Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
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Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
N'oubliez pas : en ce moment aux Cinémas Actions une merveille de reprise. Le film de Billy Wilder est encore aujourd'hui d'une actualité et d'une modernité étonnantes, notamment sur les rapports hommes/femmes et sur la liberté sexuelle. Les gags s'enchainent dans un superbe écran large, la mise en scène est fabuleuse et tous les acteurs au diapason. Et Kim Novak, aaaaaaaargh, raaaah lovely
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Re: Embrasse moi idiot !
me rappelle plus trop du film mais d'accord avec cette phraseMargo a écrit :Et Kim Novak, aaaaaaaargh, raaaah lovely
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Re: Embrasse moi idiot !
Je n'aimais pas trop cette actrice jusqu'à cet après-midi d'avril où je suis vraiment tombé sous le charme. J'aime beaucoup son jeu et sa superbe voix qui vous trote dans la tête bien après la vision.Margo a écrit : Et Kim Novak, aaaaaaaargh, raaaah lovely
C'est en tout cas un superbe film, très drôle et intelligent.
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Re: Embrasse moi idiot !
Leopold Saroyan a écrit :Je n'aimais pas trop cette actrice jusqu'à cet après-midi d'avril où je suis vraiment tombé sous le charme. J'aime beaucoup son jeu et sa superbe voix qui vous trote dans la tête bien après la vision.Margo a écrit : Et Kim Novak, aaaaaaaargh, raaaah lovely
C'est en tout cas un superbe film, très drôle et intelligent.
Je ne désespère alors donc pas te voir changer d'avis aussi pour John Wayne et Errol Flynn
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Re: Embrasse moi idiot !
Ca arrivera quand je les verrai danser le ventre nu avec un petit rubi sur le nombril.Jeremy Fox a écrit :Je ne désespère alors donc pas te voir changer d'avis aussi pour John Wayne et Errol Flynn
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Re: Embrasse moi idiot !
sait-on jamais je vais te chercher çaLeopold Saroyan a écrit :Ca arrivera quand je les verrai danser le ventre nu avec un petit rubi sur le nombril.Jeremy Fox a écrit :Je ne désespère alors donc pas te voir changer d'avis aussi pour John Wayne et Errol Flynn
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Une merveille de comédie, un humour et une sensualité de tous les instants et de tous les dialogues, un pied de nez aux valeurs toutes faites du mariage et quasiment une apologie de l'adultère, une vision pleine d'ironie sur le milieu hollywoodien (mention spéciale à Dean Martin pour l'aotu-dérision), le tout porté par un quatuor d'acteurs formidables.
A voir absolument
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Atticus
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- Embrasse-moi idiot. Billy Wilder est tout de même plus dans son élément lorsqu'il travaille avec I.A.L. Diamond que sur Stalag 17.
Les dialogues sont étincellants, pleins de sous entendu, d'une drôlerie absolument irrésistible. Sous une ironie féroce, c'est un film très tendre, très humain, plein d'optimisme. En pointant les défauts de ses compatriotes (la course au succés est un cheval de bataille du réalisateur) Billy Wilder fait également ressortir ce qu'ils ont de touchant et beau.
Le film est également ancré dans la réalité, Dean Martin jouant avec un recul incroyable son propre personnage, des feintes fusant sur Gershwin dont les morceaux sont utilisés dans la bande originale...
L'interprétation est magistrale de Kim Novak à Ray Walston en passant par un Dean Martin au regard halluciné n'ayant rien à envier au Cary Grant d'
Arsenic et vieilles dentelles.
Irresistible, ce film est encore un sommet dans la carrière admirable de Wilder.
Les dialogues sont étincellants, pleins de sous entendu, d'une drôlerie absolument irrésistible. Sous une ironie féroce, c'est un film très tendre, très humain, plein d'optimisme. En pointant les défauts de ses compatriotes (la course au succés est un cheval de bataille du réalisateur) Billy Wilder fait également ressortir ce qu'ils ont de touchant et beau.
Le film est également ancré dans la réalité, Dean Martin jouant avec un recul incroyable son propre personnage, des feintes fusant sur Gershwin dont les morceaux sont utilisés dans la bande originale...
L'interprétation est magistrale de Kim Novak à Ray Walston en passant par un Dean Martin au regard halluciné n'ayant rien à envier au Cary Grant d'
Arsenic et vieilles dentelles.
Irresistible, ce film est encore un sommet dans la carrière admirable de Wilder.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
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Bof. Tout d'abord je trouve le film assez mal construit: ça ne débute réellement qu'au bout d'une heure (à l'arrivée de Kim Novak), puis ça s'étire en rebondissements de boulevard qui font justement regretter la première heure. Le côté "du cul partout" (du gamin de 14 ans soupçonné de baiser la gentille épouse au village qui s'appelle "Climax") pimente un peu la sauce et la rend un chouille irrévérencieuse, avant qu'on ne se range proprement des voitures (avec notamment l'affreuse réplique de Novak à Felicia Farr, "une femme sans mari c'est comme une caravane sans voiture" - à moins que ça ne soit particulièrement cynique). Les comédiens (enfin surtout Ray Walston) sont irritants. Quelques petites douceurs ici ou là mais bon...décevant.
2/6
Bof. Tout d'abord je trouve le film assez mal construit: ça ne débute réellement qu'au bout d'une heure (à l'arrivée de Kim Novak), puis ça s'étire en rebondissements de boulevard qui font justement regretter la première heure. Le côté "du cul partout" (du gamin de 14 ans soupçonné de baiser la gentille épouse au village qui s'appelle "Climax") pimente un peu la sauce et la rend un chouille irrévérencieuse, avant qu'on ne se range proprement des voitures (avec notamment l'affreuse réplique de Novak à Felicia Farr, "une femme sans mari c'est comme une caravane sans voiture" - à moins que ça ne soit particulièrement cynique). Les comédiens (enfin surtout Ray Walston) sont irritants. Quelques petites douceurs ici ou là mais bon...décevant.
2/6