Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Là, franchement, je vois pas..shubby a écrit :J'avoue sinon que la lenteur de certains vieux films ou leurs génériques de début, alors interminables, ne passent plus tellement
De Balzac, non.Alexandre Angel a écrit :Là, franchement, je vois pas..shubby a écrit :J'avoue sinon que la lenteur de certains vieux films ou leurs génériques de début, alors interminables, ne passent plus tellement
Et puis cette notion de "vieux films", ça va quand il y a du second degré comme le titre de ce topic ou l'expression "naphta" mais sinon faut arrêter avec ça. Tu dis pas vieux roman quand tu parles de Balzac.
Même pas! (c'est du vieux français, certes)Alambic a écrit :De Chrétien de Troyes, faut voir.
PareilJeremy Fox a écrit :Pour ma part je mixe désormais les deux et je prends autant de plaisir -même si ce n'est pas nécessairement le même genre de plaisir- à l'un qu'à l'autre. Je ne pourrais pas plus me passer de séries que de films.
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Des films à la mise en scène purement fonctionnelle, il y en a des tas, pas de désaccord là-dessus.Jeremy Fox a écrit :Je pense que ce distinguo est de moins en moins vrai. Des films trop bavards et des séries somptueusement mises en scène, il y en a beaucoup.Mama Grande! a écrit :
Je pense que tout dépend de ce que l’on cherche: des personnages et des intrigues pour accompagner otre quotidien, ou des atmosphères et de l’émotion esthétique. Si l’on préfère les histoires racontées par les dialogues ou par la mise en scène.
Voila. Non pas que ce mode de production soit mauvais en soi, mais c'est la raison pour laquelle les series TV premium qui monopolisent les conversations n'arrivent pas à m'emouvoir autant que les meilleurs films. Et l'aspect chronophage que je trouve franchement excessif à tendance a me pousser vers la sortie.la_vie_en_blueray a écrit :Dans une série TV, on peut pas parler d'unité cinematographique, y a une "bible" et une collection de reals qui se succedent épisode par épisode. La seule facon de s'en sortir en terme d'unité, c'est justement de ne pas avoir de signature propre aux réals.
Je n'en connais pas assez pour multiplier les exemples mais si je prends, par exemple, Les Sopranos, qui m'a toujours parue de grande qualité, on a d'un côté des audaces qui font plus que rivaliser avec le cinéma (on trouve des scènes de violences faites aux femmes qui existent bien moindrement chez Scorsese) et de l'autre des piétinements formels un peu rédhibitoires (les séquences chez la psy sont répétitives et plan-plan et des épisodes entiers sont laborieux comme celui qui se veut onirique).Mama Grande! a écrit :Non pas que ce mode de production soit mauvais en soi, mais c'est la raison pour laquelle les series TV premium qui monopolisent les conversations n'arrivent pas à m'emouvoir autant que les meilleurs films
). Les séries ont le temps, parfois trop. Et il y a ce cadencement propre ou le début et la fin d'une saison sont les vraies parties importantes, et beaucoup d'épisodes au milieu sont parfois inutiles ou pires.Alexandre Angel a écrit : des piétinements formels un peu rédhibitoires (les séquences chez la psy sont répétitives et plan-plan et des épisodes entiers sont laborieux comme celui qui se veut onirique).
Ce sont des moments où je sens les limites du médium (et les miennes quant à sa fréquentation).
Quel était le sujet?Alexandre Angel a écrit :
Mais ne nous éloignons nous pas quelque peu du sujet? (même si je vois bien le lien
Les nouvelles séries c'est de la merdeMama Grande! a écrit :Quel était le sujet?Alexandre Angel a écrit :
Mais ne nous éloignons nous pas quelque peu du sujet? (même si je vois bien le lien
C'est le programme de RTL TVi (le TF1 belge)...dire qu'avant on avait droit à 3 ou 4 films récents par semaine (sans oublier les films d'horreur du vendredi minuit)tenia a écrit : les chaînes te caleraient des séries 5 soirs par semaines (et des télé crochets et co les 2 soirs restants).
