Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Je te conseille aussi The Adventures of Robin Hood !
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Sans hésiter une seconde, les 2 films cités par Rick Sans oublier Capitaine Blood, La charge de la brigade légère ainsi que Robin des Bois...et je rajouterais même Masques de ciresemmelweis a écrit :Quels autres films de Michael Curtiz me conseilleriez-vous après Casablanca ?
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Une petite citation pour son Passage To Marseille qui se confond avec Casablanca de par son casting (Claude Rains, Peter Lorre, Bogie et Max Steiner) et le cadre de la WW2.
Le final des Angels with Dirty Faces te hantera toute ta vie.
Yankee Doodle Dandy, un des mes musicals préférés.
J'aime également beaucoup la série des mélos Four Daughters, Four Wives et Four Mothers (celui ci réalisé par William Keighley) (et le semblable Daughters Courageous) dont le mélange cocon familial, ville de province et obstacles douloureux me donne toujours envie de chialer (à la Meet Me In St. Louis, Little Women ou du Douglas Sirk).
Robin Hood (l'un des plus beaux films en technicolor), Mildred Pierce (si j'ouvre un restaurant, je l'appelle Mildred's)... Il faut tout voir^^.
Je ne connais ni le Curtiz des débuts ni celui des années 50.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Et si jamais Doris Day ne te défrise pas, les comédies musicales de Curtiz avec l'actrice sont vraiment plaisantes.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
C'est d'ailleurs les seuls points sur lesquels tu peux confondre les 2 filmsawopbopaloobopalopbamboom a écrit :Une petite citation pour son Passage To Marseille qui se confond avec Casablanca de par son casting (Claude Rains, Peter Lorre, Bogie et Max Steiner) et le cadre de la WW2.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Bon j'ai l'embarras du choix
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
idemfeb a écrit :C'est d'ailleurs les seuls points sur lesquels tu peux confondre les 2 filmsawopbopaloobopalopbamboom a écrit :Une petite citation pour son Passage To Marseille qui se confond avec Casablanca de par son casting (Claude Rains, Peter Lorre, Bogie et Max Steiner) et le cadre de la WW2.
J'ai d'ailleurs du mal a comprendre que Passage to Marseille soit aussi bien noté sur Imdb ...
Il y a beau avoir Bogart, je l'ai trouvé très dispensable!
En revanche, dans les 50'; j'aime bcp The Egyptian & Les Comancheros
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Passage to Marseille est plastiquement magnifique, un bonheur pour la rétine... Curtiz est toujours à ce moment-là ce grand metteur en scène capable de tirer le meilleur d'un scénario, y compris donc visuellement. Le problème, c'est que le scénario n'est pas terrible, que les acteurs sont parfois obligés de délivrer des tirades assez lourdes, et que le discours d'ensemble n'est pas très fin. D'où un film très imparfait, mais tout de même très intéressant.
Pour citer quelques Curtiz, je suivrais mes camarades sur pas mal de titres. Il a réalisé une certaine somme de chefs-d'oeuvre. Virginia city, L'aigle des mers, Les aventures de Robin des bois, Le roman de Mildred Pierce...
Mais pour ne pas revenir sur ce qui a déjà été cité, j'en donnerais deux, qui me semblent majeurs : Black fury (exceptionnel !) et surtout The sea wolf, peut-être pour moi son plus beau. Un film d'une densité incroyable. Il existe notamment en DVD zone 2 espagnol, dans une belle copie Warner, mais sans sous-titres par contre. Sinon, il est déjà passé sur TCM, dans une copie assez belle d'ailleurs.
Concernant le Curtiz des années 50, personnellement j'adore Trouble along the way (très beau film avec le Duke, façon La vie est belle de Capra ou On murmure dans la ville de Mankiewicz... un film qui fait du bien quoi) et La cuisine des anges (superbe trio d'acteurs au passage).
Mais Jeremy a raison : Casablanca demeure l'un de ses plus grands films. On dit souvent que c'est le film de Hal Wallis, mais il ne faudrait pas oublier la marque et l’extrême maîtrise d'un Curtiz au sommet.
Pour citer quelques Curtiz, je suivrais mes camarades sur pas mal de titres. Il a réalisé une certaine somme de chefs-d'oeuvre. Virginia city, L'aigle des mers, Les aventures de Robin des bois, Le roman de Mildred Pierce...
Mais pour ne pas revenir sur ce qui a déjà été cité, j'en donnerais deux, qui me semblent majeurs : Black fury (exceptionnel !) et surtout The sea wolf, peut-être pour moi son plus beau. Un film d'une densité incroyable. Il existe notamment en DVD zone 2 espagnol, dans une belle copie Warner, mais sans sous-titres par contre. Sinon, il est déjà passé sur TCM, dans une copie assez belle d'ailleurs.
Concernant le Curtiz des années 50, personnellement j'adore Trouble along the way (très beau film avec le Duke, façon La vie est belle de Capra ou On murmure dans la ville de Mankiewicz... un film qui fait du bien quoi) et La cuisine des anges (superbe trio d'acteurs au passage).
Mais Jeremy a raison : Casablanca demeure l'un de ses plus grands films. On dit souvent que c'est le film de Hal Wallis, mais il ne faudrait pas oublier la marque et l’extrême maîtrise d'un Curtiz au sommet.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Un film de Curtiz des années 40, c'est forcement maîtrisé sur le plan de la mise en scène ... mais le scénario est médiocre; donc autant découvrir un autre film du réal ... celui ci, c'est vraiment pour les "completistes" de Curtiz & Bogart!Julien Léonard a écrit :Passage to Marseille est plastiquement magnifique, un bonheur pour la rétine... Curtiz est toujours à ce moment-là ce grand metteur en scène capable de tirer le meilleur d'un scénario, y compris donc visuellement. Le problème, c'est que le scénario n'est pas terrible, que les acteurs sont parfois obligés de délivrer des tirades assez lourdes, et que le discours d'ensemble n'est pas très fin. D'où un film très imparfait, mais tout de même très intéressant.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Un film mineur certes, mais tout de même extrêmement divertissant! Toutefois, effectivement, je ne le conseillerais pas en première approche, il y a bien mieux.hansolo a écrit :Un film de Curtiz des années 40, c'est forcement maîtrisé sur le plan de la mise en scène ... mais le scénario est médiocre; donc autant découvrir un autre film du réal ... celui ci, c'est vraiment pour les "completistes" de Curtiz & Bogart!Julien Léonard a écrit :Passage to Marseille est plastiquement magnifique, un bonheur pour la rétine... Curtiz est toujours à ce moment-là ce grand metteur en scène capable de tirer le meilleur d'un scénario, y compris donc visuellement. Le problème, c'est que le scénario n'est pas terrible, que les acteurs sont parfois obligés de délivrer des tirades assez lourdes, et que le discours d'ensemble n'est pas très fin. D'où un film très imparfait, mais tout de même très intéressant.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
C'est tout aussi valable pour les années 30 et 50, à mon humble avis.hansolo a écrit :Un film de Curtiz des années 40, c'est forcement maîtrisé sur le plan de la mise en scène ...Julien Léonard a écrit :Passage to Marseille est plastiquement magnifique, un bonheur pour la rétine... Curtiz est toujours à ce moment-là ce grand metteur en scène capable de tirer le meilleur d'un scénario, y compris donc visuellement. Le problème, c'est que le scénario n'est pas terrible, que les acteurs sont parfois obligés de délivrer des tirades assez lourdes, et que le discours d'ensemble n'est pas très fin. D'où un film très imparfait, mais tout de même très intéressant.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Je ne sais pas si vous savez mais Ingrid Bergman était un peu plus grande (1,75m soit une grande taille pour l'époque) que Bogart (1,73m).
Donc Bogart a été obligé de porter des "platform shoes" durant le tournage :
Désolé de briser un mythe.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Ah oui c'est bien connu.
Mais ça ne change rien au mythe Bogart.
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
sympa tes shoes, Rick !
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Re: Casablanca (Michael Curtiz - 1942)
Elle est rare cette photo de Marc Bolan.Ignatius a écrit :
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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