Richard Fleischer (1916-2006)
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Bien alléchant le texte de Philippe en tout cas. Je mets le DVD dans ma wishlist.
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
J'ai réévalué le film en le redécouvrant. J'avais souvenir d'un film moins passionnant de bout en bout. J'ai été surpris en le revoyant de constater qu'il était aussi intéressant sur toute sa longueur, sans véritable temps mort.Jeremy Fox a écrit :Bien alléchant le texte de Philippe en tout cas. Je mets le DVD dans ma wishlist.
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Et bien moi de même. Bravo Rick.Jeremy Fox a écrit :Bien alléchant le texte de Philippe en tout cas. Je mets le DVD dans ma wishlist.
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Ca donne envie de le revoir (surtout que je l'ai acheté dans la dernière promo Amazon à vil prix)Jeremy Fox a écrit :Stéphane Beauchet teste aujourd'hui le Bluray de Fantastic Voyage
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Et moi de lui redonner une chance après pas mal d'ennui aux précédentes visions.hellrick a écrit :Ca donne envie de le revoir (surtout que je l'ai acheté dans la dernière promo Amazon à vil prix)Jeremy Fox a écrit :Stéphane Beauchet teste aujourd'hui le Bluray de Fantastic Voyage
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Un Fleischer que je n'ai jamais vue.
Je vais peut-être upgrader avant de le voir, tant le BR semble supérieur au DVD.
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Un film très sympathique toutefois lorsque je l'ai revu dernièrement, j'ai été amusée par le côté comédiens qui se penchent pour faire croire que le vaisseau tangue ou a des a-coups ! Maintenant le film est quand même sacrément bien fait et c'est un de mes must côté science fiction !
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
ce soir, sur Cine famiz, Le prince et le pauvre, je ne sais pas ce que ça vaut mais vu que c'est un film de sa pire periode (sa fin de carriere), j'avoue avoir un peu peur d'y jeter un oeil
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Il ne vaut mieux pas, sauf si tu aimes te faire mal.Jack Carter a écrit :ce soir, sur Cine famiz, Le prince et le pauvre, je ne sais pas ce que ça vaut mais vu que c'est un film de sa pire periode (sa fin de carriere), j'avoue avoir un peu peur d'y jeter un oeil
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Le film ne mérite pas d'être "navetisé" de la sorte. Je crois que c'est un bon divertissement pourvu d'une photo et d'une direction artistique tenues (c'est une production Salkind donc on pense aux TROIS MOUSQUETAIRES de Lester) avec une musique envahissante, certes. Mais il y a la manière Fleischer : cette façon particulière de traiter un thème, un pan d'imaginaire comme s' il s'agissait d'un sujet scientifique à scruter au microscope. Il y a l'action et l'aventure (bonnes scènes de pugilat) et le recul analytique froid mais pas hautain. Fleischer, quoi..Hitchcock a écrit :Il ne vaut mieux pas, sauf si tu aimes te faire mal.Jack Carter a écrit :ce soir, sur Cine famiz, Le prince et le pauvre, je ne sais pas ce que ça vaut mais vu que c'est un film de sa pire periode (sa fin de carriere), j'avoue avoir un peu peur d'y jeter un oeil
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Peut-être mais j'ai toujours trouvé ce film d'une médiocrité assez consternante
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
à noter pour ceux qui voudraient l'enregistrer que le film passe en VO et non en VM comme indiqué un peu partout.
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Tu devrais adorer ASHANTI et AMITYVILLE 3D !!:mrgreen:Hitchcock a écrit :Peut-être mais j'ai toujours trouvé ce film d'une médiocrité assez consternante
Plus sérieusement, la mauvaise période de Fleischer est peut-être à réévaluer avec bienveillance. D'abord, elle commence quand ? Si c'est les années 70, c'est vachement discutable ! (SOLEIL VERT, THE NEW CENTURIONS, THE LAST RUN sont de très bons films, MANDINGO a une certaine réputation). Sur la fin, Fleischer cachetonnais mais Huston aussi (PHOEBIA, ESPACE TO VICTORY) : c'est toute une époque. Mais les Schwarzennegger ne sont pas irregardables (humour et dynamisme de CONAN LE DESTRUCTEUR, raffinement de l'image et des décors de RED SONJA). ASHANTI est un navet (un vrai de vrai), mais pas dénué d'un certain métier et, surtout, du talent visuel de Fleischer. Le bilan n'est pas si négatif concernant la fin de carrière. Mais il faut dire que je n'ai jamais fait de Fleischer un immense cinéaste : son grand talent suffisant à mon bonheur, je tombe moins de haut que d'autres à la vue des divertissements impersonnels (et parfois insauvables) de la dernière ligne droite.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Richard Fleischer (1916-2006)
Le Génie du mal (Compulsion) - 1959
L'histoire de deux jeunes adultes pensant avoir commis le crime parfait dans le seul but de prouver leur intelligence supérieure. Ca ressemble pas mal au postulat de départ de La Corde ; et pour cause, les deux films partent du même fait divers. Mais le film de Fleischer s'avère au final bien plus fascinant. Il faut dire que le duo Bradford Dillman/Dean Stockwell est parfait et qu'ils font froids dans le dos. La mise en scène est étonnante de maitrise, le scénario est constamment captivant et Orson Welles trouve un très beau rôle : sa plaidoirie contre la peine de mort est inoubliable. Une histoire assez vertigineuse, une réflexion apssionnante sur le bien et le mal en même temps qu'un film profondément humain (et sur ce troisième point, je ne m'y attendais pas du tout), le tout parfaitement harmonieux. La décennie 50 fut vraiment formidable pour Richard Fleischer. Maintenant que je l'ai vu, je m'en vais maintenant relire le très bon texte de Rick.
L'histoire de deux jeunes adultes pensant avoir commis le crime parfait dans le seul but de prouver leur intelligence supérieure. Ca ressemble pas mal au postulat de départ de La Corde ; et pour cause, les deux films partent du même fait divers. Mais le film de Fleischer s'avère au final bien plus fascinant. Il faut dire que le duo Bradford Dillman/Dean Stockwell est parfait et qu'ils font froids dans le dos. La mise en scène est étonnante de maitrise, le scénario est constamment captivant et Orson Welles trouve un très beau rôle : sa plaidoirie contre la peine de mort est inoubliable. Une histoire assez vertigineuse, une réflexion apssionnante sur le bien et le mal en même temps qu'un film profondément humain (et sur ce troisième point, je ne m'y attendais pas du tout), le tout parfaitement harmonieux. La décennie 50 fut vraiment formidable pour Richard Fleischer. Maintenant que je l'ai vu, je m'en vais maintenant relire le très bon texte de Rick.