L'homme d'un rôle, mais qu'il a incarné a la perfection.
Il m'est etrangement familier (alors que ça doit faire plus de 10 ans que je n'ai pas vu un Magnum)
RIP
- What do you do if the envelope is too big for the slot?
- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.
Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
décès de Alain Mottet à l’âge de 88 ans. Il a choisi de se donner la mort en compagnie de son épouse, Françoise Hirsch, 87 ans.
Le comédien, outre une longue carrière théâtrale, a été, pour la télévision, Flambart, le policier pourchassant sans relâche Vidocq dans la série de 1967. Il avait interprété de nombreux seconds rôles au cinéma, dans «Le feu follet» de Louis Malle ou «L’armée des ombres» de Jean-Pierre Melville.
Karras a écrit :... se donner la mort en compagnie de son épouse...
Brrrr !
Crever, c'est pas cool pour ceux qui restent. Mais je me dis que c'est encore moins cool dans ces conditions-là. Vous imaginez le choc pour les enfants.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Karras a écrit :... se donner la mort en compagnie de son épouse...
Brrrr !
Crever, c'est pas cool pour ceux qui restent. Mais je me dis que c'est encore moins cool dans ces conditions-là. Vous imaginez le choc pour les enfants.
Leur fils Pierre Mottet est mort en 2003.
Triste nouvelle, je me souviens surtout de ses rôles dans La Scoumoune, Ho !, ou Le Feu follet, il avait une "gueule" du genre qu'on aimait retrouver dans les seconds rôles (je viens de voir qu'il avait aussi joué dans L'Armée des ombres mais je ne me souviens plus de son rôle). Il n'a pas fait énormément de films.
Le compositeur argentin Luis Bacalov qui beaucoup oeuvré dans le cinéma italien, notamment les westerns Spaghetti, et qui avait fait un arrêt en France dans les années 80s notamment chez Diane Kurys.
Je l'avais vu en février 1984 à la comédie des champs-élysées dans " Chacun sa vérité " de Pirandello, il y avait aussi dans la pièce Guy Tréjean, Suzanne Flon, Maurice Barrier, Annik Alane.
R.I.P.
A ma grande surprise, il n'avait pas fait tant de films que ça.
Pourtant, il faisait partie du décor. Pour ce qui me concerne, je l'ai dans :
En effeuillant la marguerite (1956)
Notre-Dame de Paris (1956)
Mimi Pinson (1958)
Maigret et l'affaire Saint-Fiacre (1959)
125 rue Montmartre (1959)
Les Cracks (1968)
La Crime (1983)
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Rick Blaine a écrit :...un mec qui a remporté un oscar.
Alors là ! C'est comme le "mérite agricole", je m'en tape un peu.
Pour le coup aussi c'est juste le mec qui a composé la musique de pas loin de 150 films, et pas des moindres (même si je sais que ton goût pour le cinéma transalpin est très modéré ).
A ma grande surprise, il n'avait pas fait tant de films que ça.
Pourtant, il faisait partie du décor. Pour ce qui me concerne, je l'ai dans :
En effeuillant la marguerite (1956)
Notre-Dame de Paris (1956)
Mimi Pinson (1958)
Maigret et l'affaire Saint-Fiacre (1959)
125 rue Montmartre (1959)
Les Cracks (1968)
La Crime (1983)
J'ai aussi été étonné par le peu de films, j'ai l'impression de le connaître depuis toujours.
Par contre, quand il était dans un film on ne risquait pas de passer à côté. Sacré bon acteur.
R.I.P.
Charles Boyer (faisant la cour) à Michèle Morgan dans Maxime.
- Ah, si j'avais trente ans de moins !
- J'aurais cinq ans... Ce serait du joli !