Charlton Heston (1923-2008)
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
Ah ben oui, dis donc, tu es assez indulgent avec lui.
Bon, ce n'est pas nul non plus, d'ailleurs je lui colle la moyenne, mais je ne suis pas rentré dedans malgré quelques beaux moments.
Bon, ce n'est pas nul non plus, d'ailleurs je lui colle la moyenne, mais je ne suis pas rentré dedans malgré quelques beaux moments.
Le cinéma : "Il est probable que cette marotte disparaîtra dans les prochaines années."
Extrait d'un article paru dans The Independent (1910)
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
Disons que comme tu le dis si bien aussi, un film à regarder avec ses yeux d'enfants ; si on est capable d'y arriver, ça fonctionne parfaitementpak a écrit :Ah ben oui, dis donc, tu es assez indulgent avec lui.
Bon, ce n'est pas nul non plus, d'ailleurs je lui colle la moyenne, mais je ne suis pas rentré dedans malgré quelques beaux moments.
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
Et puis Rhonda ça aide un peu aussi non ?Jeremy Fox a écrit :Disons que comme tu le dis si bien aussi, un film à regarder avec ses yeux d'enfants ; si on est capable d'y arriver, ça fonctionne parfaitement
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
Oui mais alors là, ce n'est plus avec des yeux d'enfant qu'on regarde le film...
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
pak a écrit :Oui mais alors là, ce n'est plus avec des yeux d'enfant qu'on regarde le film...
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
Il me semblait que ça ne t'avait même pas suffit si ma mémoire est bonne (et sur ce point ce n'est pas gagné)feb a écrit :Et puis Rhonda ça aide un peu aussi non ?Jeremy Fox a écrit :Disons que comme tu le dis si bien aussi, un film à regarder avec ses yeux d'enfants ; si on est capable d'y arriver, ça fonctionne parfaitement
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
Très bonne mémoire en effet, c'était simplement une note artistique car celle accordée à la technique ne volait pas haut. Mais je remercie, une fois de plus, ceux qui ont développé le Technicolor
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
GRAY LADY DOWN (David Greene, 1978) Découverte
Après Poséidon, v'la Neptune. Énième film catastrophe issus de l'age d'or des maquettes en feu qu'on constituées les années 70, Gray Lady Down part déjà avec un énorme avantage, celui de prendre un sous-marin comme lieu du drame et ainsi évite le pathos propre au genre de ces enfants malades aux couples en instance de divorce en passant par les stars grabataires. Outre ce gain de goutes au nez, le film ce trouve être un excellent divertissement, anonyme mais tenu et bien fait. Charlton Heston (habitué du genre à l'époque) gère tant bien que mal son vaisseau mais se fait très vite voler la vedette par l'équipe de sauvetage comptant le toujours excellent Stacy Keach et un David Carradine en commandant Cousteau à l'américaine (donc avec la mâchoire serrée) flanqué de son acolyte Ned Beatty. Arrivant en queue de comète des succès "catastrophiques", le film (bien qu'étant en haut du panier) ne fit pas grand bruit en 1978. A réévaluer donc (dommage que les très beaux derniers plans soient gâchés par un carton publicitaire à la gloire de l'armée US). 8/10
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
Dans mon souvenir un film bancal porté par un Charlton Heston en fin de carrière. Dans le genre mieux vaut se tourner vers Tremblement de terre, même si celui-ci est loin des grands rôles de cet acteur...Kevin95 a écrit :
GRAY LADY DOWN (David Greene, 1978) Découverte
Après Poséidon, v'la Neptune. Énième film catastrophe issus de l'age d'or des maquettes en feu qu'on constituées les années 70, Gray Lady Down part déjà avec un énorme avantage, celui de prendre un sous-marin comme lieu du drame et ainsi évite le pathos propre au genre de ces enfants malades aux couples en instance de divorce en passant par les stars grabataires. Outre ce gain de goutes au nez, le film ce trouve être un excellent divertissement, anonyme mais tenu et bien fait. Charlton Heston (habitué du genre à l'époque) gère tant bien que mal son vaisseau mais se fait très vite voler la vedette par l'équipe de sauvetage comptant le toujours excellent Stacy Keach et un David Carradine en commandant Cousteau à l'américaine (donc avec la mâchoire serrée) flanqué de son acolyte Ned Beatty. Arrivant en queue de comète des succès "catastrophiques", le film (bien qu'étant en haut du panier) ne fit pas grand bruit en 1978. A réévaluer donc (dommage que les très beaux derniers plans soient gâchés par un carton publicitaire à la gloire de l'armée US). 8/10
- Kevin95
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
NAIROBI AFFAIR - Marvin J. Chomsky (1984) découverte
Téléfilm exotico-meublé suffisamment long pour ne pas être confondu avec un spot publicitaire pour des vacances en Afrique. L'intrigue tourne autour d'un trio amoureux malsain entre le père, le fils et la belle-fille sans que personne ne soit gêné plus que ça. Un triangle composé d’un John Savage dégouté de ne pas percer au cinéma, d’une Maud Adams (ou un épouvantail, je ne sais plus) et d’un Charlton Heston qui rentre le ventre pour paraitre dix ans de moins. Le film est à l'image de cette relation dérangeante, tout est survolé : pas de complexes pour Maud Adams de passer du jeune au vieux, l'Afrique est un poster géant, l'ancien du Vietnam n'évoque jamais son service militaire (alors pourquoi en faire un vétéran ?) et la fin est aussi attendue que les coupures pub. Pas d'embuscade, pas de mouvement, Nairobi Affair est un flux continu, pas gênant mais insignifiant. Le Kenya est filmé comme dans un Tarzan des années 30, les indigènes servent les braves américains, les animaux sont charmants, seules les transparences ont été remplacées par des champs contre-champs où les acteurs s’émerveillent devant des plans filmés par la secondes équipe. Une soupe et au lit.
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Re: Re:
+1
Je viens de revisionner "Les grands espaces" en BR, film où il a le quatrième rôle, il y est génial entre le rôle d'homme évolué en devenir et celui de red-neck.
En fait il a peut-être avec Burl Ives le rôle le plus difficile du film.
Il aurait pu jouer plusieurs rôles dans ce film, Gregory Peck un seul, celui de Mac Kay.
C'est un acteur qui force l'admiration entre un physique :
De beau gars, mais avec une "gueule derrière".
De mâle baraqué, mais pouvant entrer dans n'importe quel costume, même d'intello, il a la faculté de "rentrer ses épaules".
Un acteur comme Rock Hudson ( que je n'aime pas ) et qui semble jouer les mêmes rôle rame sévère derrière.
- Supfiction
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
Mais Rock Hudson était drôle. Je n’ai pas le souvenir d’avoir vu une comédie avec Charlton Heston (à part Wayne´s world 2).
- Alexandre Angel
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Re: Charlton Heston (1923-2008)
...et True LiesSupfiction a écrit : ↑22 août 20, 13:35 Mais Rock Hudson était drôle. Je n’ai pas le souvenir d’avoir vu une comédie avec Charlton Heston (à part Wayne´s world 2).
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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