Roy Neary a écrit :C'est une belle histoire James, la rencontre avec Hemingway !
Mon grand-père, lui, était simplement poursuivi par les Nazis et il n'a rien trouvé d'autre à faire pour rester en vie que d'aller combattre en Espagne avec les Républicains en laissant sa famille s'inquiéter pendant des annés sans aucune nouvelle A une époque, être idéaliste ça voulait dire accepter le risque de se faire massacrer pour ses idées.
Ce que je n'ai pas dit,et je pense que cela n'intérreseras personne c'est que mon grand-père espagnol de naissance mais aussi juif,et quand il s'enfuiya d'espagne il fut prit par la police francaise et fut envoyé dans le camp de bergen-belsen en allemagne avant de s'en echappez,il rejoignit les force francaise libre et termina sa carrière de combattant dans le 1er regiment de legion etrangère et termina au tonkin sa campagne dans l'armeé francaise,il se sentit plus francais et s'est toujours depuis ce jour considérez comme tels.
Son nom figure dans la stelle des combattenat du 1er rgt au museé de la legion d'aubagne
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
Si si, moi je trouve ça plus qu'intéressant. Et ça en fait des choses en commun puisque mon grand-père, après la Guerre d'Espagne s'est enrôlée dans la brigade juive intégrée à l'armée Britannique pour combattre les Nazis.
Roy Neary a écrit :Si si, moi je trouve ça plus qu'intéressant. Et ça en fait des choses en commun puisque mon grand-père, après la Guerre d'Espagne s'est enrôlée dans la brigade juive intégrée à l'armée Britannique pour combattre les Nazis.
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
james a écrit :Souvenir imperissable de ma memoire que ce "pour qui sonne le glas" nostalgie personnel,car mon grand-père fut un combattant pour la democratie en espagne durant cette periode :
Nous avons une chose en commun.
messieurs je salue bien bas vos grands pères respectifs ( et je pèse mes mots) mais cependant, je ne souscris pas à votre sentiment enthousiaste pour ce film. je trouve d'ailleurs que le beau roman d'Hemingway a été édulcoré, voire émasculé. c'est howard hawks qui aurait dû réaliser le film mais...
pour ambush, je veux le voir. d'après tavernier, mann aurait réalisé le début ( du moins est-ce l'hypothèse qu'il formule devant la qualité du début: bertrand goûte peu sam wood)
Roy Neary a écrit :
Nous avons une chose en commun.
messieurs je salue bien bas vos grands pères respectifs ( et je pèse mes mots) mais cependant, je ne souscris pas à votre sentiment enthousiaste pour ce film. je trouve d'ailleurs que le beau roman d'Hemingway a été édulcoré, voire émasculé. c'est howard hawks qui aurait dû réaliser le film mais...
pour ambush, je veux le voir. d'après tavernier, mann aurait réalisé le début ( du moins est-ce l'hypothèse qu'il formule devant la qualité du début: bertrand goûte peu sam wood)
Un merci pour nos grand-père,concernant cet ecxellent western et sans pretention aucune viens ecouté james et non notre amis tavernier
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
EMBUSCADE de Sam Wood
La série de bonnes découvertes ne pouvait pas durer, il fallait bien que ça arrive. Ici Sam Wood privilégie pendant les 2/3 du film, au moins, une intrigue à base de romances et de combats de coqs portant des uniformes. Ca pourrait se passer dans un western comme dans une comédie, etc... Donc ça s'éternise et finit par me lasser. Heureusement, après la partie réservée aux spectatrices, vient la séquence finale, la séquence "action", pour nous les spectateurs, qui rehausse un peu le tout, filmé dans de beaux décors naturels (normal c'est un western ça fait partie du genre), avec comme dans FORT BRAVO une séquence d'embuscade par les indiens plutôt crédible mais très courte.
A noter la toute fin, qui devrait être un happy end mais qui reste quand même très sobre, et pas vraiment joyeuse: on vient quand même de massacrer une cinquantaine de soldats US. Ca valait bien un scène finale devant le drapeau...
J'ai préféré Robert Taylor dans d'autres westerns comme LE TRESOR DU PENDU ou le magnifique CONVOI DE FEMMES (un de mes préférés de tous les temps).
Vu hier Le convoi maudit avec la belle Arlene Dahl (toujours maquillée à la perfection même en plein désert), j'espère découvrir cet Embuscade dans la prochaine cuvée Warner Archives France..
A une époque, être idéaliste ça voulait dire accepter le risque de se faire massacrer pour ses idées.
