Fenêtre sur cour (Alfred Hitchcock - 1954)
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Fenêtre sur cour (Alfred Hitchcock - 1954)
Fenêtre sur cour : Je vais faire court, j'avais écrit un truc plus long qui s'est perdu dans les limbes, je suis complètement déçu, je n'ai pas du tout accroché à ce film par ailleurs considéré comme un chef-d'oeuvre du maître. J'y ai vu certes de la technique et une grande maîtrise formelle, mais l'histoire m'a semblé plus que banale et sans surprise, plus grave encore ne faisant naître aucun suspens à mes yeux.
Autant Grace Kelly est divine, autant ici elle n'a pas grand chose à jouer et je ne l'ai pas trouvé excellente comédienne, de même que James Stewart, bien meilleur dans d'autres Hitchcock, sans parler des Capra.
Tout pourtant aurait dû m'épater : le scénario, la mise en scène. Mais rien, pas le moindre frisson devant la mécanique trop huilée et prévisible, malgré dix dernières minutes qui m'ont parû plus emballantes. Hormis cela un ennui certain, pas eu pareil sentiment depuis l'Ombre d'un Doute autre Hitchcock que je n'aime pas. Je ne comprends pas l'enthousiasme autour de ce film, le making-of m'ayant paru révélateur sur ce point, tous les intervenants s'extasiant devant ce long-métrage et le qualifiant de chef-d'oeuvre absolu...
Prenez-moi pour un hérétique, mais je crois bien que c'est l'un des Hitchcock les plus faibles que j'ai vu, j'en préfère d'autres bien moins considérés comme l'Inconnu du Nord-Express ou La Corde.
Je préfère le remake inavoué qu'en a fait De Palma avec Body Double, oeuvre plus ludique je trouve dont le cinéaste a piqué pas mal d'idées et qui devrait donc me plaire encore moins. Mais c'est tout le contraire ! Va comprendre Charles.
4/10
Ceci dit : Ne croyez pas que c'est le divorce, je l'aime toujours ce cher Hitchcock, il était bien trop génial pour que je m'arrête sur cette déconvenue.
Autant Grace Kelly est divine, autant ici elle n'a pas grand chose à jouer et je ne l'ai pas trouvé excellente comédienne, de même que James Stewart, bien meilleur dans d'autres Hitchcock, sans parler des Capra.
Tout pourtant aurait dû m'épater : le scénario, la mise en scène. Mais rien, pas le moindre frisson devant la mécanique trop huilée et prévisible, malgré dix dernières minutes qui m'ont parû plus emballantes. Hormis cela un ennui certain, pas eu pareil sentiment depuis l'Ombre d'un Doute autre Hitchcock que je n'aime pas. Je ne comprends pas l'enthousiasme autour de ce film, le making-of m'ayant paru révélateur sur ce point, tous les intervenants s'extasiant devant ce long-métrage et le qualifiant de chef-d'oeuvre absolu...
Prenez-moi pour un hérétique, mais je crois bien que c'est l'un des Hitchcock les plus faibles que j'ai vu, j'en préfère d'autres bien moins considérés comme l'Inconnu du Nord-Express ou La Corde.
Je préfère le remake inavoué qu'en a fait De Palma avec Body Double, oeuvre plus ludique je trouve dont le cinéaste a piqué pas mal d'idées et qui devrait donc me plaire encore moins. Mais c'est tout le contraire ! Va comprendre Charles.
4/10
Ceci dit : Ne croyez pas que c'est le divorce, je l'aime toujours ce cher Hitchcock, il était bien trop génial pour que je m'arrête sur cette déconvenue.
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- Jeremy Fox
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Bah, moi je me suis bien ennuyé comme ce n'est pas permis devant Psychose pas plus tard que la semaine dernièreJordan White a écrit :Fenêtre sur cour : Prenez-moi pour un hérétique, mais je crois bien que c'est l'un des Hitchcock les plus faibles que j'ai vu, j'en préfère d'autres bien moins considérés comme l'Inconnu du Nord-Express ou La Corde.
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En revanche, je jubile toujours autant devant Fenêtre sur cour, film que je trouve absolument jouissif à tous les niveaux que ce soit l'interprétation, le scénario ou la mise en scène.
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- Euphémiste
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Je n'ai trouvé aucun Hitchcock qui m'ait ennuyé personnelement. Et Fenetre sur cour est l'un de mes 2 préférés avec le génial Vertigo.
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Jordan, tu n'es pas le seul, si ça peut te rassurer. J'ai un peu apprécié Fenêtre sur cour la première fois. Mais la seconde fois que je l'ai vu, il y a 1 mois à peine, je me suis ennuyé ferme. Vraiment ! Je n'aime pas ce film (je l'ai en dvd pourtant, et je ne compte pas m'en débarasser)
C'est marrant Jeremy, moi je préfère Psychose justement. Mais le Hitchcock qui m'a le plus emballé, c'est L'inconnu du nord express. Diaboliquement efficace !!
J'avais passé un très bon moment devant La mort au trousse aussi, mais je n'en ai plus beaucoup de souvenir.
Vertigo : il faut que je le revois. Je me suis repassé quelques extrais il y a peu, ça m'a beaucoup donné envie.
L'ombre d'un doute : bien aimé, mais une fin décevante.
La loi du silence : bien aimé.
Dial M for murder : très bon moment
Les oiseaux : Vu qu'à moitié, sorti du film car je m'ennuyais
Soupçons : M'en rappelle plus vraiment...
Voilà mon avis sur les Hitchcock que j'ai vu. Je ne suis pas fan (ça viendra peut-être un jour, qui sait ?) ! J'ai Les enchainés en dvd, je me le passerai d'ici peu.
C'est marrant Jeremy, moi je préfère Psychose justement. Mais le Hitchcock qui m'a le plus emballé, c'est L'inconnu du nord express. Diaboliquement efficace !!
J'avais passé un très bon moment devant La mort au trousse aussi, mais je n'en ai plus beaucoup de souvenir.
Vertigo : il faut que je le revois. Je me suis repassé quelques extrais il y a peu, ça m'a beaucoup donné envie.
L'ombre d'un doute : bien aimé, mais une fin décevante.
La loi du silence : bien aimé.
Dial M for murder : très bon moment
Les oiseaux : Vu qu'à moitié, sorti du film car je m'ennuyais
Soupçons : M'en rappelle plus vraiment...
Voilà mon avis sur les Hitchcock que j'ai vu. Je ne suis pas fan (ça viendra peut-être un jour, qui sait ?) ! J'ai Les enchainés en dvd, je me le passerai d'ici peu.
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perso, j'aime ce film mais je l'ai jamais considéré comme un des chefs d'oeuvre du maitre, je lui prefere une bonne dizaine d'autres Hitchcock comme les meconnus Under Caricorn, ou encore le Faux coupable, par exemple.Jordan White a écrit :Fenêtre sur cour : Je vais faire court, j'avais écrit un truc plus long qui s'est perdu dans les limbes, je suis complètement déçu, je n'ai pas du tout accroché à ce film par ailleurs considéré comme un chef-d'oeuvre du maître. J'y ai vu certes de la technique et une grande maîtrise formelle, mais l'histoire m'a semblé plus que banale et sans surprise, plus grave encore ne faisant naître aucun suspens à mes yeux.
Autant Grace Kelly est divine, autant ici elle n'a pas grand chose à jouer et je ne l'ai pas trouvé excellente comédienne, de même que James Stewart, bien meilleur dans d'autres Hitchcock, sans parler des Capra.
Tout pourtant aurait dû m'épater : le scénario, la mise en scène. Mais rien, pas le moindre frisson devant la mécanique trop huilée et prévisible, malgré dix dernières minutes qui m'ont parû plus emballantes. Hormis cela un ennui certain, pas eu pareil sentiment depuis l'Ombre d'un Doute autre Hitchcock que je n'aime pas. Je ne comprends pas l'enthousiasme autour de ce film, le making-of m'ayant paru révélateur sur ce point, tous les intervenants s'extasiant devant ce long-métrage et le qualifiant de chef-d'oeuvre absolu...
Prenez-moi pour un hérétique, mais je crois bien que c'est l'un des Hitchcock les plus faibles que j'ai vu, j'en préfère d'autres bien moins considérés comme l'Inconnu du Nord-Express ou La Corde.
Je préfère le remake inavoué qu'en a fait De Palma avec Body Double, oeuvre plus ludique je trouve dont le cinéaste a piqué pas mal d'idées et qui devrait donc me plaire encore moins. Mais c'est tout le contraire ! Va comprendre Charles.
4/10
Ceci dit : Ne croyez pas que c'est le divorce, je l'aime toujours ce cher Hitchcock, il était bien trop génial pour que je m'arrête sur cette déconvenue.
- Miss Nobody
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revu, avec grand plaisir, pour la énième foisFenêtre sur cour
Sans doute l’un de mes Hitchcock favoris, « Fenêtre sur cour » est un huis clos palpitant servit par un trio d’acteurs superbe dans une atmosphère à la fois malsaine et terriblement excitante. Non seulement on accepte et pardonne le voyeurisme de Jeff, mais on s’en rend complice en brûlant nous-aussi de savoir ce qui se passe vraiment derrière ces fenêtres. Rares sont les films aussi captivant et enivrant, le spectateur s’incarne totalement dans chacun des trois personnages, et devient acteur à son tour de cette lugubre histoire en frissonnant avec eux. On évolue dans un suspens insoutenable, sans savoir plus de choses que ce que les fenêtres d’en face veulent bien nous laisser entrevoir, à nous et à ces curieux et suspicieux personnages qui nous tiennent compagnie, collés au carreau et tapis dans l’ombre. Excellentissime.
9,5/10
Sans doute l’un de mes Hitchcock favoris, « Fenêtre sur cour » est un huis clos palpitant servit par un trio d’acteurs superbe dans une atmosphère à la fois malsaine et terriblement excitante. Non seulement on accepte et pardonne le voyeurisme de Jeff, mais on s’en rend complice en brûlant nous-aussi de savoir ce qui se passe vraiment derrière ces fenêtres. Rares sont les films aussi captivant et enivrant, le spectateur s’incarne totalement dans chacun des trois personnages, et devient acteur à son tour de cette lugubre histoire en frissonnant avec eux. On évolue dans un suspens insoutenable, sans savoir plus de choses que ce que les fenêtres d’en face veulent bien nous laisser entrevoir, à nous et à ces curieux et suspicieux personnages qui nous tiennent compagnie, collés au carreau et tapis dans l’ombre. Excellentissime.
9,5/10
- MJ
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Quand on ne se sent pas coupable avec lui (la scène où les protagonistes sont déçus qu'il n'y ait visiblement pas eu de meurtre chez le voisin d'en face).Miss Nobody a écrit : Non seulement on accepte et pardonne le voyeurisme de Jeff
Je ne reviendrais pas sur mon estime pour ce film, captivant de bout en bout, fascinant dans son idée de faire observer au public un personnage lui-même spectateur.
Et la mise en scène est d'une perfection absolue.
EDIT: Et j'imagine ne pas être le seul à voir dans ce film une allégorie de la peur de prendre des responsabilités.
L'arrivée de Grace Kelly, qui est dans le premier plan montré comme une menaçe (son ombre qui recouvre James Stewart), chaque appartement qui reflète un cliché du personnage concernant la vie de couple -ou son inexistence!-. Et bien d'autres moments encore...
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
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- Euphémiste
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En effet, un film absolument captivant et incroyablement réussi. J'adore.
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Fenêtre sur cour (Alfred Hitchcock, 1954)
« Fenêtre sur cour (Rear Window) (1954) » ressemble à une pièce de théâtre intra muros offerte à un immobilisé temporaire. Voir sans être vu entame un passe temps égreneur d’heures longues ennuyeuses entretenant une véritable passion admirative et sans bornes envers les prestations offertes par les locataires de ses grandes baies ouvertes.
Jeff Jeffries momentanément inactif se pâme de bonheur devant les perceptions liées aux ages de cette faune scénarisée offerte au regard d’un embusqué par la dominance d’une météo accablante imposant les grâces d’un courant d’air permanent.
Un simple mateur devient un voyeur professionnel reléguant au second plan une apparition sublime émergeant d’un demi sommeil un nouveau pensif accablé de chaleur.
Elaboré dans son intégralité en studio ce huit clos majestueux fascine par ses incohérences. Un hélicoptère surgit de nulle part frôle le toit d’un immeuble ne s’ajustant pas à la logique de ce lieu reclu d’une urbanisation sans âme.
Curieusement le contenu est truffé d’extravagances bienfaitrices nécessaires à la bonne conduite de ce récit prisonnier de quelques centaines de mètres carrés.
La vie se trouve en arrière cour et non au bout de ce passage où l’on distingue à peine une foule mécanisée. Dans ces appartements tout bouge magistralement, trop intensément, de manière surdosée, théâtrale, outrancière.
Un spectacle ininterrompu activé en fonction des besoins ventilés par ses vas et vient perpétuel d’une pièce à l’autre. Rien que pour cette énergie existentielle offrant le mouvement à un site calfeutré ce film est un chef d’œuvre.
Toutes les directives de la vie s’expriment en secret à deux pas d’une grande artère anonyme. La caméra comprime en une seule valeur les pointes d’une danseuse aux pleurs d’une femme esseulée.
D’une fenêtre à l’autre les frivolités cachées d’une jeunesse cèdent la place à un dîner en solitaire mimant un convive invisible.
Une vie devant soi en overdose masquant ce qu’il y a de plus beau, l’élégance platinée d’une femme aimante attendant patiemment que la crise de voyeurisme d’un être aimé s’estompe dans un repos réparateur.
Jeff Jeffries momentanément inactif se pâme de bonheur devant les perceptions liées aux ages de cette faune scénarisée offerte au regard d’un embusqué par la dominance d’une météo accablante imposant les grâces d’un courant d’air permanent.
Un simple mateur devient un voyeur professionnel reléguant au second plan une apparition sublime émergeant d’un demi sommeil un nouveau pensif accablé de chaleur.
Elaboré dans son intégralité en studio ce huit clos majestueux fascine par ses incohérences. Un hélicoptère surgit de nulle part frôle le toit d’un immeuble ne s’ajustant pas à la logique de ce lieu reclu d’une urbanisation sans âme.
Curieusement le contenu est truffé d’extravagances bienfaitrices nécessaires à la bonne conduite de ce récit prisonnier de quelques centaines de mètres carrés.
La vie se trouve en arrière cour et non au bout de ce passage où l’on distingue à peine une foule mécanisée. Dans ces appartements tout bouge magistralement, trop intensément, de manière surdosée, théâtrale, outrancière.
Un spectacle ininterrompu activé en fonction des besoins ventilés par ses vas et vient perpétuel d’une pièce à l’autre. Rien que pour cette énergie existentielle offrant le mouvement à un site calfeutré ce film est un chef d’œuvre.
Toutes les directives de la vie s’expriment en secret à deux pas d’une grande artère anonyme. La caméra comprime en une seule valeur les pointes d’une danseuse aux pleurs d’une femme esseulée.
D’une fenêtre à l’autre les frivolités cachées d’une jeunesse cèdent la place à un dîner en solitaire mimant un convive invisible.
Une vie devant soi en overdose masquant ce qu’il y a de plus beau, l’élégance platinée d’une femme aimante attendant patiemment que la crise de voyeurisme d’un être aimé s’estompe dans un repos réparateur.
- Watkinssien
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Film sublime sur un des thèmes les plus subtils de Hitchcock : le désir cinématographique de se projeter dans une histoire !
Le héros représente le spectateur qui use du voyeurisme ontologique, et préfère s'intéresser à ces multiples écrans de cinéma plutôt qu'à la femme de sa vie, qui se tient, magnifique de sensualité (Grace Kelly ).
Et c'est quand celle-ci franchit la barrière de "l'écran" que le personnage de James Stewart (superbe comme d'habitude) ouvre enfin les yeux.
Génial !
Le héros représente le spectateur qui use du voyeurisme ontologique, et préfère s'intéresser à ces multiples écrans de cinéma plutôt qu'à la femme de sa vie, qui se tient, magnifique de sensualité (Grace Kelly ).
Et c'est quand celle-ci franchit la barrière de "l'écran" que le personnage de James Stewart (superbe comme d'habitude) ouvre enfin les yeux.
Génial !
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- Euphémiste
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C'est clair ce film est "parfait", autant du coté de son décor, de son scénario que de son casting. Fantastique.
Au fait Jipi, tu devrais vraiment faire une recherche pour voir si des topics de discussion existent deja sur les films dont tu parles, on a justement un superbe topic lancé par Grimmy qui se fait l'intégral d'Alfred Hitchcock en ordre chronologique.
Au fait Jipi, tu devrais vraiment faire une recherche pour voir si des topics de discussion existent deja sur les films dont tu parles, on a justement un superbe topic lancé par Grimmy qui se fait l'intégral d'Alfred Hitchcock en ordre chronologique.
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L'un des grands chef d'oeuvres d'Hitchcock que je revoie régulièrement avec plaisir.
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Un des rares Hitchcock que je n'aime pas avec L'ombre d'un doute. C'est d'autant plus énervant que je peux accrocher à des films dits mineurs ou moins "parfaits" justement pour en revenir au qualificatif que l'on attribue à celui-ci comme La Corde. Ce n'est pas la faute à la mise en scène, le film ne me surprenait tout simplement pas et hormis le dernier quart d'heure je me souviens d'une certaine distanciation et d'un ennui poli. Je n'ai guère accroché à l'interprétation des deux interprètes principaux. Je préfère très largement des films comme L'inconnu du Nord Express ou Le Meurtre était presque parfait, que je trouve jubilatoires pour leur précision.
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