King Vidor (1894-1982)
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King Vidor (1894-1982)
EDIT DE LA MODERATION:
N'hésitez pas à consulter les différents topcis consacrés aux films du réalisateur
Texas Rangers (1936) et sa Chronique Classik
Duel au soleil (1946)
Le rebelle (1949) et sa Chronique Classik
L'homme qui n'a pas d'étoile (1955)
la Chronique Classik de Guerre et paix (1956)
le chronique classik de Le Grand passage
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VHS Geoffrey Firmin
Duel au soleil de King Vidor
Non décidément ce film n'arrive pas à me plaire. Vidor n'est pas le maitre d'oeuvre de ce film, c'est l'ombre de Selznick qui pèse assez lourdement dessus. Cette outrance du jeu (Jennifer Jones, je n'adhère pas ce coup ci), ce scénario "roman de gare", ce film mal rythmé comprenant pas mal de longueurs et une mise en scène finalement assez sage à l'arrivée font de ce film un grand moment d'ennui en ce qui me concerne.
Bien sur on trouve ici et là des éclairs de génie, des plans somptueux ou étonnant et un final superbe mais l'ensemble me laisse assez froid et puis Dimitri Tiomkin nous livre l'une de ses partitions les plus insupportables je trouve qui phagocyte trop souvent le film et pourtant le lyrisme au cinéma j'adhère en principe mais pas ici
N'hésitez pas à consulter les différents topcis consacrés aux films du réalisateur
Texas Rangers (1936) et sa Chronique Classik
Duel au soleil (1946)
Le rebelle (1949) et sa Chronique Classik
L'homme qui n'a pas d'étoile (1955)
la Chronique Classik de Guerre et paix (1956)
le chronique classik de Le Grand passage
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Duel au soleil de King Vidor
Non décidément ce film n'arrive pas à me plaire. Vidor n'est pas le maitre d'oeuvre de ce film, c'est l'ombre de Selznick qui pèse assez lourdement dessus. Cette outrance du jeu (Jennifer Jones, je n'adhère pas ce coup ci), ce scénario "roman de gare", ce film mal rythmé comprenant pas mal de longueurs et une mise en scène finalement assez sage à l'arrivée font de ce film un grand moment d'ennui en ce qui me concerne.
Bien sur on trouve ici et là des éclairs de génie, des plans somptueux ou étonnant et un final superbe mais l'ensemble me laisse assez froid et puis Dimitri Tiomkin nous livre l'une de ses partitions les plus insupportables je trouve qui phagocyte trop souvent le film et pourtant le lyrisme au cinéma j'adhère en principe mais pas ici
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On ne parle pas assez de King Vidor. Quelle injustice !Geoffrey Firmin a écrit :Le rebelle de Vidor 10/10
Cétait soirée Patricia Neal apparament, ça faisait un moment que je ne l'avais vu.Toujours aussi enthousiasment.La rencontre entre Gary Cooper et Patricia Neal= Quel échange de regard.
Il fut pourtant un maître du muet américain et plus tard un très grand cinéaste au sens visuel aiguisé. Il a inspiré pas mal de réalisateurs.
Contemplez, braves gens ( ) :
La foule
La grande parade
Hallelujah
Notre pain quotidien (du Capra avant l'heure)
Stella Dallas
Duel au soleil
Le rebelle
L'homme qui n'a pas d'étoile
La furie du désir
Guerre et Paix (une mauvaise réputation qui tient surtout à la renommée du livre)
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Le genre de films qui laisse aisément à croire à la supériorité de la littérature sur le cinéma. Tout le contraire de la Nuit du chasseur: je ne sais pas si je vous en ai déjà parlé, c'est un film américain des années 1950 sur lequel un jeune freluquet du forum essaie de disserter depuis bientôt une année. Passe ton bac d'abord, comme dirait l'autre.
Night of the hunter forever
Caramba, encore raté.