Le Convoi de la peur - Sorcerer (William Friedkin - 1977)

[AtCloseRange]

C'est quoi cette signature ?

Jamais écrit ça moi

ce qui est terrible avec internet, c'est qu'il n'oublie rien

[AtCloseRange]

C'est quoi cette signature ?

Jamais écrit ça moi

et la mienne, tu en penses quoi ?

Jeremy est un des autres multis de Dale?
Tout s'explique

[Jeremy Fox]

C'est quoi cette signature ?

Jamais écrit ça moi

ce qui est terrible avec internet, c'est qu'il n'oublie rien

Effectivement, je viens d'aller vérifier C'était néanmoins avant ma plus récente redécouverte du film.

[Jack Carter]

et la mienne, tu en penses quoi ?

Jeremy est un des autres multis de Dale?
Tout s'explique

[Dale Cooper]

C'est quoi cette signature ?

Jamais écrit ça moi

et la mienne, tu en penses quoi ?

Oh yeah.

[Obi Wan]

et la mienne, tu en penses quoi ?

J'approuve la citation ; pas le film auquel elle est accolée

Bien sûr que si. Il s'agit quand même de Prometheus qui est un film raté.

[Jeremi Fox]

Remarque, si. Il s'agit quand même de Prometheus qui est un film raté.

[Jack Carter]

c'est quoi cette nouvelle coiffure pour Stewart Granger ? (Scarameche )

[Père Jules]

[Jeremy Fox]

c'est quoi cette nouvelle coiffure pour Stewart Granger ? (Scarameche )

C'est le remake avec Elvis et Ann-Margret

[G.T.O]

Dans ton "tunnel", il y a pourtant des passages affolants (l'explosion du puits avec ce plan d'hélicoptère délirant, l'arrivée des corps calcinés au village...). Friedkin utilise un double langage assez osé dans toute cette partie, puisqu'il l'emploie à l'encontre de la Gulf + Western et de son nabab Charles Bludhorn.
Et je continue de trouver la séquence finale du Salaire de la peur un peu guignolesque, avec un Montand en roue libre (pardon pour le jeu de mot...).

La mémoire de ACR commence à lui faire défaut. Excusez le ! L'exercice de mauvaise foi auquel il se prête parfois, le conduit à amputer d'importantes parties de certains films. Heureusement que beaucoup ont vu le film. Pour un peu, il nous ferait presque croire qu'il s'agit de l'homme bicentenaire, ou pire de Proxy.
Blague à part, comme toi, présence de moments comme tu dis affolants et particulièrement intenses. La scène d'émeute jusqu'au convoi de corps calcinés est un grand moment de cinéma. C'est presque un cauchemar éveillé dont l'intensité rivalise avec certains moments du film de Klimov, Va et Regarde. Perso, l'un de mes moments préférés du film. Je trouve saisissant la manière dont Friedkin induit ce sentiment de déclin. De vies déjà périmées. Tu comprends vite que c'est la fin de leur cavale et qu'ils sont condamnés au fin fond du trou du cul du monde. D'où aussi le fait qu'ils acceptent ce que d'autres n'auraient pas voulu : la mission-suicide. Dernière sursaut avant la mort. D'ailleurs, en un sens, tous ces personnages sont déjà des morts en sursis. Toute une thématique friedkinienne.

[AtCloseRange]

Dans ton "tunnel", il y a pourtant des passages affolants (l'explosion du puits avec ce plan d'hélicoptère délirant, l'arrivée des corps calcinés au village...). Friedkin utilise un double langage assez osé dans toute cette partie, puisqu'il l'emploie à l'encontre de la Gulf + Western et de son nabab Charles Bludhorn.
Et je continue de trouver la séquence finale du Salaire de la peur un peu guignolesque, avec un Montand en roue libre (pardon pour le jeu de mot...).

La mémoire de ACR commence à lui faire défaut. Excusez le ! L'exercice de mauvaise foi auquel il se prête parfois, le conduit à amputer d'importantes parties de certains films. Heureusement que beaucoup ont vu le film.

Et d'ailleurs tu pourras aussi les trouver dans le topic ceux qui l'ont vu et qui ont été aussi peu convaincus que moi
Enfin, quand on décide de ne lire que ce qui nous arrange...

[Jeremy Fox]

D'ailleurs, je pensais avoir écrit un très court avis sur ce film que je ne retrouve pas. Heureusement pour G.T.O.
Je retourne voir Lawrence D'Arabie pour la 10ème fois du coup

EDIT : Ah si

[G.T.O]

La mémoire de ACR commence à lui faire défaut. Excusez le ! L'exercice de mauvaise foi auquel il se prête parfois, le conduit à amputer d'importantes parties de certains films. Heureusement que beaucoup ont vu le film.

Et d'ailleurs tu pourras aussi les trouver dans le topic ceux qui l'ont vu et qui ont été aussi peu convaincus que moi
Enfin, quand on décide de ne lire que ce qui nous arrange...

Y en a toujours pour prendre l'épée, tu le sais bien. Je ne t'apprends rien.

Enfin de là, à parler de tunnel, comme si le film échouait à nous rendre palpable un contraste, à nous préparer à ce qui allait suivre, il y a un monde. Ce qui est certain c'est que le film accorde beaucoup d'importance à la suggestion, à l'ambiance. Ce n'est pas aussi frontal que cela. Et j'ai l'impression que certains lui font ce reproche de ne pas être ce monstre d'efficacité. Comme souvent chez Friedkin, on y trouve ce curieux mélange d'explicite et d'implicite.

@ Jeremy : ah toi aussi...

[AtCloseRange]

Et d'ailleurs tu pourras aussi les trouver dans le topic ceux qui l'ont vu et qui ont été aussi peu convaincus que moi
Enfin, quand on décide de ne lire que ce qui nous arrange...

Y en a toujours pour prendre l'épée, tu le sais bien. Je ne t'apprends rien.

Enfin de là, à parler de tunnel, comme si le film échouait à nous rendre palpable un contraste, à nous préparer à ce qui allait suivre, il y a un monde. Ce qui est certain c'est que le film accorde beaucoup d'importance à la suggestion, à l'ambiance. Ce n'est pas aussi frontal que cela. Et j'ai l'impression que certains lui font ce reproche de ne pas être ce monstre d'efficacité. Comme souvent chez Friedkin, on y trouve ce curieux mélange d'explicite et d'implicite.

@ Jeremy : ah toi aussi...

Ce qui me gêne, c'est que Friedkin ne se serve pas de cette partie pour construire des personnages ou même des relations entre les personnages.
Ils sont juste posés là dans la pampa en train de boire des bières pendant que Friedkin filme les poulets qui se baladent dans les rues.
Ensuite, on peut aimer ce côté "documentaire" mais pour moi, ça crée un creux et ça ne permet pas vraiment aux personnages d'exister.
Tant et si bien que finalement quand Friedkin revient tout à coup à quelque chose du passé

Spoiler (cliquez pour afficher)

Cremer qui parle de sa montre à Amidou, on sait tout de suite que le camion va exploser parce que c'est en contradiction avec cette volonté d'en faire des figures anonymes et désincarnées

Perso, j'y vois une faiblesse dans la construction même dans le cadre de ces films un peu libres des 70s.