Ben-Hur (William Wyler - 1959)
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Ben-Hur (William Wyler - 1959)
Ben-Hur de William Wyler (1959)
Ce film est long, tréééés long. Heureusement que les scènes d'action sont là pour nous réveiller parceque les scènes de parlotes ne présentent que trés peu d'interêt. Fait trés rare devant un film : j'ai bien failli m'endormir. J'aurais aimé avoir le DVD pour pouvoir me passer les meilleures scènes sans avoir à supporter le reste. J'ai tout de même trouvé le dernier quart d'heure autour de Jesus vraiment magnifique.
100 coudés en dessous de Spartacus mais aussi trés loin de la sublime version muette. Déçu, je suis déçu.
J'espère qu'une future vision en DVD me fera un peu changer d'avis sur ce monument du 7ème art.
Ce film est long, tréééés long. Heureusement que les scènes d'action sont là pour nous réveiller parceque les scènes de parlotes ne présentent que trés peu d'interêt. Fait trés rare devant un film : j'ai bien failli m'endormir. J'aurais aimé avoir le DVD pour pouvoir me passer les meilleures scènes sans avoir à supporter le reste. J'ai tout de même trouvé le dernier quart d'heure autour de Jesus vraiment magnifique.
100 coudés en dessous de Spartacus mais aussi trés loin de la sublime version muette. Déçu, je suis déçu.
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Ben-Hur (William Wyler, 1959)
Pas de films intéressants à voir ce dimanche au ciné pour Mme Almendros, en attendant la semaine prochaine bien prometteuse. L'occasion îdéale de revoir un classique
BEN-HUR de William Wyler
Vu à plusieurs reprises depuis que je suis tout petit, c'est la première fois que j'apprécie réellement ce film. Film d'aventures (dont GLADIATOR semble être trop inspiré) dans sa plus grande partie, variation biblique dans son dernier acte, le récit est passionnant, quasiment sans temps morts (quelques rares longueurs). La fameuse course de chars est effectivement impressionnante. Je ne me souviens plus qui en est le vrai réal (n'hésitez pas à le rappeler!) mais c'est bigrement efficace. Par contre, déçu par la bataille navale (ses maquettes visibles et ses incrustes en fond bleu un peu ratées...).
Master dvd (de l'édition ultime) de très très bonne facture. Les couleurs sont très chaudes, très belles. Bonne définition. MAIS en pinailleur que je suis, je m'attendais à une restauration de l'envergure d'AUTANT EN EMPORTE LE VENT. Ce n'est pas le cas: quelques points blancs subsistent (vers la fin du film), les contrastes sont parfois instables, et surtout (dans la 1ère heure) l'image est légèrement instable horizontalement. C'est très léger mais aujourd'hui avec l'informatique ce détail est facilement corrigeable.
De menus défauts, je le répète, vu la qualité du transfert mais pour une énième édition je m'attendais à un travail irréprochable. On y est presque.
Reste à voir la version muette, dans quelques temps...
BEN-HUR de William Wyler
Vu à plusieurs reprises depuis que je suis tout petit, c'est la première fois que j'apprécie réellement ce film. Film d'aventures (dont GLADIATOR semble être trop inspiré) dans sa plus grande partie, variation biblique dans son dernier acte, le récit est passionnant, quasiment sans temps morts (quelques rares longueurs). La fameuse course de chars est effectivement impressionnante. Je ne me souviens plus qui en est le vrai réal (n'hésitez pas à le rappeler!) mais c'est bigrement efficace. Par contre, déçu par la bataille navale (ses maquettes visibles et ses incrustes en fond bleu un peu ratées...).
Master dvd (de l'édition ultime) de très très bonne facture. Les couleurs sont très chaudes, très belles. Bonne définition. MAIS en pinailleur que je suis, je m'attendais à une restauration de l'envergure d'AUTANT EN EMPORTE LE VENT. Ce n'est pas le cas: quelques points blancs subsistent (vers la fin du film), les contrastes sont parfois instables, et surtout (dans la 1ère heure) l'image est légèrement instable horizontalement. C'est très léger mais aujourd'hui avec l'informatique ce détail est facilement corrigeable.
De menus défauts, je le répète, vu la qualité du transfert mais pour une énième édition je m'attendais à un travail irréprochable. On y est presque.
Reste à voir la version muette, dans quelques temps...
- Kevin95
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Je pense plus, que les références de Scott pour le film furent Spartacus et La Chute de l'empire romain.Nestor Almendros a écrit :BEN-HUR de William Wyler
(dont GLADIATOR semble être trop inspiré)
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Il s'agit d'Andrew Marton, réalisateur de seconde équipe très talentueux pour ce genre de scènes. Il réalisera une autre course de char, tout aussi spectaculaire, pour La Chute de l'empire romain d'Anthony Mann.Nestor Almendros a écrit :BEN-HUR de William Wyler
(...) La fameuse course de chars est effectivement impressionnante. Je ne me souviens plus qui en est le vrai réal (n'hésitez pas à le rappeler!) mais c'est bigrement efficace.
Et si tu as aimé le Ben-Hur de Wyler, tu seras à coup sûr très surpris de la réussite de la version muette.
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Certes, mais je pense toutefois que certains éléments de GLADIATOR sont étrangement proches: l'homme aisé qui est envoyé aux galères (= les jeux du cirque), puis qui rentre chez lui (maison en ruine) pour s'apercevoir que sa famille a subi de grands malheurs (lèpre ou assassinat)... Par exemple.Kevin95 a écrit :Je pense plus, que les références de Scott pour le film furent Spartacus et La Chute de l'empire romain.Nestor Almendros a écrit :BEN-HUR de William Wyler
(dont GLADIATOR semble être trop inspiré)
Je me la garde au chaud pour très bientôt...Et si tu as aimé le Ben-Hur de Wyler, tu seras à coup sûr très surpris de la réussite de la version muette.
- Kevin95
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Je te l'accorde !Nestor Almendros a écrit :Certes, mais je pense toutefois que certains éléments de GLADIATOR sont étrangement proches: l'homme aisé qui est envoyé aux galères (= les jeux du cirque), puis qui rentre chez lui (maison en ruine) pour s'apercevoir que sa famille a subi de grands malheurs (lèpre ou assassinat)... Par exemple.Kevin95 a écrit : Je pense plus, que les références de Scott pour le film furent Spartacus et La Chute de l'empire romain.
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Ben-Hur, Willy Wyler, 1959
Pénible revoyure puisque j'ai vraiment eu du mal à trouver des qualités à ce très long métrage. J'en retiendrais essentiellement l'interprétation très convaincante de Chuck Heston et la qualité de la direction artistique (décors, costumes, photographie, matte paintings). La musique de Miklos Rozsa est pas terrible. Les dialogues sont aussi plats que la mise en scène. Si la course de char demeure le clou du spectacle, la séquence de la bataille navale est assez peu inspirée. L'émotion peine à naître, la dimension spirituelle m'a semblée vraiment sous-traitée. Pour moi, l'aspect le plus intéressant et réussi de l'histoire réside dans la relation entre Ben-Hur et le consul romain joué par Jack Hawkins, qui adoptera l'esclave qui lui a sauvé la vie.
J'avais découvert la version muette de Fred Niblo il y a quelques années. Elle est à cent coudées au-dessus de celle-ci, en particulier dans les deux grandes scènes d'action, bien plus impressionnantes.
Bref : bof-bof.
Pénible revoyure puisque j'ai vraiment eu du mal à trouver des qualités à ce très long métrage. J'en retiendrais essentiellement l'interprétation très convaincante de Chuck Heston et la qualité de la direction artistique (décors, costumes, photographie, matte paintings). La musique de Miklos Rozsa est pas terrible. Les dialogues sont aussi plats que la mise en scène. Si la course de char demeure le clou du spectacle, la séquence de la bataille navale est assez peu inspirée. L'émotion peine à naître, la dimension spirituelle m'a semblée vraiment sous-traitée. Pour moi, l'aspect le plus intéressant et réussi de l'histoire réside dans la relation entre Ben-Hur et le consul romain joué par Jack Hawkins, qui adoptera l'esclave qui lui a sauvé la vie.
J'avais découvert la version muette de Fred Niblo il y a quelques années. Elle est à cent coudées au-dessus de celle-ci, en particulier dans les deux grandes scènes d'action, bien plus impressionnantes.
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Ben-Hur (William Wyler, 1959)
Messala n’est peut-être pas si ignoble que cela, il permet à Ben-hur de s’extraire d’un quotidien bourgeois ennuyeux en lui offrant un parcours certes viril, accablant sans visiblement de finalité heureuse mais permettant à un homme meurtri de se construire au fil de ses aventures et de ses rencontres.
Le périple en vaut la peine, la vengeance alimente la force de continuer vers l’avant avec le christ sur sa route abreuvant un homme d’une force indélébile celle de tester un cheminement inconnu menant jusqu'à un pic permettant d’acquérir une énergie projetant vers la case départ un indestructible plan destructeur entretenu par un hyper motivé ayant conquis un statut d’homme sur le terrain.
La numérologie s’en mêle, le numéro 41 porte bonheur. Même enchaîné il permet d’éviter une mort certaine aux galères, de se faire remarquer par sa résistance, de sauver de manière désintéressé tout en faisant voyager incognito une opportunité un personnage important.
Les couleurs d’un réconfort acquises sur des divans romains moelleux revigorent une volonté d’en découdre avec un adversaire persuadé que l’on existe plus.
A travers un thème basique celui de la vengeance alimentant une survie dans des contextes offerts à des surhommes Ben - Hur acquiert une envergure miséricordieuse et rigoriste hors de terres bienveillantes sans surprises.
L’homme s’élabore dans des dimensions éxistentielles gigantesques préalablement, inconnues. Il souffre, frôle cent fois la mort, sauve une vie, rencontre par deux fois un personnage emblématique, s’interroge sur une condition humaine fonctionnant à la percussion de plus en plus rapide. Entretient une croyance par une invulnérabilité hors du commun gérée par la divinité.
Un privilégié qui finalement loin de ses bases s’embellit intérieurement par l'expérience en côtoyant un monde barbare et inconnu.
Rien que pour cela l’odyssée est payante, tout en devant retrouver sa famille et assouvir une vengeance d’une manière combative et loyale un homme alimenté par l’endurance s'enrichit loin de ses terres de toute les richesses du monde collectées par les sens dans des environnement évolutifs extrêmement réalistes.
Le périple en vaut la peine, la vengeance alimente la force de continuer vers l’avant avec le christ sur sa route abreuvant un homme d’une force indélébile celle de tester un cheminement inconnu menant jusqu'à un pic permettant d’acquérir une énergie projetant vers la case départ un indestructible plan destructeur entretenu par un hyper motivé ayant conquis un statut d’homme sur le terrain.
La numérologie s’en mêle, le numéro 41 porte bonheur. Même enchaîné il permet d’éviter une mort certaine aux galères, de se faire remarquer par sa résistance, de sauver de manière désintéressé tout en faisant voyager incognito une opportunité un personnage important.
Les couleurs d’un réconfort acquises sur des divans romains moelleux revigorent une volonté d’en découdre avec un adversaire persuadé que l’on existe plus.
A travers un thème basique celui de la vengeance alimentant une survie dans des contextes offerts à des surhommes Ben - Hur acquiert une envergure miséricordieuse et rigoriste hors de terres bienveillantes sans surprises.
L’homme s’élabore dans des dimensions éxistentielles gigantesques préalablement, inconnues. Il souffre, frôle cent fois la mort, sauve une vie, rencontre par deux fois un personnage emblématique, s’interroge sur une condition humaine fonctionnant à la percussion de plus en plus rapide. Entretient une croyance par une invulnérabilité hors du commun gérée par la divinité.
Un privilégié qui finalement loin de ses bases s’embellit intérieurement par l'expérience en côtoyant un monde barbare et inconnu.
Rien que pour cela l’odyssée est payante, tout en devant retrouver sa famille et assouvir une vengeance d’une manière combative et loyale un homme alimenté par l’endurance s'enrichit loin de ses terres de toute les richesses du monde collectées par les sens dans des environnement évolutifs extrêmement réalistes.
Chaque individu a le devoir de se réaliser par l'esprit dans le contexte historique de son époque.
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Re: Ben-Hur (William Wyler, 1959)
L'acte de Messala est ignoble meme si au résultat Ben-Hur survit. Il renit un ami parce que celui-ci a refusé de trahir les siens pour son prestige personnel mais surtout celui de Messala. Et quand l'occasion de se venger survient, Messala saute a pied joint et par le fait meme aurait du causer la mort des 3 personnes sur lequel cette vangeance a été faites. Trois personnes qui pendant longtemps lui ont vouer une amitié, ou peut-etre plus meme.
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Re: Ben-Hur (William Wyler, 1959)
Malgré son succès colossal et jamais mis en défaut, j'ai toujours trouvé que le film se ternissait d'une réputation peu flatteuse, alors que je le trouve réussi de bout en bout.
Aujourd'hui encore, Ben Hur se sort remarquablement des clichés inhérents du genre et arrive avec talent à mêler le spectaculaire et l'intime.
Le destin de Ben Hur est remarquablement évoqué dans un scénario bien composé. Aucune séquence ne paraît inutile, à mes yeux, et Wyler insuffle une puissance émotionnelle à son histoire épique.
Ce péplum reste pour moi un régal de cinéma, entre complexité tragique et action accessible, qui mêle petite et grande Histoire sans aucune lourdeur.
Il faut noter que l'interprétation est à la hauteur, que la musique est superbe d'efficacité (notamment lors des terribles percussions de la galère) et que la mise en scène de Wyler, en bon vétéran, reste d'une solidité à toute épreuve.
Aujourd'hui encore, Ben Hur se sort remarquablement des clichés inhérents du genre et arrive avec talent à mêler le spectaculaire et l'intime.
Le destin de Ben Hur est remarquablement évoqué dans un scénario bien composé. Aucune séquence ne paraît inutile, à mes yeux, et Wyler insuffle une puissance émotionnelle à son histoire épique.
Ce péplum reste pour moi un régal de cinéma, entre complexité tragique et action accessible, qui mêle petite et grande Histoire sans aucune lourdeur.
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Re: Ben-Hur (William Wyler, 1959)
J'ai eu la grande chance de le voir au Gaumont Palace, un grand souvenir ou les salles de quartier Parisiennes était pleine six mois après la sortie en première exclusivité.
Chaque individu a le devoir de se réaliser par l'esprit dans le contexte historique de son époque.
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Re: Ben-Hur (William Wyler, 1959)
Un de mes films préférés (parmi mon top 20) ...
Toute la symbolique, les personnages, les acteurs expérimentés et a fonds dans leur role ...
Sans oublier les séquences de choc (bien entendu la course de chars, jamais égalée jusqu'à présent dans l'intensité et la hragne de vaincre), et les séquences magiques de par leur symbolique (les scènes avec le Christ) ...
Bref, un pur chef d'oeuvre ...
Toute la symbolique, les personnages, les acteurs expérimentés et a fonds dans leur role ...
Sans oublier les séquences de choc (bien entendu la course de chars, jamais égalée jusqu'à présent dans l'intensité et la hragne de vaincre), et les séquences magiques de par leur symbolique (les scènes avec le Christ) ...
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Re: Ben-Hur (William Wyler, 1959)
Personnellement une des scenes les plus frappantes est celle de la rencontre entre Ben Hur et le Christ dans le desert.
Non seulement on ne voit pas le visage de ce dernier, mais le fait d'observer la rencontre a travers les yeux de Ben Hur
rend la scene d'autant plus forte. Rien qu'en voyant les yeux de Charlton Heston l'on se rend compte de la magie du moment,
au dela de la simple reconnaissance pour une gorgee d'eau.
Bref un film fascinant, des la premiere vision avec des yeux de gamin.
Non seulement on ne voit pas le visage de ce dernier, mais le fait d'observer la rencontre a travers les yeux de Ben Hur
rend la scene d'autant plus forte. Rien qu'en voyant les yeux de Charlton Heston l'on se rend compte de la magie du moment,
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Bref un film fascinant, des la premiere vision avec des yeux de gamin.
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- Euphémiste
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Re: Ben-Hur (William Wyler, 1959)
C'est clair, le film est une suite de scene absolument magnifiques. Et titanesque dans certains cas, la course de char et la bataille navale pour les nommer. La version de Niblo de 1925 a aussi droit a des scenes aussi terrifiante et est tout aussi géniale.
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