Arte/Arte.tv : Les films programmés
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
Certes, mais voir un Capra en VF, c'est un peu comme se taper un couscous saupoudré de gruyère râpé, quand même.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
"120 ans d'inventions au cinéma", là, maintenant, sur ARTE. Intéressant.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
Je viens de jeter un oeil en replay sur le site. Ça à l'air bien. Et les premières images du documentaire : Une page folle de Teinosuke Kinugasa !Commissaire Juve a écrit :"120 ans d'inventions au cinéma", là, maintenant, sur ARTE. Intéressant.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
J'ai trouvé ça sur le site de Arte dans les comms sur la diffusion de IVAN LE TERRIBLE:
"oliveur • il y a 5 jours
scandaleux toutes ces vieilles images en noir et blanc qui viennent gâcher le plaisir de voir une belle représentation orchestrale du grand Prokofiev."
"oliveur • il y a 5 jours
scandaleux toutes ces vieilles images en noir et blanc qui viennent gâcher le plaisir de voir une belle représentation orchestrale du grand Prokofiev."
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- Jack Carter
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
C'est pourtant l'un des points que je retiens de cette révision d'Ivan le Terrible (chef-d’œuvre, mais sans doute le moins immédiatement "aimable" des films de ce génie d'Eisenstein) : la richesse de la partition créée par Sergueï Prokofiev, que cet enregistrement en ciné-concert met bien en lumière. Les parties orchestrales sont sans doute un peu redondantes, mais toutes les pièces pour chœur sont magnifiques, un concentré de l'âme russe. Comme j'ai une oreille qui réagit aux similarités sonores, je me demande si le tout premier accord de Star Wars (vous savez, lorsque le titre apparaît sur l'écran, avant le texte défilant) ne paie pas inconsciemment son tribut à Ivan le Terrible et Prokofiev.Cololi a écrit :
Cela dit ... ce n'est pas le meilleur Prokofiev.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
Ouh là, les tributs payés aux russes par les compositeurs de musique de films américains, tu n'as qu'à te baisser pour en ramasser. Des exemples là, tout de suite, maintenant? J'en ai pas Il faudrait travailler Mais des emprunts aux russes comme Stravinsky, Prokofiev, Chostakovitch ou Rimsky Korsakov, tout comme au tchèque Dvorak ou au hongrois Bartok me font l'impression d'être légion chez les John Williams, Jerry Goldsmith et consorts.Demi-Lune a écrit :Comme j'ai une oreille qui réagit aux similarités sonores, je me demande si le tout premier accord de Star Wars (vous savez, lorsque le titre apparaît sur l'écran, avant le texte défilant) ne paie pas inconsciemment son tribut à Ivan le Terrible et Prokofiev.
Si tout de même, un exemple de variation sur les mouvements de cordes heurtés du Sacre du Printemps : le thème célébrissime des Dents de la Mer.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
Et comme par hasard je viens de réécouter les tableaux d'une exposition de Moussorgsky : Bernard Herrmann a quasiment plagié l'un des tableaux pour un thème de North By NorthwestAlexandre Angel a écrit :Ouh là, les tributs payés aux russes par les compositeurs de musique de films américains, tu n'as qu'à te baisser pour en ramasser.Demi-Lune a écrit :Comme j'ai une oreille qui réagit aux similarités sonores, je me demande si le tout premier accord de Star Wars (vous savez, lorsque le titre apparaît sur l'écran, avant le texte défilant) ne paie pas inconsciemment son tribut à Ivan le Terrible et Prokofiev.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
..et évidemment Bernard Herrmann, merci Jérémy!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
Je ne dis pas que c'est mauvais, loin de là C'est pas mal ... mais c'est juste que Proko a fait bien mieux (Roméo et Juliette, sa 5° symphonie, Cinderella ... par exemple).Demi-Lune a écrit :C'est pourtant l'un des points que je retiens de cette révision d'Ivan le Terrible (chef-d’œuvre, mais sans doute le moins immédiatement "aimable" des films de ce génie d'Eisenstein) : la richesse de la partition créée par Sergueï Prokofiev, que cet enregistrement en ciné-concert met bien en lumière. Les parties orchestrales sont sans doute un peu redondantes, mais toutes les pièces pour chœur sont magnifiques, un concentré de l'âme russe. Comme j'ai une oreille qui réagit aux similarités sonores, je me demande si le tout premier accord de Star Wars (vous savez, lorsque le titre apparaît sur l'écran, avant le texte défilant) ne paie pas inconsciemment son tribut à Ivan le Terrible et Prokofiev.Cololi a écrit :
Cela dit ... ce n'est pas le meilleur Prokofiev.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
On peut carrément entendre des bouts du "Sacre du Printemps" dans War of The Worlds.Alexandre Angel a écrit :Si tout de même, un exemple de variation sur les mouvements de cordes heurtés du Sacre du Printemps : le thème célébrissime des Dents de la Mer.
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
Pas d'orchestre filmé pendant le muet d'hier soir, ouf !!!!
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
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Lundi 12/12 à 20h50 : ROCCO ET SES FRERES (1959)
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Re: Arte Cinema : Les films programmés
Ne pas oublier, puisqu'on parle de film : Alexandre Newsky ; il serait d'ailleurs bon, pour ce dernier, de refaire la bande son tant l'orchestre sonne ici comme un ensemble de casseroles rouillées et de scies égoïnesCololi a écrit :Je ne dis pas que c'est mauvais, loin de là C'est pas mal ... mais c'est juste que Proko a fait bien mieux (Roméo et Juliette, sa 5° symphonie, Cinderella ... par exemple).Demi-Lune a écrit : C'est pourtant l'un des points que je retiens de cette révision d'Ivan le Terrible (chef-d’œuvre, mais sans doute le moins immédiatement "aimable" des films de ce génie d'Eisenstein) : la richesse de la partition créée par Sergueï Prokofiev, que cet enregistrement en ciné-concert met bien en lumière. Les parties orchestrales sont sans doute un peu redondantes, mais toutes les pièces pour chœur sont magnifiques, un concentré de l'âme russe. Comme j'ai une oreille qui réagit aux similarités sonores, je me demande si le tout premier accord de Star Wars (vous savez, lorsque le titre apparaît sur l'écran, avant le texte défilant) ne paie pas inconsciemment son tribut à Ivan le Terrible et Prokofiev.
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