l'année dernière y'avait pas en été?Alexandre Angel a écrit :Quand je pense que les CDM estivaux faisaient ma joie d'une manière toute particulière (je me souviens de cycles que l'ambiance de l'été rendait plus goûteux encore..).frédéric a écrit :
?? Quoi, c'est une blague ? Ils interrompt déjà l'émission ? .
Je veux dire si tôt.
Cinéma de Minuit
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
Non c'était la première année sans...martinbrady a écrit :l'année dernière y'avait pas en été?Alexandre Angel a écrit : Quand je pense que les CDM estivaux faisaient ma joie d'une manière toute particulière (je me souviens de cycles que l'ambiance de l'été rendait plus goûteux encore..).
Sinon tout pareil qu'Alexandre Angel. j'ai de grand souvenirs d'été du cinéma de minuit que ce soit enfant, adolescent ou il y a pas très longtemps encore... C'était sympa de terminer une bonne petite soirée estivale avec un film à découvrir au cinéma de minuit... Je me souviens de cycles Warner (2008?, 2016) Richard Thorpe (1987) avec Le prisonnier de Zenda , Vincente Minneli (1996) avec Thé et sympathie et Quinze jours ailleurs ou Hitchcock à la télévision avec l'intégrale de ses courts-métrages TV (1995, si je ne me trompe pas). Et puis il y a cette belle découverte que fut La fille et le général de Pascale Festa Campanile et que j'aimerai beaucoup revoir. Et tant d'autres...
Toute chose a une fin. C'est déjà fantastique que le rendez-vous m'ait accompagné plus de trente ans, en différents âges et en différents lieux.
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
J'ai en mémoire (qui me vient là, maintenant) un cycle Richard Brooks début juillet 97 qui m'avait fait de l'effet, avec des raretés à l'époque comme Cas de conscience ou la VO des Frères Karamazov.
Bon on va pas se mettre à pleurer, hein..
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Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
NonAlexandre Angel a écrit : Bon on va pas se mettre à pleurer, hein..
Qu'il y ait encore l'année prochaine le Cinéma de minuit, ce sera déjà bien. Et s'il y a 6-7 films qui m'intéressent sur la période et avec des copies convenables, ce sera encore mieux...
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
Je n'ai pas malheureusement réussi à passer plus de 45 minutes sur le film Le Dibbouk, quel ennui pour ma part, je ne sais pas ce qu'à fumé avoir-alire sur leur critique, mais je ne m'y retrouve pas du tout, à part sur l'esthétisme je n'ai rien à reprocher au film; Qui l'a vu ?
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
C'est intéressant à plus d'un titre.Addis-Abeba a écrit :Je n'ai pas malheureusement réussi à passer plus de 45 minutes sur le film Le Dibbouk, quel ennui pour ma part, je ne sais pas ce qu'à fumé avoir-alire sur leur critique, mais je ne m'y retrouve pas du tout, à part sur l'esthétisme je n'ai rien à reprocher au film; Qui l'a vu ?
D'abord il y a une émotion : on regarde ces comédiens juifs polonais de 1937 et on se dit que peu d'entre eux vont survivre.
Ensuite, c'est un document sur tout un folklore yiddish fantastique et spectral qu'on connaît peu : sinon à travers la (fort belle) séquence de rêve d' Un Violon sur le toit (Norman Jewison, 1972) ou le prologue d' A serious man, des frères Coen, et aussi, d'une certaine manière , dans Le Bal des Vampires, de Polanski.
Et puis, il y a une photo, une vraie tenue plastique.
Une fois qu'on a dit ça, oui, c'est assez chiant
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
A peu près pareil, c'est pas inintéressant et il y'a de bonnes choses, mais il faut accepter le rythme et l'âge de l'ensemble qui peut ennuyer.
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
Découvert lors d'une sortie salles en 80/81. J'avais bien aimé (avoir lu et apprécié les récits d'Isaac Bashevis Singer a dû aider...). Alors oui, la forme a vieilli, mais on pourrait en dire autant de bien des films de cette époque (quelle que soit leur origine). L'histoire est touchante, finalement universelle derrière la tradition locale (amours contrariées, promesses non tenues, etc...).
Se rajoute à cela, en effet, l'émotion de découvrir un film comme revenu de l'au-delà : la plupart des participants à ce film ont disparu pendant la guerre. Leurs films aussi d'ailleurs : une grande partie des films en yiddish de cette époque qu'on peut voir maintenant sont des productions américaines.
J'ignore par ailleurs tout d'une éventuelle production en yiddish en Europe à cette époque, hors de Pologne.
Se rajoute à cela, en effet, l'émotion de découvrir un film comme revenu de l'au-delà : la plupart des participants à ce film ont disparu pendant la guerre. Leurs films aussi d'ailleurs : une grande partie des films en yiddish de cette époque qu'on peut voir maintenant sont des productions américaines.
J'ignore par ailleurs tout d'une éventuelle production en yiddish en Europe à cette époque, hors de Pologne.
Dernière modification par aelita le 29 mai 18, 23:02, modifié 2 fois.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
Bon vous m'avez convaincu, je vais le finir et effectivement je ne l'avais pas vu sous le sens des probables disparitions durant la guerre, j'ai posté exprès pour être poussé,motivé, merci à vous trois.
D'ailleurs je me suis très très mal exprimé, j'aime bien l'esthétisme du film, c'est l'histoire et surtout les dialogues qui m'ont paru poussif.
D'ailleurs je me suis très très mal exprimé, j'aime bien l'esthétisme du film, c'est l'histoire et surtout les dialogues qui m'ont paru poussif.
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
Alexandre Angel a écrit : Une fois qu'on a dit ça, oui, c'est assez chiant
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
J'ai vu les dix premières minutes avant de piquer grave du nez et de filer au lit.
A première vue, les Ulmer yiddish sont d'un meilleur niveau (qui étaient rarement très stimulant )
Je vais tenter la suite mais je sens qu'il va falloir des rails de vitamine C avant.
A première vue, les Ulmer yiddish sont d'un meilleur niveau (qui étaient rarement très stimulant )
Je vais tenter la suite mais je sens qu'il va falloir des rails de vitamine C avant.
Dernière modification par bruce randylan le 30 mai 18, 00:07, modifié 1 fois.
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
J'attends l'éventuelle résurrection des films d'Ulmer en yiddish.aelita a écrit :Leurs films aussi d'ailleurs : une grande partie des films en yiddish de cette époque qu'on peut voir maintenant sont des productions américaines.
Bah oui, quoi, j'ai du me mettre des tapes à plusieurs reprises pour aller au bout Alors certes, j'étais fatigué l'autre jour mais quand je l'ai vu au Ciné-Club d'Antenne 2 en 81 ou 82 (Karras?), ça ne m'avait pas passionné (mais là, je n'avais qu'une quinzaine d'années).martinbrady a écrit :Alexandre Angel a écrit : Une fois qu'on a dit ça, oui, c'est assez chiant
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
J'ai vu le film au Festival Lumiere il y a deux ans, et comme la plupart d'entre vous, j'etais melé entre sommeil et ennui (et je l'ai vu en apres-midi), sans vraiment trouvé ça mauvais, juste tres chiant...
c'est pas malin de voir ce film à 0h30
c'est pas malin de voir ce film à 0h30
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
Je ne l'ai pas vu à 00h30, mais on a un peu tous le même avis, mais je vais me battre comme un lionceau pour le finir
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Re: Cinéma de minuit : cycle en cours
Bon après faut pas non plus exagérer : c'est pas non plus le film le plus chiant du monde . C'est un document inestimable sur une culture qui allait être balayée par la catastrophe que l'on sait. Le film a de l'intérêt cinématographique mais c'est sûr que ce n'est pas son chef monteur qui aurait pu être nominé aux Oscars.Addis-Abeba a écrit :Je ne l'ai pas vu à 00h30, mais on a un peu tous le même avis, mais je vais me battre comme un lionceau pour le finir
Je l'ai dans le coffret Lobster et c'est le seul que j'ai vu car c'est le seul que je connaissais.
Cette discussion me fera voir incessamment les autres (et on ne pouffe pas ).
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