Richard Harris (1930-2002)
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Richard Harris (1930-2002)
Acteur britannique (1930-2002).
Comédien qui a débuté au cinéma en 58 et, cinq ans plus tard, s'est vu décerner dans trois festivals* consécutifs le prix de la meilleure interprétation pour son rôle dans This Sporting Life (Le Prix d'un homme, de L. Anderson, 1963). Par la suite, il entame une carrière internationale tournant avec les plus grands réalisateurs du moment, Michelangelo Antonioni (Le Désert rouge, 1964), Sam Peckinpah (Major Dundee, 1965), Anthony Mann (Les heros de Telemark, 1965), John Huston (La Bible, 1966), Martin Ritt (Traître sur commande**, 1968).
Un de ses plus gros succès, il le doit au western dans ce merveilleux film de Elliot Silverstein (Un homme nommé cheval, 1969), suivi par deux autres films inégaux, 1976, La Revanche d'un homme nommé cheval (The Return of a Man Called Horse, Irvin Kershner), 1982, Le Triomphe d'un homme nommé cheval (John Hough).
Il était très bien aussi en mercenaire humanisé dans le film Les Oies sauvages, 1978(The Wild Geese, Andrew McLaglen) aux côtes de Richard Burton, Roger Moore, Hardy Gruger et Stewart Granger.
La fin de sa carrière se termina par le rôle du professeur Albus Dumbledore dans les adaptations du sorcier Harry Potter.
Richard Harris etait par ailleurs un poéte de valeur.
*Les festivals de Cannes, Moscou et Prague.
** Dispo en dvd zone 2 dans les bacs.
Quelques photos pour illustrer.
Dumbledore.
Gladiator.
Comédien qui a débuté au cinéma en 58 et, cinq ans plus tard, s'est vu décerner dans trois festivals* consécutifs le prix de la meilleure interprétation pour son rôle dans This Sporting Life (Le Prix d'un homme, de L. Anderson, 1963). Par la suite, il entame une carrière internationale tournant avec les plus grands réalisateurs du moment, Michelangelo Antonioni (Le Désert rouge, 1964), Sam Peckinpah (Major Dundee, 1965), Anthony Mann (Les heros de Telemark, 1965), John Huston (La Bible, 1966), Martin Ritt (Traître sur commande**, 1968).
Un de ses plus gros succès, il le doit au western dans ce merveilleux film de Elliot Silverstein (Un homme nommé cheval, 1969), suivi par deux autres films inégaux, 1976, La Revanche d'un homme nommé cheval (The Return of a Man Called Horse, Irvin Kershner), 1982, Le Triomphe d'un homme nommé cheval (John Hough).
Il était très bien aussi en mercenaire humanisé dans le film Les Oies sauvages, 1978(The Wild Geese, Andrew McLaglen) aux côtes de Richard Burton, Roger Moore, Hardy Gruger et Stewart Granger.
La fin de sa carrière se termina par le rôle du professeur Albus Dumbledore dans les adaptations du sorcier Harry Potter.
Richard Harris etait par ailleurs un poéte de valeur.
*Les festivals de Cannes, Moscou et Prague.
** Dispo en dvd zone 2 dans les bacs.
Quelques photos pour illustrer.
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Une carrière dont le destin a semble-t-il été soumis aux caprices de son affection pour la dive bouteille.
C'est à lui que l'on eût été inspiré de confier le rôle de Fletcher Christian dans le remake des Révoltés du Bounty, et non pas à Brando qui s'y montre mauvais comme un cochon.
L'intensité de son jeu aurait fait merveille.
C'est à lui que l'on eût été inspiré de confier le rôle de Fletcher Christian dans le remake des Révoltés du Bounty, et non pas à Brando qui s'y montre mauvais comme un cochon.
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Pour ceux que ça intéresse ci-après critique du film "Traître sur commande" avec Richard Harris et Sean Connery.
http://www.dvdrama.com/rw_fiche-4178-.php
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Je m'apprétais à le souligner. Excellent casting, et excellente interprétation, Richard Harris compris donc.bogart a écrit :Il composait un English Bob très savoureux dans l'excellent western de Clint Eastwood "Impitoyable"
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?
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Lord Henry a écrit :Un autre film à distinguer: Juggernaut (1974), dans lequel Richard Lester décline à sa façon le genre en vogue à l'époque du film catastrophe. Ici, l'économie de moyens prévaut, la tension est privilégiée au spectaculaire, et le résultat surclasse les pitreries d'Irwin Allen et consorts.
Effectivement, Terreur sur le britanic (traduction française) traite habilement l'angoisse spoiler une bombe est cachée sur le navire jusqu'au dénouement final.
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Visionnage de Cromwell (film que je ne connaissais pas) de Ken Hughes avec Richard Harris et Alec Guinness.
Cette grande fresque historique anglaise relate la lutte entre Cromwell (Richard Harris) et son souverain, le roi Charles 1er (Alec Guinness).
Décors, costumes et batailles permettent au spectateur de plonger avec délice dans cette Angleterre de 1641.
En outre, les deux comédiens principaux investissent chacun à leur manière la personnalité ambiguë et complexe de ces deux grands hommes.
Cette grande fresque historique anglaise relate la lutte entre Cromwell (Richard Harris) et son souverain, le roi Charles 1er (Alec Guinness).
Décors, costumes et batailles permettent au spectateur de plonger avec délice dans cette Angleterre de 1641.
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Je crois que le film sort bientôt en zone 2, il a aussi joué dans LES CANONS DE NAVARONEbogart a écrit :Visionnage de Cromwell (film que je ne connaissais pas) de Ken Hughes avec Richard Harris et Alec Guinness.
Cette grande fresque historique anglaise relate la lutte entre Cromwell (Richard Harris) et son souverain, le roi Charles 1er (Alec Guinness).
Décors, costumes et batailles permettent au spectateur de plonger avec délice dans cette Angleterre de 1641.
En outre, les deux comédiens principaux investissent chacun à leur manière la personnalité ambiguë et complexe de ces deux grands hommes.
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frédéric a écrit :Je crois que le film sort bientôt en zone 2, il a aussi joué dans LES CANONS DE NAVARONEbogart a écrit :Visionnage de Cromwell (film que je ne connaissais pas) de Ken Hughes avec Richard Harris et Alec Guinness.
Cette grande fresque historique anglaise relate la lutte entre Cromwell (Richard Harris) et son souverain, le roi Charles 1er (Alec Guinness).
Décors, costumes et batailles permettent au spectateur de plonger avec délice dans cette Angleterre de 1641.
En outre, les deux comédiens principaux investissent chacun à leur manière la personnalité ambiguë et complexe de ces deux grands hommes.
C'est un zone 2 !!
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Découvert sur RTL 9 la suite du film 'Un homme nommé cheval" La revanche d'un homme nommé cheval de I. Kershner (1976) .
J'avais apprécié le premier par son originalité (un lord anglais était capturé par des sauvages et finissait par devenir un des leurs) Ce western tourné en 69 déteignait dans le paysage westernien, ce qui en faisait son charme.
Cette suite tournée en 76 avec de nouveau Richard Harris en aristocrate anglais se contente de reprendre la recette du premier (cérémonie, rituel et courage) en y ajoutant une lutte contre les blancs.
J'avais apprécié le premier par son originalité (un lord anglais était capturé par des sauvages et finissait par devenir un des leurs) Ce western tourné en 69 déteignait dans le paysage westernien, ce qui en faisait son charme.
Cette suite tournée en 76 avec de nouveau Richard Harris en aristocrate anglais se contente de reprendre la recette du premier (cérémonie, rituel et courage) en y ajoutant une lutte contre les blancs.