Shin Cyberlapinou a écrit :Et Martin Landau...
L'Obituaire - Hommage aux disparus
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Un des héros des séries de ma jeunesse, good bye Commandant KoenigShin Cyberlapinou a écrit :Et Martin Landau...
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Après la découverte marquante de La nuit des morts vivants, je m’apprêtais justement à passer l'été avec ses zombies, j'ai même sortie de ma pile les disques concernés hier soir. Triste coïncidence. RIP.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Hier je regardai le dernier épisode de Bates motel, avec
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
RIP à Martin Landau, que je croyais déjà décédé
Quant à George, nous devrions pas tarder à le revoir....
Quant à George, nous devrions pas tarder à le revoir....
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Romero, Craven il y a deux ans...vraiment des pages qui se tournent...
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
George Romero et Martin Landau, punaise... RIP.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Ce n'est peut-être pas le lieu ni le moment pour "rendre à César...", mais... Le génial Carnival of Souls (1962), de Herk Harvey, est antérieur à La Nuit des morts-vivants (1968).kubelik a écrit :RIP à l'inventeur du film de morts-vivants.
Ce qui n'enlève évidemment rien à l'apport décisif de Romero à un genre qu'il a largement contribué à rendre majeur.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Je ne suis pas persuadé que (le génial) Carnival of souls soit un film de morts-vivants.
Parce que sinon, bien avant, il y a eu Vaudou (I walked with a zombie) de Jacques Tourneur en 1943...
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Parce que sinon, bien avant, il y a eu Vaudou (I walked with a zombie) de Jacques Tourneur en 1943...
Dernière modification par Rick Deckard le 17 juil. 17, 14:14, modifié 1 fois.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Je suis assez d'accord avec toi (ce qui n'enlève rien aux qualités du film de Harvey).Rick Deckard a écrit :Je ne suis pas persuadé que (le génial) Carnival of souls soit un film de morts-vivants.
La figure d'une armée de zombies marchant inexorablement pour s'en prendre aux humains bien vivants a été inventée par Romero dans son film de 1968.
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RIP George...
RIP Martin qui restera également pour moi l'inoubliable interprète de Bela Lugosi dans Ed Wood.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Amarcord a écrit :Ce n'est peut-être pas le lieu ni le moment pour "rendre à César...", mais... Le génial Carnival of Souls (1962), de Herk Harvey, est antérieur à La Nuit des morts-vivants (1968).kubelik a écrit :RIP à l'inventeur du film de morts-vivants.
Ce qui n'enlève évidemment rien à l'apport décisif de Romero à un genre qu'il a largement contribué à rendre majeur.
Dans ce cas là on peut également citer le John Gilling de 1965..et en poussant un peu le "Je suis une légende" de Matheson et sa première adaptation avec Vincent Price..Rick Deckard a écrit :La figure d'une armée de zombies marchant inexorablement pour s'en prendre aux humains bien vivants a été inventée par Romero dans son film de 1968, et c'est devenu depuis la matrice de tous les films de morts-vivants.
Parce que sinon, bien avant, il y a eu Vaudou (I walked with a zombie) de Jacques Tourneur en 1943...
Mais le mort vivant dans un contexte quotidien, réaliste, quasi documentaire, c'était bien George A.Romero.
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
C'est bien dans ce sens-là que je disais que Romero a largement contribué à rendre ce genre majeur, puisqu'il l'a pour ainsi dire "théorisé". Son apport dans ce domaine est décisif : personne ici de sérieux ne songera à le nier.mannhunter a écrit :Mais le mort vivant dans un contexte quotidien, réaliste, quasi documentaire, c'était bien George A.Romero.
Mais ça ne fait pas de lui pour autant "l'inventeur" du film de morts-vivants (et d'ailleurs, je citais un peu arbitrairement Carnival of Souls, mais je ne suis pas choqué qu'on remonte plus loin : ça ne me paraît pas déconnant, par exemple, de citer Vaudou en effet... Je ne connais pas assez la vie et l'œuvre de Romero pour savoir à quel point ces films ont pu - ou pas - l'influencer).
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
... me traumatiser quand j'étais gamin. Quand ses films étaient à l'affiche de mon ciné de quartier (avec des photos d'exploitation), tous aux abris !Amarcord a écrit :... Romero a largement contribué à ...
J'en ai conçu une aversion totale pour le genre (idem pour les Dracula).
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
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Re: L'Obituaire - Hommage aux disparus
Le Gilling commence comme une histoire de zombies pour finir sur une scène qui annonce effectivement le film de morts-vivants, sans que ça en soit vraiment un.mannhunter a écrit :Amarcord a écrit : Ce n'est peut-être pas le lieu ni le moment pour "rendre à César...", mais... Le génial Carnival of Souls (1962), de Herk Harvey, est antérieur à La Nuit des morts-vivants (1968).
Ce qui n'enlève évidemment rien à l'apport décisif de Romero à un genre qu'il a largement contribué à rendre majeur.Dans ce cas là on peut également citer le John Gilling de 1965..et en poussant un peu le "Je suis une légende" de Matheson et sa première adaptation avec Vincent Price..Rick Deckard a écrit :La figure d'une armée de zombies marchant inexorablement pour s'en prendre aux humains bien vivants a été inventée par Romero dans son film de 1968, et c'est devenu depuis la matrice de tous les films de morts-vivants.
Parce que sinon, bien avant, il y a eu Vaudou (I walked with a zombie) de Jacques Tourneur en 1943...
Mais le mort vivant dans un contexte quotidien, réaliste, quasi documentaire, c'était bien George A.Romero.
Les films de zombies type Tourneur (ou avant ça White zombie sont complètement hors sujet. Les zombies de ces deux films n'ont rien à voir avec les morts-vivants de Romero : il s'agit d'êtres téléguidés, et non autonomes. De plus le thème de la contamination est totalement absent , on peut zombifier un vivant, et c'est un envoûtement qu'il est possible de faire cesser (même si c'est difficile). .Appeler les morts-vivants zombies est une pratique relativement récente , même si on en trouve une trace à propos du film de Gilling (dont le titre original est The plague of the zombies.
Carnival of souls est hors sujet aussi. Ca a plus à voir avec le film de fantômes.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)