Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone - 1968)
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Ceci dit, oui, Harmonica joue un thème précis, très bref, assez dissonnant, pas très mélodique ... pas étonnant donc quand on connait son origine.
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?
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La légende dit que Leone serrait méchamment la gorge du joueur d'harmonica lors de la séance d'enregistrement.harry callahan a écrit :Ceci dit, oui, Harmonica joue un thème précis, très bref, assez dissonnant, pas très mélodique ... pas étonnant donc quand on connait son origine.
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Il était une fois dans l'Ouest
whaou! J'ai encore plus apprécié que la première fois. Sur le papier, ça s'annonçait comme un pastiche d'un des genres phares de l'âge d'or hollywoodien. Mais quand c'est un des grands réalisateurs européens des années 60 qui s'en occupe, ça donne un des sommets du genre, tout en étant complètement à part. L'histoire de vengeance est élevée au rang de mythe, les personnages sont dans l'ensemble moins creusés que dans les 2 autres , mais ils n'en sont pas moins beaux. L'Harmonica, l'aventurier solitaire qui "a beaucoup de choses à raconter", la beauté de Claudia Cardinale(sa scène avec Frank est vraiment belle, c'en est presque gênant), le charisme de Henry Fonda pour un personnage diabolique mais d'un autre temps...ils font qu'on n'a guère envie que le film se termine. Le rythme est lent, on profite de cet univers, sans qu'il y ait pour autant des temps morts(ça passe trop vite!), le ton mélancolique et élégiaque envoutant, les scènes d'action à 2 à l'heure fascinantes...et on pourrait encore s'attarder sur les scènes et répliques cultes. Bref, vu l'heure c'est un peu confus mais Leone et Morricone font un opéra envoutant et un western unique qui n'a certainement pas à rougir de ses illustres prédécesseurs...un film unique tout simplement, un chef-d'oeuvre. Juste un défaut: C'est trop court, on aimerait bien que ça dure 2 fois plus longtemps
PS: Sur grand écran ça doit tuer, vivement qu'ils le ressortent(et en VF please...pas en italien!).
whaou! J'ai encore plus apprécié que la première fois. Sur le papier, ça s'annonçait comme un pastiche d'un des genres phares de l'âge d'or hollywoodien. Mais quand c'est un des grands réalisateurs européens des années 60 qui s'en occupe, ça donne un des sommets du genre, tout en étant complètement à part. L'histoire de vengeance est élevée au rang de mythe, les personnages sont dans l'ensemble moins creusés que dans les 2 autres , mais ils n'en sont pas moins beaux. L'Harmonica, l'aventurier solitaire qui "a beaucoup de choses à raconter", la beauté de Claudia Cardinale(sa scène avec Frank est vraiment belle, c'en est presque gênant), le charisme de Henry Fonda pour un personnage diabolique mais d'un autre temps...ils font qu'on n'a guère envie que le film se termine. Le rythme est lent, on profite de cet univers, sans qu'il y ait pour autant des temps morts(ça passe trop vite!), le ton mélancolique et élégiaque envoutant, les scènes d'action à 2 à l'heure fascinantes...et on pourrait encore s'attarder sur les scènes et répliques cultes. Bref, vu l'heure c'est un peu confus mais Leone et Morricone font un opéra envoutant et un western unique qui n'a certainement pas à rougir de ses illustres prédécesseurs...un film unique tout simplement, un chef-d'oeuvre. Juste un défaut: C'est trop court, on aimerait bien que ça dure 2 fois plus longtemps
PS: Sur grand écran ça doit tuer, vivement qu'ils le ressortent(et en VF please...pas en italien!).
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Re: Notez les films naphtas - Janvier 2010
Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone, 1968)
Je reconsidère à la hausse ce que je tenais déjà pour un chef-d'oeuvre Lors de ma première vision, je me souviens que j'avais été légèrement ennuyé par son rythme indolent... à la revoyure, je ne comprends vraiment pas comment j'ai pu faire pour ne pas être complètement fasciné par ce spectacle. Chaque seconde de ce western crépusculaire, à la lisière du fantastique, et peuplé de figures fantômatiques qui semblent s'enlasser dans une lente valse de mort, est absolument inoubliable. Mythique !
Je reconsidère à la hausse ce que je tenais déjà pour un chef-d'oeuvre Lors de ma première vision, je me souviens que j'avais été légèrement ennuyé par son rythme indolent... à la revoyure, je ne comprends vraiment pas comment j'ai pu faire pour ne pas être complètement fasciné par ce spectacle. Chaque seconde de ce western crépusculaire, à la lisière du fantastique, et peuplé de figures fantômatiques qui semblent s'enlasser dans une lente valse de mort, est absolument inoubliable. Mythique !
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone, 1968)
ATTENTION SPOILER
Grand débat au bureau sur la scene ou Charles Bronson, enfant , porte son frère pendu, sur ses épaules.
J'ai l'impression que le frère pendu, apres avoir vociféré apres Henri Fonda, pousse de lui meme son petit frere avec les pieds, pour pas donner trop de plaisir à HF et pour pas que son petit frere ne supporte le poid de sa mort.
Est ce comme cela que vous avez interprété cette scene ?
merci pour votre point de vue
Grand débat au bureau sur la scene ou Charles Bronson, enfant , porte son frère pendu, sur ses épaules.
J'ai l'impression que le frère pendu, apres avoir vociféré apres Henri Fonda, pousse de lui meme son petit frere avec les pieds, pour pas donner trop de plaisir à HF et pour pas que son petit frere ne supporte le poid de sa mort.
Est ce comme cela que vous avez interprété cette scene ?
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone, 1968)
Bien sûr. Le frère pendu en avertit même son petit frère en lui disant quelque chose (que l'on n'entend pas) juste avant de le pousser avec ses pieds.Lt John Dunbar a écrit :J'ai l'impression que le frère pendu, apres avoir vociféré apres Henri Fonda, pousse de lui meme son petit frere avec les pieds, pour pas donner trop de plaisir à HF et pour pas que son petit frere ne supporte le poid de sa mort.
Est ce comme cela que vous avez interprété cette scene ?
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone, 1968)
Je l'ai toujours vu ainsi, en complémentarité avec l'épuisement physique.Lt John Dunbar a écrit :ATTENTION SPOILER
Grand débat au bureau sur la scene ou Charles Bronson, enfant , porte son frère pendu, sur ses épaules.
J'ai l'impression que le frère pendu, apres avoir vociféré apres Henri Fonda, pousse de lui meme son petit frere avec les pieds, pour pas donner trop de plaisir à HF et pour pas que son petit frere ne supporte le poid de sa mort.
Est ce comme cela que vous avez interprété cette scene ?
merci pour votre point de vue
Sinon pour le film en question : un chef-d'oeuvre absolu, forcément !
Mêler la culture italienne, à savoir le culte opératique, le lyrisme baroque, avec un genre totalement américain, voici la victoire de Sergio Leone.
Retraçant la dualité intrinsèque du vieil Ouest contre l'Amérique moderne, le film de Leone prend son temps avec une maestria, une énergie et une contemplation rarissimes.
Le film est pure mise en scène et Ennio Morricone par sa somptueuse musique est un véritable scénariste sonore !
Tous les acteurs sont transcendentaux, Henry Fonda, bien évidemment, mais Jason Robards, Bronson et la sublimissime Cardinale, renversante de beauté !
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone - 1968)
Ressortie mercredi dernier au Grand Action dans une copie quasi nickelle.
Peut être pas mon Leone favori(quoique...)mais sans aucun doute celui qui caractérise le plus son cinéma.Difficile aujourd'hui de voir un film aussi parfaitement réalisé et dont chaque détail ne fût pas minimisé.
En plus d'avoir la plus belle femme du monde(et pour toujours Claudia!),Harmonica et Frank sont rentrés dans le panthéon des antagonistes les plus pêchus (quelle idée quand même d'embaucher Fonda dans son 1er rôle de méchant!)
Tout dans cette oeuvre est monumentale et le rythme,qui en rebutera plus d'un,contribue avec excellence à la sensation irréelle d'assister à l'une des plus saisissante histoire de vengeance de l'histoire du cinéma.
Donc pour celles et ceux qui ne seraient pas partis en vacances,je vous engage vivement à aller voir ou revoir" Il était une fois dans l'ouest " qui se joue au également au Majestic à Lille.
Pour conclure je considère l'ultime western de Leone comme l'un des 5 meilleurs films les mieux réalisés de toute l'histoire,c'est presque une nécessité de le voir en salle!
(je considérais ne pas l'avoir vraiment vu auparavant malgré l'excellente copie du dvd ou lors des diffusions télé.)
Peut être pas mon Leone favori(quoique...)mais sans aucun doute celui qui caractérise le plus son cinéma.Difficile aujourd'hui de voir un film aussi parfaitement réalisé et dont chaque détail ne fût pas minimisé.
En plus d'avoir la plus belle femme du monde(et pour toujours Claudia!),Harmonica et Frank sont rentrés dans le panthéon des antagonistes les plus pêchus (quelle idée quand même d'embaucher Fonda dans son 1er rôle de méchant!)
Tout dans cette oeuvre est monumentale et le rythme,qui en rebutera plus d'un,contribue avec excellence à la sensation irréelle d'assister à l'une des plus saisissante histoire de vengeance de l'histoire du cinéma.
Donc pour celles et ceux qui ne seraient pas partis en vacances,je vous engage vivement à aller voir ou revoir" Il était une fois dans l'ouest " qui se joue au également au Majestic à Lille.
Pour conclure je considère l'ultime western de Leone comme l'un des 5 meilleurs films les mieux réalisés de toute l'histoire,c'est presque une nécessité de le voir en salle!
(je considérais ne pas l'avoir vraiment vu auparavant malgré l'excellente copie du dvd ou lors des diffusions télé.)
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone - 1968)
Il était une fois dans l'Ouest fait partie des films que je tenais à redécouvrir sur grand écran. C'est désormais chose faite. Et les mots me manquent...
Que dire à part que presque tout est parfait?
Essayons quand même. Déjà, dans quel autre film peut-on trouver autant de classe réunie? Charles Bronson qui joue de l'harmonica dans un coin sombre d'une taverne mal famée, Henry Fonda et son sourire démoniaque inoubliable, et tous ces cowboys en général, fantomatiques, qui chantent leur chant du cygne? La caméra prima donna de Leone émerveille à de nombreuses reprises. Parmi elles le fameux plan de l'arrivée de Claudia Cardinale dans la ville, plan qui résume à lui tout seul par l'image, le mouvement, et la musique, l'idée d'"Il était une fois". Et bien sûr le duel final absolument anthologique, grandiloquent et opératique, sorte d'apogée du maniérisme léonien. Pour cet opéra crépusculaire, Leone ne cherche pas la subtilité. Les personnages sont des archétypes, dont la psychologie se résume à quelques phrases et un thème musical. Mais pourtant, ils ont tous un de ces charismes! Ils sont la classe incarnée, et on se prend parfois à rêver comme un gosse de leur ressembler. Franck, Cheyenne, Harmonica, Jill, sont autant de figures, plus que des personnages (?) que l'on n'oubliera jamais.
Mais par dessus tout, ce qui fait de cet opéra crépusculaire, vibrant hommage à tout un univers cinématographique révolu, une oeuvre si belle, est plus que tout le plaisir qu'a Sergio Leone à raconter une histoire.
Pour ceux qui n'ont jamais vu ce film et qui ont un cinéma près de chez eux qui le diffuse, courez! Comme 2001 ou Lawrence d'Arabie, il prend toute son ampleur sur grand écran. Si vous l'avez déjà vu mais uniquement sur votre télé, courez aussi! C'est sûrement le meilleur film en salles en ce moment
Que dire à part que presque tout est parfait?
Essayons quand même. Déjà, dans quel autre film peut-on trouver autant de classe réunie? Charles Bronson qui joue de l'harmonica dans un coin sombre d'une taverne mal famée, Henry Fonda et son sourire démoniaque inoubliable, et tous ces cowboys en général, fantomatiques, qui chantent leur chant du cygne? La caméra prima donna de Leone émerveille à de nombreuses reprises. Parmi elles le fameux plan de l'arrivée de Claudia Cardinale dans la ville, plan qui résume à lui tout seul par l'image, le mouvement, et la musique, l'idée d'"Il était une fois". Et bien sûr le duel final absolument anthologique, grandiloquent et opératique, sorte d'apogée du maniérisme léonien. Pour cet opéra crépusculaire, Leone ne cherche pas la subtilité. Les personnages sont des archétypes, dont la psychologie se résume à quelques phrases et un thème musical. Mais pourtant, ils ont tous un de ces charismes! Ils sont la classe incarnée, et on se prend parfois à rêver comme un gosse de leur ressembler. Franck, Cheyenne, Harmonica, Jill, sont autant de figures, plus que des personnages (?) que l'on n'oubliera jamais.
Mais par dessus tout, ce qui fait de cet opéra crépusculaire, vibrant hommage à tout un univers cinématographique révolu, une oeuvre si belle, est plus que tout le plaisir qu'a Sergio Leone à raconter une histoire.
Pour ceux qui n'ont jamais vu ce film et qui ont un cinéma près de chez eux qui le diffuse, courez! Comme 2001 ou Lawrence d'Arabie, il prend toute son ampleur sur grand écran. Si vous l'avez déjà vu mais uniquement sur votre télé, courez aussi! C'est sûrement le meilleur film en salles en ce moment
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone - 1968)
J'aimerais bien... malheureusement, c'est beaucoup trop loin pour moi.
Top 20 actuel
http://www.shompy.com/someone1600/l10080_frfr.html
Mes dvd
http://someone1600.dvdaf.com/
Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone - 1968)
Un summum du Western bourré d'inventivité, de mouvements de caméra à en écarquiller les yeux, des scènes cultes comme l'apparition de l'Harmonica à la gare, l'intrusion gracieuse de Claudia Cardinale qui sort du train, l'introduction qui fourmille de sons (claquements de portes, grincements, gouttes d'eau qui tombent sur le sol) propices à asseoir une ambiance fantasmée par les amoureux du genre... Des plans d'une durée délirante qui nous laissent admirer mille et un détails, nous laissent déguster le sens de la temporalité du réalisateur où tout est pensé, chronométré, millimétré nous donnant à vivre un ballet envoûtant dans lequel rôde la mort à chaque cm2 du cadre. C'est l'un des sommets de sa carrière, un adieu qui symbolise son amour pour les Westerns en signant une oeuvre définitive, tellement concentrée de génie qu'il faudra des centaines de lecteurs différentes pour retirer la substantifique moelle de chaque plan. Et la musique...
Un film qui informe également, puisque le scénario nous permet d'être les spectateurs d'un révolution qui allait bouleversé un pays : le chemin de fer. Grâce à cet électrochoc, L'Amérique se dévoile aux yeux de l'homme un gigantesque territoire qui ne demande qu'à être exploré. Petit à petit, l'individu s'enfonce dans sa relativité vu que tous les lieux doivent êtres raccordés entre eux. Un chantier de la communication et des échanges commerciaux entre dans ses balbutiements.
A égalité avec ........ En Amérique.
Un film qui informe également, puisque le scénario nous permet d'être les spectateurs d'un révolution qui allait bouleversé un pays : le chemin de fer. Grâce à cet électrochoc, L'Amérique se dévoile aux yeux de l'homme un gigantesque territoire qui ne demande qu'à être exploré. Petit à petit, l'individu s'enfonce dans sa relativité vu que tous les lieux doivent êtres raccordés entre eux. Un chantier de la communication et des échanges commerciaux entre dans ses balbutiements.
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Some day we’ll fall down and weep and we’ll understand it all. All things.
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone - 1968)
C'est vrai qu'il fallait oser parce que Fonda avait essentiellement incarné des héros positifs et des figures marmoréennes de la psyché américaine mais Leone avait du deviner le potentiel de celui qui avait déjà joué quelques rôles antipathiques ou ambigus notables comme celui du va-t'en-guerre et pète-sec colonel Thursday du Massacre de Fort Apache ou du tueur à gages de L'homme aux colts d'or.dutch scheafer a écrit :Harmonica et Frank sont rentrés dans le panthéon des antagonistes les plus pêchus (quelle idée quand même d'embaucher Fonda dans son 1er rôle de méchant!)
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
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- Euphémiste
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone - 1968)
Il fallait peut-etre oser... mais quel role tout de meme. Fonda est fantastique dans ce film.
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Re: Il était une fois dans l'Ouest (Sergio Leone - 1968)
Dans ce "making-of" du film, qui rassemble de nombreuses citations (Leone, Fonda, Cardinale, Bertolucci, Argento, etc.) je développe entre autres le contre-emploi total d'Henry Fonda dont il a été question ici dernièrement (avec interview de l'acteur à l'appui). Voilà le fruit d'un long travail sur le film que je considère comme le plus beau jamais réalisé :
http://www.courte-focale.fr/cinema/maki ... re-partie/
http://www.courte-focale.fr/cinema/maki ... re-partie/