On est quatre.
J'ai toujours été un grand amateur de Dorothy Malone, qui combinait une forte sensibilité, un glamour indéniable et un sex-appeal dévastateur. Donc un physique à se damner mas aussi une superbe comédienne. RIP.
Jack Carter a écrit :Je la croyais décédé depuis longtemps....
On est deux.
Ça me fait tout bizarre d'apprendre cette nouvelle. Je ne m'y attendais vraiment pas.
L'image d'elle que je garde, c'est celle-ci:
dans La Ronde de l'Aube, de Sirk (The Tarnished Angels, 1957)
Je ne peux pas dire que j'en étais fou mais elle était terriblement sexy (un peu comme Yvonne De Carlo), une icône du cinéma..
Adieu Dorothy..
Pas un gros fan non plus mais rien que pour cette scène légendaire.
Dans le genre petite apparition, elle est très bien aussi, je crois, dans Du plomb pour l'inspecteur (Pushover), de Richard Quine.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
beb a écrit :
C'est LE film qui m'a fait découvrir Dorothy Malone.
Le film est magnifique et elle y est superbe
Je me rends compte que je ne l'ai pas revu depuis un bail.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :
On est deux.
Ça me fait tout bizarre d'apprendre cette nouvelle. Je ne m'y attendais vraiment pas.
L'image d'elle que je garde, c'est celle-ci:
dans La Ronde de l'Aube, de Sirk (The Tarnished Angels, 1957)
Je ne peux pas dire que j'en étais fou mais elle était terriblement sexy (un peu comme Yvonne De Carlo), une icône du cinéma..
Adieu Dorothy..
C'est LE film qui m'a fait découvrir Dorothy Malone.
Le film est magnifique et elle y est superbe
Dorothy Malone ne m'aurait pas dit grand chose si le hasard n'avait pas fait que j'ai découvert The Tarnished Angels lundi dernier. Je connaissais Written on the Wind mais je l'avais oubliée. Pas une star, mais une grande professionnelle, une très belle actrice. Je l'ai trouvé excellente dans un rôle complexe et le hasard du jour de son décès me fait réaliser que je la connaissais depuis longtemps...magie du cinéma, art de l'instant et de l'instant qui reste.
"pour cet enfant devenu grand, le cinéma et la femme sont restés deux notions absolument inséparables", Chris Marker
Roy Neary a écrit :On est quatre.
J'ai toujours été un grand amateur de Dorothy Malone, qui combinait une forte sensibilité, un glamour indéniable et un sex-appeal dévastateur. Donc un physique à se damner mas aussi une superbe comédienne. RIP.
Cinq. Moi aussi je la croyais décédée depuis longtemps.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
Je viens de lire sur Wikipédia qu'il était le neveu de Louis Jouvet
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
A jamais le "sosie" de Bebel, acteur dans Double Messieurs et Mischka de Stevenin et de Maine Ocean de Rozier, entre autres.
Un de mes seconds voire troisieme couteaux du cinema français préférés.
R.I.P Yves.
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
Si vous ne connaissez pas son nom, vous connaissez sa gueule...
Effectivement.
Le faux plombier-espion à la solde de Tricatel dans L'Aile ou la Cuisse, scène mémorable où il jette Claude Gensac dans la cage d'escalier.
C'est le premier souvenir que ça m'a évoqué.
Je l'ai vu dernièrement dans Le Juge Fayard, et comme à chaque fois, on pense...