Cannibal Holocaust (Ruggero Deodato - 1980)
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Cannibal Holocaust (Ruggero Deodato - 1980)
Je n'ai jamais vu ce film de Ruggero Deodato réalisé en 1979 malgré le fait que je sois passé un nombre incalculable de fois devant la fameuse jacquette de la VHS. L'avez-vous vu ? Qu'en pensez-vous ?
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C'est le seul film qui m'a mis dans un état de dégoût énorme, ce qui m'a poussé à tourner la tête. Je l'ai regarder avec ma mère ( ) et un moment on s'est regardé et on à dit : "mais c'est réel c'est pas possible" saus tenir compte, évidemment, des massacrage d'animaux qui eux sont dépourvu d'effets mais d'un dépeçage terrifiant et abominablement dégueulasse.
Malgré tout le film apporte une vrai réflexion sur la notion de "sauvage" et de "homme moderne" ce qui est déjà très bien...
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Hum quand il se mettent, vers le milieu du film, à dépecer une tortue géante (tripaille et vomis de circonstances) avant de se faire à leur tour dépecer de la plus horrible des façons...Lebowski a écrit :C kan que c'est ecoaurant parce que je me souviens avoir regardé le début suite à des commentaires lus ici et dans ce que j'avais vu c'etait largement supportable autant que je me souvienne..
Ame sensible s'abstenir (d'autant que le film possède pas mal d'autre scènes bien dégueulasse voir "forte")
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Je veux bien qu'on me dise ça pour un Massacre à la tronçonneuse ou la frontière avec le ridicule est parfois infime, mais pour Cannibal Holocaust faudrait vraiment être bizzare pour se marrer devant ça, c'est si réaliste et ignoble (et puis la scène de la tortue...)NUTELLA a écrit :ca fera surement rire les jeunes de maintenant,mais il faut savoir ce qu'on regarde avec Cannibal holocaust,celui-ci comme cannibal ferox ont fait date dans l'histoire du cinema d'horreur.ca me tarde d'ailleurs de le revoir dans des conditions optimales
SPOILER
La scène ou le journaliste blond se fait récuperer par les cannibals (il est déjà mort) et il lui coupe le zob c'est affreux ! (je croyais, sincérement, que c'était réel !)
/SPOILER
Et puis la musique...........
J'ai beau n'avoir aucune envie de le revoir je trouve que ce film est une réussite...
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par rire,je voulais dire qu'ils trouveraient surement ca ringard,pas d'images de syntheses bidons,pas de comique de service etc...johndoe_df a écrit :Je veux bien qu'on me dise ça pour un Massacre à la tronçonneuse ou la frontière avec le ridicule est parfois infime, mais pour Cannibal Holocaust faudrait vraiment être bizzare pour se marrer devant ça, c'est si réaliste et ignoble (et puis la scène de la tortue...)NUTELLA a écrit :ca fera surement rire les jeunes de maintenant,mais il faut savoir ce qu'on regarde avec Cannibal holocaust,celui-ci comme cannibal ferox ont fait date dans l'histoire du cinema d'horreur.ca me tarde d'ailleurs de le revoir dans des conditions optimales
SPOILER
La scène ou le journaliste blond se fait récuperer par les cannibals (il est déjà mort) et il lui coupe le zob c'est affreux ! (je croyais, sincérement, que c'était réel !)
/SPOILER
Et puis la musique...........
J'ai beau n'avoir aucune envie de le revoir je trouve que ce film est une réussite...
Je l'ai vu au cinéma dans les années 80 en me faufilant par la sortie de la salle (c'était facile à l'époque... ).
Je n'avais rien bouffé avant mais ça ne m'a pas empêché d'aller dégueuler dans les toilettes du cinéma avant la fin du film. Je me suis toujours demandé l'utilité d'un tel "film", et pourtant je suis assez bon client des films d'horreur. Sûrement la volonté de dépasser dans ce qui avait été fait avant dans le domaine, repousser au plus loin les limites de l'horrible et du dégoût, confronter le spectateur à ses pires cauchemars anatomiques. Le rendu "documentaire" accentue encore plus le "réalisme" de la chose.
N'empêche que j'arrive difficilement à prendre du recul devant cet étalage dégeulasse pour tenter une analyse cinématographique du film.
Je n'avais rien bouffé avant mais ça ne m'a pas empêché d'aller dégueuler dans les toilettes du cinéma avant la fin du film. Je me suis toujours demandé l'utilité d'un tel "film", et pourtant je suis assez bon client des films d'horreur. Sûrement la volonté de dépasser dans ce qui avait été fait avant dans le domaine, repousser au plus loin les limites de l'horrible et du dégoût, confronter le spectateur à ses pires cauchemars anatomiques. Le rendu "documentaire" accentue encore plus le "réalisme" de la chose.
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