Mary Poppins (Robert Stevenson - 1964)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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ingoruptibles
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Re: Mary Poppins (Robert Stevenson - 1964)

Message par ingoruptibles »

Revu pendant les fêtes et toujours aussi somptueux. Beau, nostalgique, poétique, cruel parfois, un vrai régal.
Et je viens d'apprendre qu'une suite verra le jour fin 2018 : http://braindamaged.fr/31/12/2017/mary- ... e-du-film/
Curieux de voir ce que ça donnera (mais pas spécialement optimiste) :roll:
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Roilo Pintu
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Re: Mary Poppins (Robert Stevenson - 1965)

Message par Roilo Pintu »

Revu également pendant les fêtes avec ma grande. Ce film conserve toute sa magie, sa bonne humeur, sa poésie, toujours aussi touché par Mr Banks qui déambule dans un Londres nocturne et vide, et tout aussi déchirant de voir Mary Poppins quitter les Banks.
Quand à la suite / remake on peut malheureusement déjà savoir à quoi s'attendre, le remake des scènes cultes noyées dans les CGI
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Roilo Pintu
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Re: Mary Poppins (Robert Stevenson - 1964)

Message par Roilo Pintu »

Prévu pour Novembre 2018 à l'occasion de la sortie du prochain film de Mary Poppins, sortie de l'ouvrage Practically Poppins In Every Way - a Magical Carpetbag of Countless Wonders. Un livre qui doit revenir sur le personnage au travers des livres, du film, spectacle.
Vivement!
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Roilo Pintu
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Re: Mary Poppins (Robert Stevenson - 1964)

Message par Roilo Pintu »

Le retour de Mary Poppins - Rob Marshall (2018)
Malgré le charme évident d’Emily Blunt dans sa reprise du personnage de Mary Poppins (un brin trop sophistiquée quand même), Le retour de Mary Poppins reste écrasé par son cahier des charges, son absence de prise de risques (il faut suivre l’original scène par scène, chansons par chansons…). Une paresse qui rend le film très longuet, et ce ne sont pas les personnages qui le sauveront, peu attachant (ici les enfants ne sont plus des enfants, ils sont même parfois plus mature que leur père) ou manquant de charisme (le nouveau Burt / Lin-Manuel Miranda). Rob Marshall confirme ses limites, aucune recherche dans la mise en scène et ses chorégraphies , cela reste statique et « plan-plan » (l’impression de regarder la TV ; rien de novateur comme son aîné) même si le travail de certains départements restent évident (costumes, décors).
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