Linda Darnell (1923-1965)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
-
- Réalisateur
- Messages : 6526
- Inscription : 25 févr. 04, 10:14
Copier / coller de mon top juillet 2004
1947 Ambre (Forever Amber, O. Preminger).
1948 Chaînes conjugales (A Letter to Three Wives, Joseph L. Mankiewicz).
1946 La Poursuite Infernale (My Darling Clementine, John Ford)
1948 Infidèlement votre (Unfaithfully Yours, Preston Sturges)
1952 Barbe noire, Le Pirate (Blackbeard the Pirate, Raoul Walsh). Ah! Linda Darnell en technicolor
De cette sélection, il me manque encore et toujours "Ambre" en DVD (toujours pas prévu dans le calendrier 2005 )
1947 Ambre (Forever Amber, O. Preminger).
1948 Chaînes conjugales (A Letter to Three Wives, Joseph L. Mankiewicz).
1946 La Poursuite Infernale (My Darling Clementine, John Ford)
1948 Infidèlement votre (Unfaithfully Yours, Preston Sturges)
1952 Barbe noire, Le Pirate (Blackbeard the Pirate, Raoul Walsh). Ah! Linda Darnell en technicolor
De cette sélection, il me manque encore et toujours "Ambre" en DVD (toujours pas prévu dans le calendrier 2005 )
-
- Doublure lumière
- Messages : 328
- Inscription : 17 déc. 04, 22:07
- Contact :
Wall of Voodoo Fan a écrit :Holala ! Le 22 février 2005, va sortir une édition zone 1 de "A Letter To Three Wifes", avec un commentaire audio et un documentaire sur Linda Darnell intitulé : "Linda Darnell : Hollywood's fallen angel". Et dire que je viens d'acheter l'édition Carlotta.
Je ne regrette pas d'avoir acheté le coffret Manckiewicz chez Carlotta (Jaaaaames), quand je pense que je vais devoir me passer de ce documentaire !
Mon top, pas très original, est :
- "A letter to 3 wives" : rayonnante de féménité, de grâce, avec un petit côté tragique car c'est elle, la femme presque-trompée. Son rôle de gold-digger, mais bonne fille au fonds, est très bien mené (il n'y a qu'à voir Barbara Bel Geddes dans "Caught", un rôle à peu près similaire du moins au début, qui n'arrive pas à vraiment l'habiter).
- Tous les Preminger (il n'y a que "Ambre" que j'ai jamais vu)
- "Unfaithfully yours" de Sturges.
- "Hangover square" de Brahm.
Il paraît que dans "Ambre" elle est blonde, est-ce vrai ? Sur la page précédente, vous écrivez que c'est sorti dans la collection VHS FNAC/FOX dans les années 90, grrrrr comment j'ai pu le rater !
Banane
-
- Machino
- Messages : 1092
- Inscription : 30 nov. 04, 15:00
- Localisation : Tijuana ?
Oui, oui, en anglais (et sûrement non sous-titré, quand on connait les autres films sortis en zone 1 chez Fox Studio).kim a écrit :J'imagine que le documentaire sur Linda du DVD Z1 est en anglais, auquel cas je ne loupe rien , à moins d'un sous-titrage.
I wish I was in Tijuana, eating barbequed Iguana, I'd take requests on the telephone, I'm on a wavelength far from home. I'm on a Mexican Radio, I'm on a Mexican, woaa Radio !
Gros UP pour ce topic en raison du coup de coeur/portrait écrit Kim pour cette actrice belle et sensible, mis en ligne aujourd'hui sur le site.
LINDA DARNELL
LINDA DARNELL
- k-chan
- squatteur
- Messages : 14287
- Inscription : 16 avr. 05, 05:22
- Localisation : on the road again.
Je n'ai vu que ( ) A letter to three wives/Chaines conjugales de Mankiewicz, grâce au coffret que j'ai acheté.
Lorsque j'ai vu cet excellent film, j'ai été fortement ébloui par la beauté de cette actrice. Je me suis dit : "Mince !! C'est qui cette déesse ? Connaissais pas !"
J'ai remarquais après ça qu'elle a joué dans de grands films.
Bien que je n'en n'ai vu qu'un, je suis un peu en adoration pour elle, même si je n'avais pas pris la peine de m'attarder à connaître sa vie. J'ai donc appris ici qu'elle eu une fin tragique, cela prématurément.
C'est franchement triste !
Lorsque j'ai vu cet excellent film, j'ai été fortement ébloui par la beauté de cette actrice. Je me suis dit : "Mince !! C'est qui cette déesse ? Connaissais pas !"
J'ai remarquais après ça qu'elle a joué dans de grands films.
Bien que je n'en n'ai vu qu'un, je suis un peu en adoration pour elle, même si je n'avais pas pris la peine de m'attarder à connaître sa vie. J'ai donc appris ici qu'elle eu une fin tragique, cela prématurément.
C'est franchement triste !
- AlexRow
- The cRow
- Messages : 25590
- Inscription : 27 mars 05, 13:21
- Localisation : Granville (50)
- Contact :
- Supfiction
- Charles Foster Kane
- Messages : 22176
- Inscription : 2 août 06, 15:02
- Localisation : Have you seen the bridge?
- Contact :
- Watkinssien
- Etanche
- Messages : 17106
- Inscription : 6 mai 06, 12:53
- Localisation : Xanadu
- Supfiction
- Charles Foster Kane
- Messages : 22176
- Inscription : 2 août 06, 15:02
- Localisation : Have you seen the bridge?
- Contact :
Il est assez surprenant que cette merveilleuse actrice n'est pas passé la posterité. Elle est parfaite dans tous ses films. Dans les films noirs elle me fait penser à Lana Turner en brune, mais elle sait egalement jouer la comedie.
Les mauvaises langues disent souvent que certains "immortels" (tel Marylin et James Dean, ou Natalie Wood) beneficient de leur côté mort tragique en pleine gloire.. on peut se demander pourquoi ce n'a jamais été le cas pour Linda. Je ne sais pas qu'elle etait exactement sa côte de son vivant. Peut-être n'avait-elle pas encore atteint le statut de star faute de premiers rôles importants.
Pour ma part, je l'ai decouvert dans "C'est arrivé demain" et depuis je recherche assidument ses films disponibles en dvd.. Trop peu nombreux malheureusement. Sniff.
Esperons que LA PORTE S'OUVRE, ARENES SANGLANTES et AMBRE sortent prochainement en zone 2.
Mon top est donc son integrale zone 2 ..
C'est arrivé demain
Infidelement votre
Fallen Angel
A letter to 3 wives
My darling clementine
Zorro
Barbe noire
Les mauvaises langues disent souvent que certains "immortels" (tel Marylin et James Dean, ou Natalie Wood) beneficient de leur côté mort tragique en pleine gloire.. on peut se demander pourquoi ce n'a jamais été le cas pour Linda. Je ne sais pas qu'elle etait exactement sa côte de son vivant. Peut-être n'avait-elle pas encore atteint le statut de star faute de premiers rôles importants.
Pour ma part, je l'ai decouvert dans "C'est arrivé demain" et depuis je recherche assidument ses films disponibles en dvd.. Trop peu nombreux malheureusement. Sniff.
Esperons que LA PORTE S'OUVRE, ARENES SANGLANTES et AMBRE sortent prochainement en zone 2.
Mon top est donc son integrale zone 2 ..
C'est arrivé demain
Infidelement votre
Fallen Angel
A letter to 3 wives
My darling clementine
Zorro
Barbe noire
- Major Dundee
- Producteur Exécutif
- Messages : 7097
- Inscription : 15 mai 06, 13:32
- Localisation : Bord de la piscine de "Private Property"
Mon top 10
Mark of Zorro (Mamoulian) 1940
Buffalo Bill (Wellman) 1944
Fallen angel (Preminger) 1945
My darling Clémentine (Ford) 1946
Ambre (Preminger) 1947 (c'est peut-être celui où je la préfère.
A letter to three wives (Mankiewicz) 1949
Two flag west (Wise) 1950
No way out (Mankiewicz) 1950
Blackbeard the pirate (Walsh) 1952
Second chance (Mate) 1953
Je suis loin d'avoir tout vu malheureusement, mais elle était vraiment superbe!
J'aimerais surtout voir Hangover square et Blood and sand
Mark of Zorro (Mamoulian) 1940
Buffalo Bill (Wellman) 1944
Fallen angel (Preminger) 1945
My darling Clémentine (Ford) 1946
Ambre (Preminger) 1947 (c'est peut-être celui où je la préfère.
A letter to three wives (Mankiewicz) 1949
Two flag west (Wise) 1950
No way out (Mankiewicz) 1950
Blackbeard the pirate (Walsh) 1952
Second chance (Mate) 1953
Je suis loin d'avoir tout vu malheureusement, mais elle était vraiment superbe!
J'aimerais surtout voir Hangover square et Blood and sand
-
- Assistant(e) machine à café
- Messages : 164
- Inscription : 15 juil. 08, 20:45
Re: Top 5 "Linda Darnell"
Elle etait absolument sublime, d'une beauté exceptionnelle, mon actrice americaine preferée, sa fin est completement bouleversante, j'ai toujours de l'emotion en revoyant ses films, les roles d'Ambre et de Chihuahua sont les 2 plus grands de sa carriere, un top 5.
1 La poursuite infernele
2 C'est arrivé demain
3 Ambre
4 Chaines conjugales
5 Infidelement votre
1 La poursuite infernele
2 C'est arrivé demain
3 Ambre
4 Chaines conjugales
5 Infidelement votre
Vous conviendrez qu'il vaut mieux arroser quelqu'un que de l'assassiner. Fernando Rey : Cet obscur objet du désir.
- Cathy
- Producteur Exécutif
- Messages : 7321
- Inscription : 10 août 04, 13:48
- Contact :
Re: Linda Darnell (1923-1965)
Second Chance, Passion sous les tropiques (1953)
Clare Shepperd ancienne petite amie d'un bandit doit témoigner contre lui, c'est sans compter sur un tueur à gages Capy Gordon qui la poursuit et Russ Lambert, un boxeur qui la protège.
Nous sommes dans la trame du film noir classique, avec une femme ou un homme qui doit témoigner contre un magnat du crime et qui a à ses trousses un tueur qui doit le (la) supprimer pour éviter son témoignage et la prison. Rudolf Maté renouvelle un peu les ficelles du genre en mêlant exotisme et surtout une forme de film catastrophe avec cette fameuse scène du téléphérique ! Exotisme certes de pacotille peut-être mais dépaysant avec cette espèce de piton où une petite ville est nichée, petite ville heureuse qui ne célèbre que mariage et naissance et se voit tout fois le théâtre d'un crime, certes, il y a aussi un côté touristique avec le Toro de Fuego, les costumes, la musique, mais il est très vite oublié au profit de cette "poursuite".
Ici deux parties bien distinctes sont mises en évidence, la présentation des personnages dans cette petite ville située au Mexique, où l'on nous montre cette jeune femme poursuivie, le boxeur en quête de reconquête, personnage fêlé car il a tué accidentellement un boxeur dans un combat, et puis naturellement ce tueur antipathique, presque caricatural. Puis il y a cette seconde partie avec cette montée vers le "bonheur" et cette ville, la présentation sans qu'on le sache de tous ceux qui seront dans le téléphérique comme dans tout film catastrophe qui se respecte, la mise en place de la romance, mais aussi l'ombre du tueur. Le point fort du film est naturellement cette grande scène catastrophe dans cette cabine suspendue dans le vide. Le film n'est certes pas un chef d'oeuvre, mais il possède un charme indéniable, déjà avec la beauté de Linda Darnell, magnifique en proie, Robert Mitchum qui est comme souvent le héros un peu brute et nonchalant et surtout Jack Palance, avec son visage si particulier et qui campe un tueur aux deux facettes. Dommage que les couleurs soient si horribles, est-ce du à la copie diffusée à la télévision qui a mal vieilli ou aux véritables couleurs d'origine, car avec un technicolor eblouissant, le film serait encore plus dépaysant.
Clare Shepperd ancienne petite amie d'un bandit doit témoigner contre lui, c'est sans compter sur un tueur à gages Capy Gordon qui la poursuit et Russ Lambert, un boxeur qui la protège.
Nous sommes dans la trame du film noir classique, avec une femme ou un homme qui doit témoigner contre un magnat du crime et qui a à ses trousses un tueur qui doit le (la) supprimer pour éviter son témoignage et la prison. Rudolf Maté renouvelle un peu les ficelles du genre en mêlant exotisme et surtout une forme de film catastrophe avec cette fameuse scène du téléphérique ! Exotisme certes de pacotille peut-être mais dépaysant avec cette espèce de piton où une petite ville est nichée, petite ville heureuse qui ne célèbre que mariage et naissance et se voit tout fois le théâtre d'un crime, certes, il y a aussi un côté touristique avec le Toro de Fuego, les costumes, la musique, mais il est très vite oublié au profit de cette "poursuite".
Ici deux parties bien distinctes sont mises en évidence, la présentation des personnages dans cette petite ville située au Mexique, où l'on nous montre cette jeune femme poursuivie, le boxeur en quête de reconquête, personnage fêlé car il a tué accidentellement un boxeur dans un combat, et puis naturellement ce tueur antipathique, presque caricatural. Puis il y a cette seconde partie avec cette montée vers le "bonheur" et cette ville, la présentation sans qu'on le sache de tous ceux qui seront dans le téléphérique comme dans tout film catastrophe qui se respecte, la mise en place de la romance, mais aussi l'ombre du tueur. Le point fort du film est naturellement cette grande scène catastrophe dans cette cabine suspendue dans le vide. Le film n'est certes pas un chef d'oeuvre, mais il possède un charme indéniable, déjà avec la beauté de Linda Darnell, magnifique en proie, Robert Mitchum qui est comme souvent le héros un peu brute et nonchalant et surtout Jack Palance, avec son visage si particulier et qui campe un tueur aux deux facettes. Dommage que les couleurs soient si horribles, est-ce du à la copie diffusée à la télévision qui a mal vieilli ou aux véritables couleurs d'origine, car avec un technicolor eblouissant, le film serait encore plus dépaysant.
Dernière modification par Cathy le 19 mai 10, 12:37, modifié 1 fois.
Mon blog : http://leblogdecathy.over-blog.fr/
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
- Messages : 99608
- Inscription : 12 avr. 03, 22:22
- Localisation : Contrebandier à Moonfleet
Re: Linda Darnell (1923-1965)
Je viens justement de voir coup sur coup Brigham Young et Le signe de Zorro ; je l'ai trouvé d'une sidérante beauté ! Dommage qu'elle ne soit pas mieux employée (plus longuement surtout) dans le second. Du coup, j'ai hâte de la revoir dans My Darling Clementine.
- Cathy
- Producteur Exécutif
- Messages : 7321
- Inscription : 10 août 04, 13:48
- Contact :
Re: Linda Darnell (1923-1965)
Si ma moitié savait ça, Everybody does it (1949) - Edmund Goulding
L'épouse d'un homme a décidé de se mettre au chant et est persuadée avoir du talent. En réalité, le mari s'avère être un véritable ténor et sous la férule d'une grande cantatrice entame en cachette une carrière de chanteur.
Edmund Goulding signe ici une comédie qui repose sur son casting quatre étoiles composé de Celeste Holm, Paul Douglas, Charles Coburn et Linda Darnell. Le film n'est pas inoubliable, mais il est sympathique ne serait-ce que grâce à Paul Douglas qui se retrouve confronté à son "épouse" de Chaines conjugales Linda Darnell. Si le film met un peu de temps à démarrer, il trouve son rythme quand l'épouse découvre le talent caché de son mari et naturellement la grande scène de l'Opéra où la bonhommie et la sympathie de Paul Douglas font le reste. Linda Darnell y est supêrbe comme à son habitude, notamment dans sa tenue de cantatrice, Celeste Holm tout à fait charmante, Charles Coburn est quelque peu sous employé, pas un grand film, mais une comédie sympathique !
L'épouse d'un homme a décidé de se mettre au chant et est persuadée avoir du talent. En réalité, le mari s'avère être un véritable ténor et sous la férule d'une grande cantatrice entame en cachette une carrière de chanteur.
Edmund Goulding signe ici une comédie qui repose sur son casting quatre étoiles composé de Celeste Holm, Paul Douglas, Charles Coburn et Linda Darnell. Le film n'est pas inoubliable, mais il est sympathique ne serait-ce que grâce à Paul Douglas qui se retrouve confronté à son "épouse" de Chaines conjugales Linda Darnell. Si le film met un peu de temps à démarrer, il trouve son rythme quand l'épouse découvre le talent caché de son mari et naturellement la grande scène de l'Opéra où la bonhommie et la sympathie de Paul Douglas font le reste. Linda Darnell y est supêrbe comme à son habitude, notamment dans sa tenue de cantatrice, Celeste Holm tout à fait charmante, Charles Coburn est quelque peu sous employé, pas un grand film, mais une comédie sympathique !
Mon blog : http://leblogdecathy.over-blog.fr/