Le peu d'écho que soulève ici (et ailleurs) sa disparition reflète sans doute le manque d'exposition d'une œuvre pourtant riche (deux coffrets DVD ont été édités, mais je ne sais pas si ils sont toujours trouvables).
Il n'est pas trop tard pour découvrir ce cinéaste. Outre Tilaï, j'ai envie de citer le très touchant (et faussement naïf) Le Choix (Yam Daabo).
Le peu d'écho que soulève ici (et ailleurs) sa disparition reflète sans doute le manque d'exposition d'une œuvre pourtant riche (deux coffrets DVD ont été édités, mais je ne sais pas si ils sont toujours trouvables).
Il n'est pas trop tard pour découvrir ce cinéaste. Outre Tilaï, j'ai envie de citer le très touchant (et faussement naïf) Le Choix (Yam Daabo).
Je n'ai vu que Tilai il y a longtemps qui m'avait beaucoup plu ! Mais j'aimerai beaucoup découvrir d'autres oeuvres d'Ouedraogo. Je ne savais même pas que 2 coffrets consacrés à lui avaient déjà été édités.
RIP à ce grand cinéaste
Il est vrai que les médias n'ont quasiment pas évoqué cette disparition (Ouedraogo n'avait que 64 ans)...
"Vouloir le bonheur, c’est déjà un peu le bonheur"
C'est terrible : il faut l'annonce de sa mort pour que me revienne en mémoire ce cinéaste qui m'était sorti de la tête alors que j'ai vu, à leur sortie, Yaaba, Tilaï et Samba Traoré plus son segment du film sur le 11 septembre. Il était supplanté par Souleymane Cissé, mieux implanté dans ma caboche et par le plus contemporain Abderrahmane Sissako.
Hommage.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Commissaire Juve a écrit :
Cela dit, à part Notting Hill, je ne me souviens pas l'avoir souvent vue (ce rôle sera au moins resté dans les mémoires).
Oui ...
Accessoirement Notting Hill a déja 20 ans
J'en reviens pas - time flies!
- What do you do if the envelope is too big for the slot?
- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.
Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
R.I.P. Lewis Gilbert, talentueux réalisateur anglais qui a - entre autres - donné un coup de boost à la carrière de Michael Caine avec Alfie et réussi de nombreux films de guerre dont l'épatant Coulez le Bismark ou l'excellent Les mutinés du téméraire. Connu évidemment pour ses trois contributions à la série des James Bond.
A retenir aussi Sept hommes à l'aube, sur l'attentat contre Heydrich. Tourné (en partie) sur place (le film a été coproduit avec les studios Barrandov à Prague), le film suit le groupe depuis la préparation de l'attentat, jusqu'à la traque finale. Reconstitution sans doute assez proche de la réalité en ce qui concerne le déroulement des faits.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
Watkinssien a écrit :RIP pour un des réalisateurs bondiens. Il y avait aussi Educating Rita qui n'était pas trop mal, avec une excellente Julie Walters.
Tu m'as fait peur. Comme j'ai vu ton nom s'afficher en même temps sous le topic Agnès Varda, j'ai cru qu'on y avait droit!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Watkinssien a écrit :RIP pour un des réalisateurs bondiens. Il y avait aussi Educating Rita qui n'était pas trop mal, avec une excellente Julie Walters.
Tu m'as fait peur. Comme j'ai vu ton nom s'afficher en même temps sous le topic Agnès Varda, j'ai cru qu'on y avait droit!
Alexandre Angel a écrit :
Tu m'as fait peur. Comme j'ai vu ton nom s'afficher en même temps sous le topic Agnès Varda, j'ai cru qu'on y avait droit!
Ah mais tu n'y peux rien Cela dit ce n'est pas la première fois que ça produit cet effet.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain