James Cagney (1899-1986)

[Kevin95]

Quelques infos sur ce film disponible pour un prix dérisoire (1,99€) sur le site :discount

Un policier assez sympa malgré une vision assez caricaturale du Japon.

[Kevin95]

A noter que j'aimerai énormément revoir dans de bonnes conditions (car découvert avec une VF déplorable), l'excellent Kiss Tomorrow Goodbye de Gordon Douglas.

[bogart]

Quelques infos sur ce film disponible pour un prix dérisoire (1,99€) sur le site :discount

Un policier assez sympa malgré une vision assez caricaturale du Japon.

Merci.

[bogart]

The Mayor of Hell (Le Bataillon des sans-amour) d'Archie Mayo (1933)

Zone 1 Warner faisant parti du coffret "Gangsters" volume 3.


Drame se déroulant dans l'univers de l'incarcération de jeunes délinquants qui montre les conditions de détention très dures de la vie de ses pensionnaires. James Cagney y incarne un truand qui à la suite de sa visite dans ce centre de redressement se prend d'affection pour ses jeunes, et avec l'aide d'une infirmière compatissante réforme le règlement intérieur...

En un peu moins de 90 minutes The Mayor of Hell pose les bases de ce style de films (San Quentin, Je suis un évadé, Les démons de la liberté), ce qui en fait une oeuvre de fiction tout en y incluant une réalité alors présente dans le monde pénitencier.

[bogart]

Smart Money de Alfred E. Green (1931)

Zone 1 Warner faisant parti du coffret "Gangsters" volume 3


Bien que figurant aux génériques les deux acteurs principaux de chez Warner; Smart Money n'est pas à proprement parlé un film noir que produisait alors le studio, mais plutôt un drame sur le destin d'un homme à la chance légendaire...

En effet Edward G Robinson entamait la même année (1931) le tournage du film de Mervyn LeRoy (Le Petit Cesar) et, James Cagney lui tournait sous la direction de William A. Wellman (L'Ennemi public) Ces deux films devaient lancer leurs carrières, et le début d'une longue série de films noirs et de gangsters.

A noter la présence brève au début du film du comédien Boris Karloff qui deviendra par la suite l'icône du fantastique avec, entre autres, Frankenstein.

[angel with dirty face]

Smart Money de Alfred E. Green (1931)

Zone 1 Warner faisant parti du coffret film noir volume 3

Il s'agit plutôt du coffret Warner Gangsters Collection, Vol. 3...

[bogart]

Smart Money de Alfred E. Green (1931)

Zone 1 Warner faisant parti du coffret film noir volume 3

Il s'agit plutôt du coffret Warner Gangsters Collection, Vol. 3...

Tout à fait !

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J'édite

[bogart]

Picture Snatcher (Une Grande bagarre) de Llyod Bacon (1933)
Lady Killer (Le Tombeur) de Roy Del Ruth (1933)

Zone 1 Warner faisant parti du coffret "Gangsters" volume 3


Deux films que tourna le comédien en 1933 qui n'ont pour seul but de mettre en valeur James Cagney, alors poulain de la firme warner. L'acteur incarne dans les deux un voyou qui par son bagou et sa débrouillardise se range du côté de la loi, et, refait sa vie avec l'héroïne du moment (Happy end! ) Quelques moments forts drôles se trouvent dans le film Lady Killer qui se déroule dans le milieu du cinéma, on y voit entre autres, James Cagney affublé d'une coiffe d'indien

[bogart]

The Public Enemy de William A Wellman (1931)

Zone 2 faisant parti du coffret 'Films Noirs V1'


En moins de 90 minutes, ce petit bijou du film noir nous entraîne dans la vie criminelle de Tom Powers (James Cagney) de son ascension jusqu'à la fin de sa carrière de criminel. Reflet d'une époque à jamais révolue tel que la prohibition, The Public Enemy par une mise en scène dynamique, et de l'interprétation magistrale de James Cagney, demeure à tout jamais un classique du film noir.

A noter : la présence à l'écran à la quarante cinquième minutes de la blonde Jean Harlow.

[bogart]

Les Anges aux figures sales (Angels With dirty faces, 1938)

Zone 2 faisant parti du coffret 'Films Noirs V1'


Tourné en 38 ce film fait parti d'une série explorée par Hollywood sur le comportement sociologique de la délinquance. Le premier en date, réalisée par William Wyler en 37, intitulé Rue sans issue*, mettait en scène Humphrey Bogart. Celui-ci incarnait un gangster (une fois de plus !!) revenant sur les lieux de son enfance, taudis misérables infestés de rats....

Sur un scénario quelque peu schématique Les Anges de Michael Curtiz s'attarde au développement du personnage principal (James Cagney), véritable gangster sans coeur mais qui par amitié avec son ami d'enfance devenu prêtre (Pat O'Brien), accepte de paraître en lâche, afin de détruire sa légende aux yeux des jeunes délinquants (ce qui nous vaut un des plus belles séquences du film, magistralement mis en scène par le cinéaste Hongrois) Outre Cagney impérial, quelques grands noms du film noir : Bogart, George Bancroft, Ann Sheridan et Pat O'Brian.




*Dispo en zone 2 souvent proposé à petit prix, et, bénéficiant d'un master étonnant pour un film de cet âge.

[someone1600]

Tu es sur que ce n'est pas plutot un coffret Gangsters ?

[bogart]

Tu es sur que ce n'est pas plutot un coffret Gangsters ?

En zone 1: oui, mais l'appellation en zone 2: non!

[bogart]

Les Fantastiques années 20 (The roaring twenties, 1939)

Zone 2 faisant parti du coffret 'Films Noirs V1'


Retrouvant son partenaire humphrey Bogart, l'acteur incarne un trafiquant de liqueurs dans les années 20...
D'après un scénario original de Mark Hellinger, Walsh immortalise avec maestro les années turbulantes de la prohibition, qui sévit de 1920 à 1929.
Ce film noir de par son montage au diapason nous entraîne dans le tourbillon de ses fantastiques années !
Le casting une fois de plus se montre à la hauteur de ce classique du film noir, dont on se régale avec délectation.

A noter : Bogey retrouvera le metteur en scène Walsh en 40 aux côtés de George Raft (autre acteur des films de gangsters) pour Une Femme dangereuse ainsi que l'année suivante pour High Sierra, film qui fit de lui une grande vedette du jour au lendemain.

[AtCloseRange]

Les Fantastiques années 20 (The roaring twenties, 1939)

Zone 2 faisant parti du coffret 'Films Noirs V1'


Retrouvant son partenaire humphrey Bogart, l'acteur incarne un trafiquant de liqueurs dans les années 20...
D'après un scénario original de Mark Hellinger, Walsh immortalise avec maestro les années turbulantes de la prohibition, qui sévit de 1920 à 1929.
Ce film noir de par son montage au diapason nous entraîne dans le tourbillon de ses fantastiques années !
Le casting une fois de plus se montre à la hauteur de ce classique du film noir, dont on se régale avec délectation.

A noter : Bogey retrouvera le metteur en scène Walsh en 40 aux côtés de George Raft (autre acteur des films de gangsters) pour Une Femme dangereuse ainsi que l'année suivante pour High Sierra, film qui fit de lui une grande vedette du jour au lendemain.

Il faut que me le regarde celui-là.

En attendant, c'est L'Ennemi Public de Willim Wellman que j'ai découvert.
Un peu déçu même s'il faut forcément remettre le film dans son contexte (1931). C'est le film qui a fait de James Cagney une star et on comprend pourquoi avec ce mélange de menace et de charisme. La caméra de Wellman est un peu statique mais grâce aux acteurs, à une certaine crudité dans la violence et à quelques très bonnes scènes (une scène assez torride entre Cagney et une excellente Jean Harlow, un règlement de compte sous la pluie, la fameuse scène du pamplemousse, la scène finale d'une grande sècheresse), le film vaut le coup.
A noter les cartons introductifs et finaux qui en font à l'égal de Little Ceasar un "cautionary tale": gangster, c'est mal et ça finira mal pour vous si vous vous engager dans cette sinistre vocation Cartons qui sonnent d'ailleurs assez faux avec le reste du ton du film. Une concession aux censeurs donc même si on était en période pré-code.

[Jeremy Fox]

A noter : Bogey retrouvera le metteur en scène Walsh en 40 aux côtés de George Raft (autre acteur des films de gangsters) pour Une Femme dangereuse ainsi que l'année suivante pour High Sierra, film qui fit de lui une grande vedette du jour au lendemain.

Mais aussi surtout, dans leur collaboration la plus étonnante à mon avis, le très nerveux The Enforcer (La femme à abattre) datant de 1951, un de mes films noirs préférés qu'il me tarde de voir sortir en DVD. Signé Bretaigne Windust mais, au vu du style et du rythme, on devine très vite que Walsh l'a presque entièrement réalisé.