
