Jeremy Fox a écrit :En voilà une que je trouve assez étonnante : Le Phare du bout du monde chroniqué par Pierre Jean (que nous remercions vivement) et qui était sorti en zone 2 voici quelques années chez Studio Canal.
Revu hier soir : je me demande s'il existait à cette époque un autre film anglo-saxon aussi sadique, cru et brutal que ce film d'aventure de très bonne facture qui offre à Yul Brynner à mon avis son meilleur rôle. Du coup ça m'intrigue et je voulais savoir si le roman de Jules Verne était aussi hard ?
Rick Blaine a écrit :Et je note pour voir le film également.
Je pense qu'il a ses chances car il n'est pas tout à fait sans point commun avec un certain film de Michael Ritchie
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Jeremy Fox a écrit :En voilà une que je trouve assez étonnante : Le Phare du bout du monde chroniqué par Pierre Jean (que nous remercions vivement) et qui était sorti en zone 2 voici quelques années chez Studio Canal.
Revu hier soir : je me demande s'il existait à cette époque un autre film anglo-saxon aussi sadique, cru et brutal que ce film d'aventure de très bonne facture qui offre à Yul Brynner à mon avis son meilleur rôle. Du coup ça m'intrigue et je voulais savoir si le roman de Jules Verne était aussi hard ?
Je l'avais lu il y a maintenant une petite vingtaine d'années et même je me rappelle bien d'un climat assez sombre, je ne me souviens pas de description de scènes de cruauté comme le film en est parsemé. Donc, il est peut-être un plus dur que la moyenne de ses romans mais ce n'est pas du Jules Verne hard non plus!
Le film de Kevin Billington prend donc bien ses distances avec le roman sur ce point et c'est d'ailleurs ce qui a été reproché au film au moment de sa sortie: d'avoir transformé un roman de Jules Verne, à priori familial, en film purement destiné aux adultes. Je sais que j'ai découvert le film pour ma part à l'âge de 10 ans (loué au video club avec enthousiasme car il y avait le duo gagnant Kirk Douglas -Jules Verne de 20000 lieues sous les mers) et je suis ressorti du visionnage tout chamboulé
Rick Blaine a écrit :Ah, voilà une belle reference !
Pour moi seul par contre, Jeremy ne te risque pas forcément sur le Ritchie, personne n'aime sauf moi !!
J'ai trouvé ça fun pour ma part, apres de là a dire que c'est un tres bon film....
manuma aime beaucoup egalement
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
Rick Blaine a écrit :Ah, voilà une belle reference !
Pour moi seul par contre, Jeremy ne te risque pas forcément sur le Ritchie, personne n'aime sauf moi !!
J'ai trouvé ça fun pour ma part, apres de là a dire que c'est un tres bon film....
manuma aime beaucoup egalement
Je signe aussi.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)