Jean-Paul Belmondo (1933-2021)
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Jean-Paul Belmondo (1933-2021)
Actuellement à l'honneur par la sortie du film de Jean-Paul Rappeneau "Les Mariés de l'An 2 " où nous retrouvons notre Bebel en grande forme dans un film trépidant, agrémenté de poursuite haletante, l'ensemble rythmé par le metteur en scène Rappeneau.
J-P Belmondo, né en 1933, va avoir 72 ans ce mois ci.
Ce comédien depuis ses débuts en 1957 avec le film <A pied, à cheval, en voiture, M. Delbez> jusqu'à son dernier <Amazone, Philippe De Broca, 2000> a aligné dans sa filmographie 70 films environ.
Parmi tous ces films, certains peuvent aujourd'hui prêter à sourire devant le succès rencontré au box-office France, entre autres, Le Marginal (+ 4 millions entrées), Le Professionnel (+ 5 millions entrées) L'As des As (+ 5 millions entrées) et Les Morfalous (+ 3,5 millions entrées) Pendant cette période bénie, Jean-Paul Belmondo avait son nom inscrit sur l'affiche du film en caractère plus gros que le titre lui-même, ce qui prouvait à quel point le magnétisme du comédien agissait sur son public. Fait assez unique pour le souligner!!
D'autres films sont devenus des classiques, je pense en particulier à : A bout de souffle (J.L Godard, 1959); Classe tous risques (C. Sautet, 1960); la Ciocara (V.De Sica, 1960); Un singe en hiver (H. Verneuil, 1961); le Doulos (JP. Melville, 1962); l'Homme de Rio (P.de Broca, 1963); Week-end à Zuydcoote (H. Verneuil, 1964); Le Voleur (L. Malle, 1966); Borsalino (J. Deray, 1970); le Magnifique (P. de Broca, 1973)
N'oublions pas ceux que l'on revoit avec grand plaisir notamment, Cartouche (P. de Broca, 1962); l'Aîné des ferchaux (JP. Melville, 1962); Cent mille dollars au soleil (H. Verneuil, 1964); les Tribulations d'un chinois en Chine (P. de Broca, 1965); Le Cerveau ( G. Oury, 1968); Les Mariés de l'An 2 (JP. Rappeneau, 1971); La Scoumoune (J. Giovanni, 1972). le Corps de mon ennemi (H. Verneuil, 1975)
Et quelques films moins connus de ce comédien qui méritent une seconde chance : Ho ! (R. Enrico, 1968); Docteur Popaul (C. Chabrol, 1972); l'Héritier (P.Labro, 1972)
Pour tous ces bons moments passés en ta compagnie, je te souhaite un JOYEUX ANNIVERSAIRE!!!
J-P Belmondo, né en 1933, va avoir 72 ans ce mois ci.
Ce comédien depuis ses débuts en 1957 avec le film <A pied, à cheval, en voiture, M. Delbez> jusqu'à son dernier <Amazone, Philippe De Broca, 2000> a aligné dans sa filmographie 70 films environ.
Parmi tous ces films, certains peuvent aujourd'hui prêter à sourire devant le succès rencontré au box-office France, entre autres, Le Marginal (+ 4 millions entrées), Le Professionnel (+ 5 millions entrées) L'As des As (+ 5 millions entrées) et Les Morfalous (+ 3,5 millions entrées) Pendant cette période bénie, Jean-Paul Belmondo avait son nom inscrit sur l'affiche du film en caractère plus gros que le titre lui-même, ce qui prouvait à quel point le magnétisme du comédien agissait sur son public. Fait assez unique pour le souligner!!
D'autres films sont devenus des classiques, je pense en particulier à : A bout de souffle (J.L Godard, 1959); Classe tous risques (C. Sautet, 1960); la Ciocara (V.De Sica, 1960); Un singe en hiver (H. Verneuil, 1961); le Doulos (JP. Melville, 1962); l'Homme de Rio (P.de Broca, 1963); Week-end à Zuydcoote (H. Verneuil, 1964); Le Voleur (L. Malle, 1966); Borsalino (J. Deray, 1970); le Magnifique (P. de Broca, 1973)
N'oublions pas ceux que l'on revoit avec grand plaisir notamment, Cartouche (P. de Broca, 1962); l'Aîné des ferchaux (JP. Melville, 1962); Cent mille dollars au soleil (H. Verneuil, 1964); les Tribulations d'un chinois en Chine (P. de Broca, 1965); Le Cerveau ( G. Oury, 1968); Les Mariés de l'An 2 (JP. Rappeneau, 1971); La Scoumoune (J. Giovanni, 1972). le Corps de mon ennemi (H. Verneuil, 1975)
Et quelques films moins connus de ce comédien qui méritent une seconde chance : Ho ! (R. Enrico, 1968); Docteur Popaul (C. Chabrol, 1972); l'Héritier (P.Labro, 1972)
Pour tous ces bons moments passés en ta compagnie, je te souhaite un JOYEUX ANNIVERSAIRE!!!
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Un tres tres tres grand acteur !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! (parmis ceux que j'aimerais revoir sur grand écran !)
Un acteur à la fois bon dans des films d'auteurs (surtout ceux de JLG de la belle époque !) que dans des films dit "populaire" (L'homme de Rio, Peur sur la ville ...).
J'avoue une nette préférence pour Bebel, que pour Delon !
Un acteur à la fois bon dans des films d'auteurs (surtout ceux de JLG de la belle époque !) que dans des films dit "populaire" (L'homme de Rio, Peur sur la ville ...).
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Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Pour ma part je ne suis pas trop client de Bebel lorsqu'il est sur son registre singeries en tout genre , excusez du terme...
Je le préfère dans ses rôles dits " sérieux" : Borsalino , La scoumoune , Le professionnel , L' héritier , Peur sur la ville , le corps de mon ennemi , L' alpagueur , Classe tous risques , Week end à Zuydcoote...
J'ai plus de mal avec Le guignolo , Le magnifique ou L'incorrigible par exemple...
Je le préfère dans ses rôles dits " sérieux" : Borsalino , La scoumoune , Le professionnel , L' héritier , Peur sur la ville , le corps de mon ennemi , L' alpagueur , Classe tous risques , Week end à Zuydcoote...
J'ai plus de mal avec Le guignolo , Le magnifique ou L'incorrigible par exemple...
J'ai eu ma période Belmondo comme beaucoup dans les années 70/80. Je me précipitais en salles pour voir ses nouveaux films et je prenais un réel plaisir, même devant des divertissements parfois bâclés. Mais la fougue et le charisme de Jean-Paul Belmondo arrachaient tout ! Un jour, je me suis retrouvé devant Joyeuses Pâques au cinéma et je me suis dit : "que ce film est lamentablement nul". C'était la fin de ma période "fan", il faut pourtant admettre dire que ses films à recettes complètement pré-machés pour sa personne arrivaient à bout de souffle (c'est le cas de le dire ! ). De même que les réalisateurs français qui nous ont offert de grands spectacles populaires étaient morts, à la retraite ou à cours d'inspiration.
Mais le plus important est d'avoir une vision globale de sa carrière et de ses rôles et l'on voit que Belmondo ne se limite pas à la comédie policière du type Flic ou voyou (que j'adore ) ou Guignolo. Sa carrière est riche de films excellents et dans tous les genres (tout le monde connaît les films, pas besoin de faire une liste). Et il a ce charme particulier, fait de virilité, de dérision, de forfanterie et de fraicheur qui le rend unique alors qu'il est tout sauf un sex-symbol. (J'ai toujours préféré Bébel à Delon mais il faut bien avouer que le filmographie de Delon est plus impressionnante).
Il ua quelques mois, j'ai revu Le Professionnel qui était l'un des films cultes de ma jeunesse. Quel choc ! Ce film est tout mou, se traîne et son scénario est bien trop élémentaire (voire fumeux) alors que le sujet était plutôt bon. Pourtant, le charme de Belmondo a encore opéré. Son personnage jusqu'au boutiste accompagné par les cordes de Morricone et nourri par les dialogues d'Audiard fonctionne encore à mes yeux et m'a vraiment ému. Sûrement la nostalgie car je préfère largement 100 000 dollars au soleil, Le Magnifique ou autre oeuvre d'un autre calibre que ce Lautner fatigué. Belmondo est un acteur mythique qui a su conservé cet aspect proche des gens, c'est assez rare (comme l'étaient Gabin et Ventura).
Mais le plus important est d'avoir une vision globale de sa carrière et de ses rôles et l'on voit que Belmondo ne se limite pas à la comédie policière du type Flic ou voyou (que j'adore ) ou Guignolo. Sa carrière est riche de films excellents et dans tous les genres (tout le monde connaît les films, pas besoin de faire une liste). Et il a ce charme particulier, fait de virilité, de dérision, de forfanterie et de fraicheur qui le rend unique alors qu'il est tout sauf un sex-symbol. (J'ai toujours préféré Bébel à Delon mais il faut bien avouer que le filmographie de Delon est plus impressionnante).
Il ua quelques mois, j'ai revu Le Professionnel qui était l'un des films cultes de ma jeunesse. Quel choc ! Ce film est tout mou, se traîne et son scénario est bien trop élémentaire (voire fumeux) alors que le sujet était plutôt bon. Pourtant, le charme de Belmondo a encore opéré. Son personnage jusqu'au boutiste accompagné par les cordes de Morricone et nourri par les dialogues d'Audiard fonctionne encore à mes yeux et m'a vraiment ému. Sûrement la nostalgie car je préfère largement 100 000 dollars au soleil, Le Magnifique ou autre oeuvre d'un autre calibre que ce Lautner fatigué. Belmondo est un acteur mythique qui a su conservé cet aspect proche des gens, c'est assez rare (comme l'étaient Gabin et Ventura).
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Que dire de plus.Roy Neary a écrit :J'ai eu ma période Belmondo comme beaucoup dans les années 70/80. Je me précipitais en salles pour voir ses nouveaux films et je prenais un réel plaisir, même devant des divertissements parfois bâclés. Mais la fougue et le charisme de Jean-Paul Belmondo arrachaient tout ! Un jour, je me suis retrouvé devant Joyeuses Pâques au cinéma et je me suis dit : "que ce film est lamentablement nul". C'était la fin de ma période "fan", il faut pourtant admettre dire que ses films à recettes complètement pré-machés pour sa personne arrivaient à bout de souffle (c'est le cas de le dire ! ). De même que les réalisateurs français qui nous ont offert de grands spectacles populaires étaient morts, à la retraite ou à cours d'inspiration.
Mais le plus important est d'avoir une vision globale de sa carrière et de ses rôles et l'on voit que Belmondo ne se limite pas à la comédie policière du type Flic ou voyou (que j'adore ) ou Guignolo. Sa carrière est riche de films excellents et dans tous les genres (tout le monde connaît les films, pas besoin de faire une liste). Et il a ce charme particulier, fait de virilité, de dérision, de forfanterie et de fraicheur qui le rend unique alors qu'il est tout sauf un sex-symbol. (J'ai toujours préféré Bébel à Delon mais il faut bien avouer que le filmographie de Delon est plus impressionnante).
Il ua quelques mois, j'ai revu Le Professionnel qui était l'un des films cultes de ma jeunesse. Quel choc ! Ce film est tout mou, se traîne et son scénario est bien trop élémentaire (voire fumeux) alors que le sujet était plutôt bon. Pourtant, le charme de Belmondo a encore opéré. Son personnage jusqu'au boutiste accompagné par les cordes de Morricone et nourri par les dialogues d'Audiard fonctionne encore à mes yeux et m'a vraiment ému. Sûrement la nostalgie car je préfère largement 100 000 dollars au soleil, Le Magnifique ou autre oeuvre d'un autre calibre que ce Lautner fatigué. Belmondo est un acteur mythique qui a su conservé cet aspect proche des gens, c'est assez rare (comme l'étaient Gabin et Ventura).
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Joli texte dans lequel je me retrouve assez pour la période 80 de Belmondo qui a bercé mes premières séances de cinéma (avec les derniers de Funès et les Pierre Richard) et le décrochage aux alentours de Joyeuses Pâques...Roy Neary a écrit :J'ai eu ma période Belmondo comme beaucoup dans les années 70/80. Je me précipitais en salles pour voir ses nouveaux films et je prenais un réel plaisir, même devant des divertissements parfois bâclés. Mais la fougue et le charisme de Jean-Paul Belmondo arrachaient tout ! Un jour, je me suis retrouvé devant Joyeuses Pâques au cinéma et je me suis dit : "que ce film est lamentablement nul". C'était la fin de ma période "fan", il faut pourtant admettre dire que ses films à recettes complètement pré-machés pour sa personne arrivaient à bout de souffle (c'est le cas de le dire ! ). De même que les réalisateurs français qui nous ont offert de grands spectacles populaires étaient morts, à la retraite ou à cours d'inspiration.
Mais le plus important est d'avoir une vision globale de sa carrière et de ses rôles et l'on voit que Belmondo ne se limite pas à la comédie policière du type Flic ou voyou (que j'adore ) ou Guignolo. Sa carrière est riche de films excellents et dans tous les genres (tout le monde connaît les films, pas besoin de faire une liste). Et il a ce charme particulier, fait de virilité, de dérision, de forfanterie et de fraicheur qui le rend unique alors qu'il est tout sauf un sex-symbol. (J'ai toujours préféré Bébel à Delon mais il faut bien avouer que le filmographie de Delon est plus impressionnante).
Il ua quelques mois, j'ai revu Le Professionnel qui était l'un des films cultes de ma jeunesse. Quel choc ! Ce film est tout mou, se traîne et son scénario est bien trop élémentaire (voire fumeux) alors que le sujet était plutôt bon. Pourtant, le charme de Belmondo a encore opéré. Son personnage jusqu'au boutiste accompagné par les cordes de Morricone et nourri par les dialogues d'Audiard fonctionne encore à mes yeux et m'a vraiment ému. Sûrement la nostalgie car je préfère largement 100 000 dollars au soleil, Le Magnifique ou autre oeuvre d'un autre calibre que ce Lautner fatigué. Belmondo est un acteur mythique qui a su conservé cet aspect proche des gens, c'est assez rare (comme l'étaient Gabin et Ventura).
Par contre, en ce qui concerne ce dernier film, je le trouve toujours très amusant. La pièce de Poiret est drôle, Belmondo est excellent dans son personnage de boulevard et Lautner assume une mise en scène fonctionnelle, sans plus...le seul élément qui me gêne c'est les cascades de Bébel en début et fin de film, qui trouvent difficilement leur place dans l'intrigue...mais bon, fallait bien faire plaisir à la star n°1 du box office français
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Là aussi, il y a les fans, et les détracteurs !La Scoumoune a écrit :Pour ma part je ne suis pas trop client de Bebel lorsqu'il est sur son registre singeries en tout genre , excusez du terme...
Pour Bebel, c'est comme pour De Funes, soit on adore, soit on déteste (moi, pour les 2, j'adore ! ).
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Quand la première série de Belmondo est sortie en maison de presse, je ne pensais acheter qu'un DVD ou deux. J'en ai acheté une bonne quinzaine!!
J'ai redécouvert des films que j'avais vu petit, mais que j'avais oublié, comme
" Le corps de mon ennemi" absolument formidable.
La collection Delon, c'est pareil, même si les titres proposés en dvd sont loin d'être les meilleurs tournés par le comédien.
J'ai redécouvert des films que j'avais vu petit, mais que j'avais oublié, comme
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La collection Delon, c'est pareil, même si les titres proposés en dvd sont loin d'être les meilleurs tournés par le comédien.
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- Contact :
j'aime beaucoup moi aussi " Le corps de mon ennemi"
un acteur aussi à l'aise chez Godard ou Chabrol que dans les films d'actions ou les comédies les plus folles (au contraire d'un Delon plutôt spécialisé dans les drames)
mes Belmondo préférés :
- le Doulos
- L'homme de Rio
- Pierrot le fou
- les Tribulations d'un chinois en Chine
- le voleur (sans doute son film le plus étonnant...)
- L'héritier
- le magnifique
- Stavisky
- Peur sur la ville
comme Roy, cet acteur était mon éternel rendez-vous du dimanche soir à la télé ou sur le grand écran
un acteur aussi à l'aise chez Godard ou Chabrol que dans les films d'actions ou les comédies les plus folles (au contraire d'un Delon plutôt spécialisé dans les drames)
mes Belmondo préférés :
- le Doulos
- L'homme de Rio
- Pierrot le fou
- les Tribulations d'un chinois en Chine
- le voleur (sans doute son film le plus étonnant...)
- L'héritier
- le magnifique
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comme Roy, cet acteur était mon éternel rendez-vous du dimanche soir à la télé ou sur le grand écran
y'a tout de même "Le professeur" par exemple qui est un superbe film... mais il y manque cruellement "L'insoumis" où il est totalement hallucinant là dedans !Grimmy a écrit : La collection Delon, c'est pareil, même si les titres proposés en dvd sont loin d'être les meilleurs tournés par le comédien.
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Je suis quand même de ceux qui pensent que la carrière de Belmondo, comme cele de Delon d'ailleurs, a nettement faibli dans la deuxième partie des années 1970 avec des films qui n'ont pas fprcément très bien vieilli. Ainsi "peur sur la ville" qui apparaît plus comme une parodie de "l'inspecteur harry" avec un sérial killer grotesque et des thèmes profonds (folie criminelle, malaise social et moral) juste effleurés.
Par ailleurs, les deux dernières décennies de carrière des deux superstars du cinéma français font de la peine à voir.
Par ailleurs, les deux dernières décennies de carrière des deux superstars du cinéma français font de la peine à voir.