Sybille a écrit :Vous conseillez quoi comme films de Belmondo dans les années 70/80 (voire 60 mais je pense pouvoir mieux m'y retrouver) ?
Les années 80, c'est le déclin en effet (on peut toujours conseiller Itinéraire d'un enfant gâté mais je dis bien "on").
La décennie reine pour Belmondo, c'est les années 60 indubitablement (avec aussi La Viaccia, notamment).
Pour les années 70, ne pas oublier l'excellent Stavisky (1974) qui ne peut être qu'excellent puisque réalisé par le grand Alain Resnais, avec le très beau thème de Stephen Sondheim.
On pourrait presque considérer que Stavisky fut à Bebel ce que Monsieur Klein fut à Alain Delon.
Dernière modification par Alexandre Angel le 31 mars 20, 11:39, modifié 1 fois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Des années 80, je ne garde que Le professionnel (l’un de mes plus anciens souvenirs de cinéma en salle) et Itinéraire d’un enfant gaté. Deux films que j’adore.
Les années 80 c'est les années n'imp, Le professionnel, Le marginal, L'as des as, Les morfalous, Le solitaire, Bébel en roue libre plus de limite, quelques films sont rigolo
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
D'accord !
En effet les années 80 semblent plutôt "décriées" et déjà que je suis fâchée avec cette décennie (enfin surtout volontairement ignorante) je ne vais pas m'y presser
Oui, je regarderai sans doute Stavisky un jour, le sujet et la période historique peuvent sans doute me plaire.
Tout d'accord avec Major Tom mais j'aime bien L'héritier.
Moi aussi j'aime beaucoup Le magnifique.
Par contre, je ne sais pas si j'ai vu Le voleur. Il faut que je corrige ça.
Et Ho!, j'ai l'impression que j'ai fini par le confondre avec Le doulos (ou Classe tout risque ?). Du coup je ne m'en souviens plus du tout, mais je suis sûr que j'ai aimé pourtant !
Sont-ils sortis en BR ?
Dernière modification par Thesix le 31 mars 20, 11:45, modifié 1 fois.
Si on passe AC/DC, je quitte la pièce (J. Jarmusch) Et Amazon, c'est toujours le mal (et l'internet haut débit, et Google...)
Dernière modification par Alexandre Angel le 31 mars 20, 12:05, modifié 2 fois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :
Pour les années 70, ne pas oublier l'excellent Stavisky (1974) qui ne peut être qu'excellent puisque réalisé par le grand Alain Resnais, avec le très beau thème de Stephen Sondheim.
Perso je déteste Resnais, mais j'adore ce film
Alexandre Angel a écrit :On pourrait presque considérer que Stavisky fut à Bebel ce que Monsieur Klein fut à Alain Delon.
Toutes proportion gardées, car Delon a dans les années 70 d'autres film de ce calibre, il n'est pas encore totalement entré dans une logique ou il reproduit les films autour de son personnage, ce qui est déjà plus le cas de Belmondo (ce qui ne m'empèche pas d'apprécier ses films, attention)
Rick Blaine a écrit :Toutes proportion gardées, car Delon a dans les années 70 d'autres film de ce calibre
C'est juste.
Rick Blaine a écrit :Perso je déteste Resnais
Je le regrette sincèrement pour toi.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Alexandre Angel a écrit :
Pour les années 70, ne pas oublier l'excellent Stavisky (1974) qui ne peut être qu'excellent puisque réalisé par le grand Alain Resnais, avec le très beau thème de Stephen Sondheim.
Perso je déteste Resnais,
Entre ça et le Phantom of the Paradise, maintenant ça suffit!
Rick Blaine a écrit :Toutes proportion gardées, car Delon a dans les années 70 d'autres film de ce calibre
C'est juste.
Rick Blaine a écrit :Perso je déteste Resnais
Je le regrette sincèrement pour toi.
Moi c’est pas tant que je le déteste, plutôt que je n’y arrive pas (ce qui revient au même cela dit). L’année dernière à Marienbad, malgré Delphine Seyrig, je n’ai pas réussi à tenir jusqu’au bout. Je t’aime je t’aime a été un supplice.
Stavisky, j'en ai un souvenir mitigé mais je suis partant pour une troisième tentative..
A propos de Delon/Belmondo, je préférai le second quand j’étais môme mais c’est l’inverse aujourd’hui. Je pense que je ne suis pas le seul dans ce cas. Cela n’empêche pas d’aimer les deux évidemment.
Supfiction a écrit :Moi c’est pas tant que je le déteste, plutôt que je n’y arrive pas (ce qui revient au même cela dit). L’année dernière à Marienbad, malgré Delphine Seyrig, je n’ai pas réussi à tenir jusqu’au bout. Je t’aime je t’aime a été un supplice.
Je serais tenté d'appeler ça le "syndrome Rohmer"
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Moi c’est pas tant que je le déteste, plutôt que je n’y arrive pas (ce qui revient au même cela dit). L’année dernière à Marienbad, malgré Delphine Seyrig, je n’ai pas réussi à tenir jusqu’au bout. Je t’aime je t’aime a été un supplice.
Stavisky, j'en ai un souvenir mitigé mais je suis partant pour une troisième tentative..
A propos de Delon/Belmondo, je préférai le second quand j’étais môme mais c’est l’inverse aujourd’hui. Je pense que je ne suis pas le seul dans ce cas. Cela n’empêche pas d’aimer les deux évidemment.
Delon a sans doute fait des plus grand films, mais je préfère toujours Belmondo au final.
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Rick Blaine a écrit :Je vais réussir à me faire détester par l'intégralité du forum en une journée.
Et avec la surexcitation des quizz : je te dis pas... oh my
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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