Paul Meurisse (1912-1979)

[villag]

Et ne pas oublier un rôle à contre emploi total , celui d' un aventurier baroudeur dans FORTUNE CARRÉE de Bernard Borderie ( 1955) dans lequel il était loin d'être ridicule....

[Supfiction]

Grand plaisir de revoir hier soir Le deuxième souffle sur Arte, suivi d'un documentaire assez intéressant sur Melville, avec des images d'archive que je ne connaissais pas.

Le film a d'ailleurs confirmé un ressenti personnel assez récent : Paul Meurisse est un immense acteur, peut-être un des plus grands acteurs français.
Ca me donne envie de découvrir toute sa filmo, si vous avez des conseils (hormis, bien sûr, Les diaboliques, vu et revu)

Merci à tous les trois.
Je vais en effet donner la priorité à Les monocles et Marie-Octobre (je connais déjà L'armée des ombres et La vérité)

Et n’oublions pas La grosse caisse. Et plein d’autres notamment Le majordome, Bethsabée de Moguy.. etc Il a même joué Napoleon III dans un film avec Yvonne de Carlo.

[cinéfile]

[Supfiction]

Si vous voulez voir Paul Meurisse en Napoleon III par curiosité..

Spoiler (cliquez pour afficher)

Il apparaît à la vingtième minute du film (en italien malheureusement) :

[Ikebukuro]

J'ajouterai une petite merveille d'humour noir: L'assassin connait la musique 1964 de Pierre Chenal. Meurisse est un compositeur dérangé par le bruit de ses voisins qui recherche une veuve avec un joli pavillon de banlieue pour lui permettre de terminer son oeuvre dans le calme....
Evidemment, il devra éliminer quelques géneurs comme Noël Roquevert, (le père de la dame) charpentier à la retraite, qui insiste pour taper avec un marteau toute le journée
Une comédie à l'humour purement british d'après un roman français de la série noire.

EXCELLENT film, très très drôle avec un Noël Roquevert délirant.
J'ai adoré ce petit film, que je vous recommande fortement.

[kiemavel]

J'ajouterai une petite merveille d'humour noir: L'assassin connait la musique 1964 de Pierre Chenal. Meurisse est un compositeur dérangé par le bruit de ses voisins qui recherche une veuve avec un joli pavillon de banlieue pour lui permettre de terminer son oeuvre dans le calme....
Evidemment, il devra éliminer quelques géneurs comme Noël Roquevert, (le père de la dame) charpentier à la retraite, qui insiste pour taper avec un marteau toute le journée
Une comédie à l'humour purement british d'après un roman français de la série noire.

EXCELLENT film, très très drôle avec un Noël Roquevert délirant.
J(ai adoré ce petit film, que je vous recommande fortement.

Tiens, c'est pourtant un registre où je n'attendais pas trop Chenal. Vais voir ça. J'ai le DVD L.C.J (je ne sais pas si ça existe autrement ? )

[Ikebukuro]

"La Dame d'onze heures" de Jean Devaivre, sorti en 1948.

Je suis assez atterré de voir à quel point on peut rater un film avec un casting aussi prestigieux : Paul Meurisse, Pierre Renoir, Jean Tissier, Micheline Francey (jumelle de Danielle Darrieux), Junie Astor ...

Superbe casting mais un film haché, au rythme bizarre, les acteurs n'arrêtent pas de fixer la caméra, il y a plein de fausses pistes... on croirait voir un film du début des années 30, là où les cinéastes essayent d'apprivoiser le parlant mais tournent encore comme au temps du muet.
Néanmoins peut-être aurez vous un autre ressenti mais, à nouveau, ne serait-ce que pour les gueules des second rôles des années 40-50, ce film vaut la peine d'être vu.

[Ikebukuro]

Agnès de rien.
A part Danièle Delorme et sa voix fluette de gamine malade qu'on veut protéger, ce film est pauvre : scénario bancal, personnages inexistants sauf Paul Meurisse, rythme lent, fin bâclée...
Bref, une déception.

[Ikebukuro]

"La grosse caisse" de 1965 : "Un receveur du métro parisien (Bourvil), écrivain amateur mais éconduit par les éditeurs qu'il sollicite, transmet son récit de hold-up à de vrais gangsters, espérant que leur succès fera sa notoriété littéraire."

Un film moyen, au scénario simple avec quelques surprises, MAIS si vous avez aimé le duo Gabin/Bourvil dans "La traversée de Paris", vous adorerez le duo Meurisse/Bourvil.

Meurisse y est parfait dans son rôle fétiche : celui d'un homme type aristocratique, noble, expert dans son domaine, gérant tout de A à Z avec un sens de la répartie savoureux.
Pas mal de seconds rôles comme Daniel Ceccaldi, Roger Carrel, Bernard Fresson... qu'on retrouve avec plaisir.
Bref, on passe un bon moment

"RAPT à la RATP"


Roger Carrel : à oui, il a été acteur à une époque.


Paul Meurisse, toujours aussi impressionnant.


La scène la plus drôle du film... même les comédiens se marrent.

[Supfiction]

Qui l’a vu ?
Au casting, excusez du peu : Paul Meurisse, Mimsy Farmer, Christian Clavier, Jacques Fabbri, Thierry Lhermitte, Michel Bouquet, Bruno Cremer, Michael Lonsdale, Gérard Jugnot, ..

[Rick Blaine]

C'est sympa mais ça vaut surtout par son casting justement.

[Supfiction]

Méfiez-vous mesdames (1963)... chez Gaumont



Techniquement : visionné avant-hier... Image en scope. J'avoue être resté sur ma faim.
Vu l'année, je m'attendais à ce que ce soit "razor-sharp" (du genre Guinguette de 1959)
et... muuf ! C'est "potable" et, de temps en temps, un peu "mou du genou".
Pendant les 20 premières minutes (à vue de nez), on a parfois l'oeil agacé par l'apparition
"en flash" de fines griffures horizontales au niveau d'une des bandes noires du Scope
(au bout d'un moment, j'y suis allé image par image pour voir ce que c'était).
C'est plus ou moins gênant. Après, ça se calme. Et ça revient un petit nombre de fois vers la fin...
Petite présentation du film dans la rubrique "suppléments" (qui commence bizarrement
par évoquer Danielle Darrieux avant de revenir au film !).

Artistiquement : je n'étais absolument pas "in the mood" et j'ai très vite regardé la pendule.
Je pense que je le réévaluerai plus tard. Pour l'anecdote : côté coiffure, DD s'en sort plutôt bien.
Michèle Morgan, elle, a moins de chance ! (bonjour l'affreux casque années 60)

Après avoir visionné la présentation, je me suis dit que c'était l'occasion de revoir
Le Septième ciel (1958), avec DD et Paul Meurisse. Et je l'ai revisionné hier.

Vu hier sur Gaumont Classique dans une bonne copie.
Le film vaut le coup pour son casting féminin royal avec Darrieux, Morgan (tu as raison pour la coiffure façon casque d'or!), Milo et la moins célèbre mais malicieuse Martine Sarcey (excellente doubleuse de Audrey Hepburn, Julie Andrews, Joanne Woodward, Shirley MacLaine, et immédiatement reconnu pour ma part pour son doublage de Virna Lisi dans la Tulipe noire.
Paul Meurisse se fait malmené par toutes ces femmes ce qui va à l'encontre de son image habituelle de dur et cynique.
Darrieux frivole et Morgan glacée sont dans leur registre habituel mais pour Darrieux c'est toujours un plaisir.

[Supfiction]

En passant...

Commandé depuis un moment... le BLU est censé être sorti le 13 mars...




Et les Jivaros m'annoncent qu'ils me l'enverront le 30 septembre !
Ils commencent à me les briser menues.

Connais pas ce titre avec Paul Meurisse et Madame Drucker (qui aurait pu faire une autre carrière). Ça me tente.
C’est de la couleur donc pas moyen de le voir sur Gaumont classique malheureusement.

[Commissaire Juve]

Qui l’a vu ?
Au casting, excusez du peu : Paul Meurisse, Mimsy Farmer, Christian Clavier, Jacques Fabbri, Thierry Lhermitte, Michel Bouquet, Bruno Cremer, Michael Lonsdale, Gérard Jugnot, ..

Ah ben, j'en avais parlé ici.

Les Suspects (1974)... chez Gaumont



Techniquement : image ok. Pas restaurée, mais tout à fait ok (c'est bien simple,
après avoir visionné le BLU Rimini du "Quatrième protocole", j'ai même trouvé
l'image plus "nette" ! ... sans aucun filtre, hein... ils sont tous désactivés,
et sur la platine et sur l'écran).

Artistiquement : j'avais dû le voir une fois à la télé (sur FR3, le 17 février 1986 ?
pas sûr). Quoi qu'il en soit, je me suis évidemment laissé prendre par l'enquête,
jusqu'au moment où j'ai dit "Tu vas voir que c'est..." Et j'avais vu juste (le scénar emploie
une recette à la Agatha Christie). Sinon, j'ai trouvé ce petit "Back to the milieu des 70's"
plutôt sympa (à l'époque, j'étais à l'école primaire). On est plus près du téléfilm que
du grand et beau film de cinéma, mais on s'amuse à revoir toute une bande
de comédiens connus. On a même des caméos de Jugnot (qui a droit à quelques répliques),
Clavier (qu'on aperçoit à peine) et Lhermitte (idem).

D'un point de vue "politiquement correct", j'ai trouvé que la façon de montrer
le personnage de Candice était un peu "too much" et qu'il y avait peut-être
matière à faire hurler les néo-féministes (la caméra nous la montre comme
une "Marie-couche-toi-là" ou "Mince ! tout le camp se l'est faite" ou "elle s'est fait tordre
le cou, mais elle l'a bien cherché, non ?") . Et il faut dire ce qui est : en dehors de
Marie-Hélène Breillat (toute jeune, toute pimpante), c'est un film d'hommes ;
d'hommes qui parlent d'une femme morte. Mais, j'ai peut-être réagi en homme, justement.

EDIT (le lendemain) :

la caméra nous la montre comme une "Marie-couche-toi-là"

Cela dit, à la lumière du dénouement, on peut se dire que...

Spoiler (cliquez pour afficher)

... c'est une façon parmi d'autres de brouiller les pistes.

[Supfiction]

Merd encore de la couleur.. Quand est-ce que Gaumont élargit son offre en ligne au delà du noir et blanc ?
C’est ideal pour ce genre de film à decouvrir et que l’on ne reverra probablement pas deux fois.