Michael Curtiz (1886-1962)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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kiemavel
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par kiemavel »

xave44 a écrit :
kiemavel a écrit : Quant à Olivia de Havilland, il y a presque 2 ans de çà, j'ai été assez "couillon" pour me présenter devant chez elle un énorme bouquet de roses à la main et j'ai pu lui parler 5 min. C'est un bon petit souvenir même si extrêmement surpris qu'elle réponde elle-même et ne l'ayant pas anticipé, je me suis retrouvé à balbutier et à prononcer des phrases sans doute incompréhensible retrouvant par là même peut-être le langage perdu des premiers hommes.
Bravo ! J'adore ! J'ignorais qu'elle était encore en vie (96 ans quand même !).
Cette actrice est pour moi éternellement associée aux nombreux films dont elle a partagé la vedette avec Errol Flynn entre 1935 et 1940 (dont la moitié au moins sont des classiques).
Inutile de dire que je l'adore y compris dans des rôles relativement mineurs comme celui de la vieille fille qu'elle incarne dans le film de Curtiz. Pour revenir brièvement sur l'affaire, c'était à l'occasion d'un aller-retour chez moi/Paris pour y voir en une seule journée 2 films dans un cinéma de reprise. A la sortie, soleil superbe....Bah, après tout on peut toujours essayer. Je me présente à la porte. "Pour les livraisons, s'adresser au...". J'y vais. En raison de mon air patibulaire, les conchierges (vraiment un couple de portugais) m'interroge. Je leur explique mon intention et il me dise "Pas de prob. si vous les livrer d'ici ce soir c'est son secrétaire ou peut-être sa fille qui va vous répondre...". Tel Steve Austin (mais moi je n'ai qu'une rotule en métal précieux) Je fonce acheter mon Kolosal bouquet de roses mais je cafouille pas mal avant finalement de revenir sur les lieux au moins 90 min. plus tard. Je sonne et v'la t'y pas que c'est Olivia en personne qui passe la tête à sa fenêtre du 1er étage (Sans doute que le secrétaire était parti à cet heure relativement tardive de la fin d'AM). Après un "Oh ! Oh ! Merci ! ", qui m'a surpris, elle m'a dit d'entrer dans la courette et d'attendre...j'attends. 3/4 d'heure plus tard elle était en bas (Pardon...). Et c'est la que j'ai commencé à avoir quelques soucis. J'ai voulu faire compliqué, fallait pas. J'aurais du rester sur du basique : Un sujet, un verbe, un compliment et pis c'est tout. Bref, jolie souvenir. Il y a 2 ans en tout cas elle n'avait pas du tout l'apparence d'une femme de 94 ans. Toujours très petite (ah bon), visage très rond, cheveux courts très blancs. Elle est très souriante et l'on perçoit toujours aisément les traits de la jeune femme qu'elle a été. Je ne dis pas que j'aurais été jusqu'à la renverser dans ses parterres de fleurs mais tout juste. D'autre part elle s'exprime avec un accent britannique assez prononcé et fait de petite fautes de français, c'est d'ailleurs avec cet accent délicieux qu'elle m'a dit "Non, je vous en prie, ne gâchez pas tout...".

Pour Cathy, la longévité des 2 soeurs, ce doit être génétique. Par contre, il semble qu'elles ne se parlent plus. Elles se voyaient encore lorsque Joan vivait à Londres mais je crois qu'elle est maintenant retourné en Californie et il semble bien que les 2 soeurs soient fâchés. La sagesse vient avec l'âge ?
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onvaalapub
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)nd

Message par onvaalapub »

Je sais quelle habite a 300m de chez moi mais jamais au grand jamais je n'aurais assez de courage pour aller sonner chez elle, j'ai été trop amoureux d'elle quand j'étais petit :oops: . Et de toute façon je ne pourrais pas aligner trois mots face a elle, je serais trop impressionné. C'est un peu ridicule mais enfin bon... En tout cas bravo pour ton courage. Voilà une rencontre que tu n'es pas prêt d'oublier!
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kiemavel
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par kiemavel »

Il y a longtemps que je connaissais son adresse et je voulais faire quelques chose pour lui rendre hommage d'une certaine manière. C'était même devenu un sujet de plaisanterie de la part d'un copain qui habite encore plus loin de Paris que moi. Quand vas-tu voir Olivia ? J'ai longuement hésité pas par crainte de l'instant ou je serais face à elle, mais par volonté de ne pas déranger une femme de cette âge. Mais à la fin de l'année 2010, quelques mois avant les évènements que je relatais, j'ai vu une photo d'elle avec G. Bush qui lui avait remis une décoration ou je ne sais plus trop quoi. On y voyait une Olivia rayonnante, paraissant bien plus jeune que son âge, qui avait pris l'avion jusqu'à Washington, etc...Et là, je me suis dit que ce n'était pas forcement indécent de rendre visite à cette grande dame. Par contre, moi aussi l'émotion m'a pris par surprise. Je n'ai réellement pas pu aligner quelques phrases cohérentes et elle a du me prendre pour un parfait idiot. J'enrageais même après moi sitôt passé le moment de la rencontre ayant eu l'impression de l'avoir raté mais aucune importance finalement, ce n'était pas moi ou ma tenue face à ce mini évènement qui comptait, c'était de voir son sourire lumineux avec ce bouquet entre les mains.

En tout cas, bravo môssieur. Alors comme çà on habite les beaux quartiers. Loin de moi l'idée de te dénoncer, au contraire, en ces temps difficiles, entre nantis, faut se serrer les coudes.
bruce randylan
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par bruce randylan »

Sixième édition (Front page woman - 1935)

Deux tourtereaux travaillent chacun dans des journaux à grand tirage, rivaux de longues dates. Journaliste vedette, Curt voit d'un mauvais œil que sa fiancée se lance dans des grandes affaires (pour un quotidien adverse) et fait tout pour la dissuader qu'aucune femme n'est faîte pour se travail.

Ah que ça fait du bien de se laver les yeux après les comédies médiocres de Matarazzo. :mrgreen:
Le Curtiz des années 30 s'est quand même autre chose niveau mise en scène. Le film n'est bien sûr pas un chef d'oeuvre (en comparaison avec la dame du vendredi) mais c'est une comédie enlevée, dynamique, pleine de charme, de personnage attachants et décalés emballé avec un solide talent pour un rythme quasi sans faille du début à la fin.
Le duo formée par George Brent et Bette Davis fait des étincelles à chaque instant avec un complicité et un plaisir contagieux. Il y a une bonne humeur qui s'échappe du film qui colle un sourire persistant (sans pour autant négliger les pointes d'émotions - le mauvais coup de trop de Brent à Davis lors du délibéré du procès).
L'histoire n'est pas forcément crédible mais le film s'amuse de ses facilités pour un divertissement bonne enfant dont les nombreux rebondissements ne manquent pas de charme et d'invention, d'autant que le discours féministe qui prône l'égalité des sexes ne sera jamais démenti.
Les seconds rôles sont en plus excellents (Roscoe Karns en tête).

Je suis content :D
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par Federico »

Le bourreau du Nevada (The hangman, 1959, Michael Curtiz)

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Très chouette, ce western de Curtiz dont j'ai trouvé le scénario plus subtil que la moyenne du genre. Faut dire qu'il est signé de Dudley Nichols et parait-il aussi de W. R. Burnett.

A priori, la trame de base est usée jusqu'à la corde de potence : Mac Bovard est un marshall auréolé d'une réputation infaillible à la recherche un homme accusé d'avoir participé à un hold-up sanglant. Il découvre assez vite que ce dernier a refait sa vie, changé de nom (Butterfield est devenu Bishop) et mène non seulement une existence tout à fait rangée mais en plus semble unanimement apprécié de ses nouveaux concitoyens, ce qui ne va pas lui rendre la tâche aisée.
cf La brève séquence chez le barbier où l'on sent poindre une légère inquiétude chez Bovard (sans que ça dégénère façon La femme à abattre, Sergio Leone ou Coppola). :P

En marshall, Robert Taylor est égal à lui-même, une nouvelle fois dans son emploi de seconde carrière : le dur-à-cuire qui a vu du pays avec un bon fond sous une triple-couche de cynisme.

"I'm not a sentimentalist. I've seen too much of life." déclare-t-il dès sa rencontre avec Selah Jennison, l'ex-petite amie de l'homme qu'il recherche.

Bovard est connu de tous comme "The hangman" car ceux qu'il traque finissent toujours la corde au cou. Mais il déteste ce surnom. Lui est plutôt du genre : "boulot-boulot menuise-menuise". Un buriné qui n'a pas de temps à perdre pour enfiler des gants, se foutant de paraître brutal ou indélicat. Comme lorsqu'il s'incruste dans la chambre d'hôtel de Selah à peine sortie du bain pendant qu'elle se rhabille puis cette séquence encore plus gonflée où il décide de la surveiller en passant la nuit assis sur une chaise bloquant la porte pour finir endormi sur le lit, menotté à la belle !
Selah lui rendra la monnaie de sa pièce quelques instants plus tard en le re-menottant à elle et en planquant la clé. Ces deux-là sont faits pour être ensemble, tels Richard Hannay et Pamela des 39 marches. :)
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Pas le genre non plus à compter fleurette, l'ami Bovard. A peine a-t-il fait la connaissance de Selah qu'il ne trouve rien de plus élégant que lui sortir qu'elle semble davantage avoir 30 que 24 ans et que d'ici peu elle en paraîtra 40 ! :shock:

Un héros taylorien-type qu'il éleva au rang de chef-d'oeuvre dans Convoi de femmes de Wellmann.

Selah Jennison*, c'est Tina Louise, comme d'hab', absolument magnifique. Sa splendeur sculpturale m'a toujours fait penser à l'insertion d'une beauté latine dans l'univers du western, davantage friand en blondes +/- réservées. Impression renforcé par son apparition parmi les lingères en sueur, telle Silvana Mangano ou Sophia Loren. Et pour ne rien gâcher, elle se révèle une excellente actrice au jeu naturel, sans chichis. 1959 fut une belle année pour Tina Louise qui sera aussi au centre de La chevauchée des bannis, le sombre joyau d'André de Toth.

Aussi rayonnante, sensuelle, digne et classieuse en haillons que vêtue de probité candide (?) et d'un drap de bain, en train d'enfiler de pauvres bas troués ou transformée en (très) belle de l'Ouest. Ce qui donnera une séquence assez géniale :
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Bovard, qui s'en sert comme appât, lui demande de traverser la rue dans sa superbe tenue, assuré que Bishop/Butterfield la reconnaîtra et se trahira. Ce qu'il ignore, c'est qu'elle a auparavant prévenu son ancien amant du subterfuge, lui demandant de faire comme si de rien n'était. Le résultat mêle suspens dramatique et pure comédie. Au passage de cette merveille solaire (qui annonce l'arrivée de Claudia Cardinale dans Il était une fois dans l'Ouest), tous les hommes du bled s'en décrochent la mâchoire, se prennent un poteau ou trébuchent (il y a même un chien qui prévient son maître !). Tous... sauf Bishop qui croise sans un regard la plus belle femme à l'Ouest du Pecos !!! :roll: :D
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Parmi les autres belles idées :

- l'intervention du vieux caporal au début du film après que l'officier ait balayé la proposition tarifée mais non réglementaire de Bovard. J'ai cru d'abord qu'avec son air un peu trop affable, il allait se proposer comme indic et agrémenter son rata avec la récompense de 500$ (somme qui devait dépasser une année de solde)... mais pas du tout. C'est vraiment un chic type qui suggère au marshall d'en parler à l'ex-compagne de l'homme recherché, ayant pitié de cette jeune veuve de soldat qui s'use la santé en bossant comme lavandière ;

- Murphy, le vilain barbu qui s'est pris une rouste par Bishop après avoir lâchement tabassé son pote mexicain...
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...et qui accepte apparemment par vengeance autant qu'appât du gain l'offre de Bovard... se révèle en fait de mèche avec Bishop. Retournement un peu inattendu tout de même de la part d'un personnage présenté comme une grosse brute ;
- le fait (assez marrant) que Bovard tape dans l'oeil des femmes de tous âges de la ville par son allure et l'aura qui l'accompagne... sans jamais y prêter attention. Il est tellement désabusé qu'il ne remarque même pas qu'il commence à attirer Selah. Au lieu de çà, il lui sort le couplet classique sur son passé qui l'a rendu tel qu'il est aujourd'hui : un homme de loi vieillissant et sans illusions. La traitant même paternellement de "petite fille" ;

- et tout simplement le personnage de Selah Jennison, jeune femme déjà bien cabossée par la vie mais qui garde la tête haute. A aucun moment, on ne la surprendra se lamenter sur son sort ni sur le fait que son ex-amant soit désormais marié et bientôt père. Elle l'aidera comme si ils étaient encore ensemble, sans aucune jalousie vis-à-vis de l'épouse (incarnée comme il se doit par une sage et assez commune blonde). Des relations beaucoup plus adultes et modernes que les sempiternelles crises de larmes et autres crêpages de chignons.
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Les points faibles maintenant, car il y en a :

- le personnage-cliché très vite pénible du petit Mexicain, grand pote du suspect, interprété par l'inévitable Pedro Gonzalez Gonzalez (qui sera la même année le Carlos de Rio Bravo). Forcément comique, inoffensif et même ridiculisé quand il tente, fou de rage de descendre Bovard à deux reprises avec une maladresse de gamin, sa carabine semblant trop grande pour lui.**
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- pas de quoi s'étendre sur Jack Lord (Bishop/Butterfield). Bien qu'au centre de l'histoire et malgré son allure cool et sa belle gueule, il manque singulièrement d'épaisseur ;

- le jeune et placide shérif joué par Fess Parker est bien sympathique mais un peu "grand couillon" sur les bords avec sa longue carcasse voûtée et son accent traînant. Sa cour d'ado timide à Tina Louise fait presque pitié mais bien entendu, il saura à la fin s'effacer de bonne grâce et avec un brave sourire quand elle choisira de partir avec son beau héros ténébreux (bien qu'en âge d'être son père)...
"Ne m'en veuillez pas trop !" lui lance Taylor à la fin (dans la VF***). Non, c'est rien, il vient juste de lui piquer Tina Louise sous le nez. A part ça, tout baigne... :mrgreen:
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- Allez... Sans rancune, pal !
- Yep.
A noter ce détail remarqué cent fois mais qui m'amusera toujours : sur les plans larges, l'immense Fess Parker, qui frôlait le double-mètre, domine Taylor d'une bonne tête... mais le cadreur s'arrangent souvent pour qu'ils se retrouvent à égalité les plans rapprochés. Parker courbant l'échine ou alors la vieille astuce du marche-pied comme sur la seconde image où Taylor et Louise sont sur le perron, 20cm au-dessus de Parker, dans la rue. :roll:
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Comme dans la plupart des westerns, Curtiz ménage des pauses de comédie. On a ainsi droit au running-gag de la vieille chouette très émoustillée par Bovard et qui cherche à plusieurs reprises à s'incruster à sa table en minaudant. Par dépit, elle le dénoncera ensuite au shérif telle une grenouille de bénitier sous prétexte qu'il a passé la nuit en loucedé avec Tina Louise. Avant de quitter l'hôtel, outrée, le nez pincé.

(*) Prénom transformé en Stella dans l'atroce VF, sans doute pour éviter la confusion entre Selah et "celle-là" dans les dialogues.

(**) Ce cliché du petit bonhomme rigolo associé à un grand costaud peut, quand il est bien utilisé, donner de formidables résultats, comme le duo Fanfan & Nénesse dans Les grandes gueules d'Enrico... qui n'est rien d'autre qu'un - épatant - western transposé dans la forêt vosgienne.
Mais dans le cas présent, à ranger dans la longue et souvent triste galerie des faire-valoirs exoticomico-ethniques du cinéma hollywoodien, aux côtés de l'ample Mamma à grande gueule, du garçon de train, d'ascenseur, liftier ou bagagiste Noir qui a toujours le mot pour rire, du blanchisseur chinois à nattes tout en courbettes et au sabir incompréhensible quand il s'énerve tout seul, du marchand d'"aïssakrima" italien exubérant et du tailleur, coiffeur, réceptionniste ou maître d'hôtel français précieux (ces derniers pouvant toutefois se révéler très drôles quand il sont interprétés par Eric Blore). :roll:

(***) Dans la VO, Bovard lui dit en fait : "Take care of yourself". Mais pour le pauvre shérif, le résultat est le même.

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Tina entre Fess et Robert... :fiou:
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par Gustave »

L'Institut Lumière accueillera une rétro Curtiz en janvier-février, en lien avec un dossier publié dans Positif, la revue qu'elle édite désormais.

Le détail de la programmation reste à venir, mais quelques films sont déjà confirmés : http://institut-lumiere.org/michael-curtiz.html
feb
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par feb »

Casablanca, Les Aventures de Robin des Bois, Le Roman de Mildred Pierce et Capitaine Blood sur grand écran....putain le rêve :oops:
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par Tommy Udo »

feb a écrit :L'Aigle des Mers, Les Aventures de Robin des Bois, La Charge de la Brigade Légère et Capitaine Blood sur grand écran....putain le rêve :oops:
C'est clair ! :?

Juste pour me faire du mal, je regarderai la prog. complète :mrgreen:
J'imagine bien une soirée Curtiz/Fay Wray avec DOCTOR X - MYSTERY OF THE WAX MUSEUM :oops:
feb
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par feb »

Tommy Udo a écrit :
feb a écrit :L'Aigle des Mers, Les Aventures de Robin des Bois, La Charge de la Brigade Légère et Capitaine Blood sur grand écran....putain le rêve :oops:
C'est clair ! :?
Tu t'es gouré dans ton quote, je n'ai pas listé ces films :mrgreen:
Tommy Udo a écrit :J'imagine bien une soirée Curtiz/Fay Wray avec DOCTOR X - MYSTERY OF THE WAX MUSEUM :oops:
Arf :oops:
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par Tommy Udo »

feb a écrit :Tu t'es gouré dans ton quote, je n'ai pas listé ces films :mrgreen:
Oups... :mrgreen:
Julien Léonard
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par Julien Léonard »

Punaise, j'y vais, c'est certain. :D
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par xave44 »

Gustave a écrit :L'Institut Lumière accueillera une rétro Curtiz en janvier-février, en lien avec un dossier publié dans Positif, la revue qu'elle édite désormais.

Le détail de la programmation reste à venir, mais quelques films sont déjà confirmés : http://institut-lumiere.org/michael-curtiz.html
M'en fous, à Nantes moi j'ai ça :

http://www.lecinematographe.com/Du-12-d ... a3740.html

Et toc ! :mrgreen:
bruce randylan
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par bruce randylan »

La cinémathèque avait dit planché sur le projet il y a quelque temps... Toujours rien d'annoncé donc j'espère que cette rétro va tourner un peu (en espérant ses films les plus rares)
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
Gustave
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par Gustave »

Le programme du cycle (on peut difficilement parler de rétro, au vu du nombre assez limité de films montrés) de l'Institut Lumière est en ligne : http://institut-lumiere.org/michael-curtiz.html

J'aurai le temps de revoir Casablanca et de découvrir Vingt mille Ans sous les Verrous, Mandalay, Agent britannique et Capitaine Blood avant mon déménagement pour Paris (-> enchaînement avec la rétro Hathaway à la Cinémathèque!). Je viendrai réagir ici aux films que j'aurai vus.

Comme vous le constatez, pas d'Aigle des Mers (que j'avais vu mais dont je n'ai que de très vagues souvenirs, et franchement assez mitigés), de Charge de la Brigade légère ni de Doctor X ou de Mystery of the Wax Museum.
Arion
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Re: Michael Curtiz (1886-1962)

Message par Arion »

Pour rappel, dossier Michael Curtiz dans le dernier numéro de Positif :

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Interviewer : "What Brought you to Hollywood?"
John Ford : "A train".
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