Cecil B. DeMille (1881-1959)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

Avatar de l’utilisateur
Cathy
Producteur Exécutif
Messages : 7321
Inscription : 10 août 04, 13:48
Contact :

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Cathy »

Pacific Express, Union Pacific (1939)

Image

L'évocation de la construction de la ligne de Chemin de Fer qui doit traverser d'Est en Ouest les USA.

Cecil B deMille réalise son deuxième grand western parlant après Une aventure de Buffalo Bill. Force est de constater que Cecil B de Mille, une fois encore réalise une grande aventure pleine de souffle, avec ces grandes scènes comme seul lui sait les réussir. Il mêle naturellement histoire d'amour avec cette jeune femme partagée entre l'ingénieur qui vient superviser les travaux et un escroc qui cherche à saboter les travaux d'avancement. Comme souvent chez DeMille, le film met un peu de temps à démarrer, le temps de présenter les différents acteurs de l'aventure, mais une fois la construction de la ligne démarrée, les scènes s'enchainent.
Il reprendra de manière plus approfondie le déraillement d'un train dans Sous le plus grand chapiteau du monde, mais les deux "petits" qu'il nous offre sont magnifiquement réalisés, notamment le second dans la neige, tout comme cette attaque des indiens et leur vol ou encore cette poursuite suite à l'attaque du train. Toutefois les montures mécaniques sont un peu trop visibles. C'est assez curieux de voir d'ailleurs ce mélange d'idée qui nous montre des indiens barbares mais aussi ingénieux dans leurs attaques que ce soit celle du puits, ou celle du pont, par contre il nous les montre aussi particulièrement idiots quand ils dévalisent ces trains et harnachent leurs chevaux qui de longs morceaux de tissus, qui de corset ! D'ailleurs on se demande ce que deviennent les indiens, car l'intervention des tuniques bleues est plutôt anecdotique. Mais comme dans une aventure de Buffalo Bill, l'attaque des indiens est de toute beauté.
En tous les cas on admire toute la maîtrise de la narration dans cette scène du train où les trois protagonistes sont coincés dans un wagon et doivent se protéger. Assez curieux l'analogie entre la scène où Barbara Stanwyck entend arriver les secours avec le sifflet de la locomotive, et celle de Stagecoach où Louise Platt entend le clairon de la cavalerie tandis qu'un homme amoureux est prêt à les exécuter pour qu'elles ne soient pas torturées. Joel McCrea n'a pas l'humour et la distanciation de Gary Cooper, mais il n'en est pas moins le prototype du héros noble au grand coeur et remplit parfaitement bien son rôle, Barbara Stanwyck est peut-être un tout petit peu trop classe pour être une simple fille du chemin de fer, le plus attachant est certainement Robert Preston en canaille au sourire désarmant et qui permet au trio amoureux d'avoir un peu d'humour. Il y a aussi ces seconds rôles cocasses, ces scènes de bagarre, de saloon, ces méchants à têtes de méchant comme Anthony Quinn notamment qui font que l'on passe une fois encore un très bon moment devant ce qui est avant tout du pur divertissement, même si comme toujours chez deMille, le sujet est quasiment toujours basé sur la grande Histoire.
Avatar de l’utilisateur
Cathy
Producteur Exécutif
Messages : 7321
Inscription : 10 août 04, 13:48
Contact :

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Cathy »

Madam Satan (1930)

Image

Un couple est en crise, le mari veut quitter le foyer conjugal pour sa maîtresse et sa femme profite d'un bal masqué à bord d'un dirigeable pour essayer de le récupérer

Difficile de trouver la patte Cecil B de Mille dans le début de ce film qui est à la fois une comédie, une comédie musicale et un film catastrophe.Le film montre une comédie conjugale à l'ambiance plus que précode avec ces amis fêtards, avec le mari ivre qui entre le matin après une nuit en compagnie de sa maîtresse. On se retrouve dans une scène plus vaudevillesque et qui pourrait annoncer la screwball avec la réunion chez la maîtresse qui voit se réunir tous les protagonistes. On change du tout au tout avec le bal dans le dirigeable et la montée des invités grande scène de comédie musicale qui permet de montrer des tenues toutes plus folles les unes que les autres, aux noms suggestifs. La scène dans le dirigeable annonce aussi les grands tableaux musicaux de Busby Berkeley. Autre côté précode, la vente aux enchères des femmes sans autre but que d'être la Reine du bal. Le problème du film vient aussi que nous sortons du muet et cela se sent dans le jeu des acteurs qui ont tendance à surjouer excepté Roland Young ami complice et salvateur. Puis il y a naturellement cette scène de catastrophe avec la foudre qui frappe le dirigeable et l'évacuation de tous les invités en parachute, permettant des plans de dessous féminins qui semblent terriblement osés pour l'époque. Bien que le film soit un peu plus emballant dans les scènes complètement folles du dirigeable où on retrouve le goût de Cecil B deMille pour l'excessif, les comédiens sont assez mauvais dans l'ensemble, (Kay Johnson campe toutefois une Madam Satan assez impressionnante dans sa transformation). jouant avec cette emphase type du début du film parlant. Malgré le côté transgressif, nous restons toutefois dans la moralité où tout finit bien.

Image
Avatar de l’utilisateur
Roy Neary
Once upon a time...
Messages : 51384
Inscription : 12 avr. 03, 01:42
Liste DVD

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Roy Neary »

Aujourd'hui, mise en ligne de la chronique du DVD des Tuniques écarlates.
Le shérif Jeremy Fox est bien entendu aux commandes. :)

:arrow: Les Tuniques écarlates
Image
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99604
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Jeremy Fox »

Roy Neary a écrit :Aujourd'hui, mise en ligne de la chronique du DVD des Tuniques écarlates.
Le shérif Jeremy Fox est bien entendu aux commandes. :)

:arrow: Les Tuniques écarlates
Mise en ligne superbe comme de coutume ; merci à Cathy pour ses captures d'écran :wink:
Avatar de l’utilisateur
Cathy
Producteur Exécutif
Messages : 7321
Inscription : 10 août 04, 13:48
Contact :

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Cathy »

Jeremy Fox a écrit :
Roy Neary a écrit :Aujourd'hui, mise en ligne de la chronique du DVD des Tuniques écarlates.
Le shérif Jeremy Fox est bien entendu aux commandes. :)

:arrow: Les Tuniques écarlates
Mise en ligne superbe comme de coutume ; merci à Cathy pour ses captures d'écran :wink:
De rien :) ! En plus cela m'a donné envie de voir le film dans le cycle de Mille que je suis en train de me faire :) !
Avatar de l’utilisateur
Cathy
Producteur Exécutif
Messages : 7321
Inscription : 10 août 04, 13:48
Contact :

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Cathy »

Les tuniques écarlates, Northwest Mountain Police (1940)

Image

A la fin du 19ème siècle, les métis canadiens se révoltent pour avoir leur propre territoire, mais ils sont réprimés par les fameuses tuniques écarlates de la police montée Canadienne.

Comme toujours chez Cecil B deMille, le film commence par une courte introduction parlée qui place la situation de l'intrigue, ici Canada, les indiens, les métis, la révolte, et la fameuse Police montée. C'est le premier film en couleurs du réalisateur et la restauration effectuée par Wild Side rend hommage aux paysages et aux couleurs, mélange de couleurs froides opposé au rouge flamboyant des tuniques. Le film est un hommage à ces soldats, et c'est sans doute pourquoi Gary Cooper qui bien que héros du film n'apparaît qu'au bout de 20' et s'il a une des scènes clés du film n'est pas du tout omniprésent à l'écran contrairement à la police montée canadienne.

Contrairement à d'autres oeuvres du même cinéaste, on entre tout de suite dans le vif du sujet et l'introduction des différents personnages est assez rapides, d'abord les méchants de l'histoire puis les bons, les canadiens, et surtout le texan Dusty Rivers, cow boy qui tranche de la rigidité des soldats, par sa nonchalance et son côté "comique". En effet le personnage de Dusty est drôle, volontairement ou involontairement comme avec ses éperons. Gary Cooper prête tout son talent et son charisme à ce sympathique cow boy plein de courage et de drôlerie. Ici son personnage n'est pas que le héros justicier, que l'on attend mais aussi un personnage plein de loufoquerie. Il y a aussi les soldats, Preston Foster incarne parfaitement ce soldat droit dans ses bottes, conscient de sa mission et qui finira par se lâcher un peu à la fin, Robert Preston, un des interprètes fétiches de Cecil B deMille prête son charme à ce soldat inconscient, et puis il y a les deux femmes de l'histoire, Paulette Goddard qui comme souvent en fait des tonnes en jeune métisse, prête à tout pour sauver celui qu'elle aime et qui sera la clé destructrice des évènements et Madeleine Carroll l'opposée, pleine de charme et de sensibilité qui irradie littéralement à l'écran.

On retrouve tout ce qui fait deMille, des scènes pleines de bruit et d'action, des indiens toujours montrés avec leur duallité, une envie de rendre hommage à des pages glorieuses de l'Histoire, car DeMille, malgré son côté grand spectacle se base toujours sur l'histoire pour ses films.Les scènes d'action sont toujours aussi efficaces notamment la fameuse embuscade tendue aux soldats, ou la superbe scène de la destruction de la mitrailleuse, avec une cascade chevaline assez impressionnante. Ici la reconstitution du Canada est moins exagérée que celle de Rome ou de l'Egypte de ses précédents films, mais on apprécie ce mélange de toiles peintes et de décors naturels. Un film qui n'est curieusement pas très spectaculaire et qui est finalement plus basé sur les relations humaines entre les différents personnages, comme ce duel farfelu entre Akim Tamiroff et Lynne Overmann en irlandais qui semble sorti d'un John Ford. Une fois encore, du cinéma de pur divertissement qui permet aux spectateurs de s'évader.
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99604
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Jeremy Fox »

Cathy a écrit :Les tuniques écarlates, Northwest Mountain Police (1940)

mais on apprécie ce mélange de toiles peintes et de décors naturels.
Oui, si parfois ce mélange peut s'avérer gênant (quoique j'aime assez ça dans l'ensemble, j'y trouve du charme et une certaine magie), les toiles peintes sont magnifiques dans ce film.
Avatar de l’utilisateur
Cathy
Producteur Exécutif
Messages : 7321
Inscription : 10 août 04, 13:48
Contact :

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Cathy »

Jeremy Fox a écrit :
Cathy a écrit :Les tuniques écarlates, Northwest Mountain Police (1940)

mais on apprécie ce mélange de toiles peintes et de décors naturels.
Oui, si parfois ce mélange peut s'avérer gênant (quoique j'aime assez ça dans l'ensemble, j'y trouve du charme et une certaine magie), les toiles peintes sont magnifiques dans ce film.
On ne sent pas trop les toiles peintes, et les paysages de nature sont vraiment beaux, même ceux qui sont reconstitués en studio. En tous les cas, je suis en train de découvrir Robert Preston dont le charme opérait bien avant son rôle dans Victor, Victoria qui me l'a fait connaître :oops: ! Mais bon j'ai découvert ce film à sa sortie en salles ! Donc j'étais moins cinéphile que maintenant.
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99604
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Jeremy Fox »

Cathy a écrit : En tous les cas, je suis en train de découvrir Robert Preston dont le charme opérait bien avant son rôle dans Victor, Victoria qui me l'a fait connaître :oops: !

8)

Alors il est temps de voir Whispering Smith ; un de ses plus beaux rôles
Avatar de l’utilisateur
Cathy
Producteur Exécutif
Messages : 7321
Inscription : 10 août 04, 13:48
Contact :

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Cathy »

Jeremy Fox a écrit :
Cathy a écrit : En tous les cas, je suis en train de découvrir Robert Preston dont le charme opérait bien avant son rôle dans Victor, Victoria qui me l'a fait connaître :oops: !

8)

Alors il est temps de voir Whispering Smith ; un de ses plus beaux rôles
Il doit être diffusé prochainement dans le cadre de l'intégrale Alan Ladd sur TCM !
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99604
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Jeremy Fox »

Cathy a écrit :
Jeremy Fox a écrit :

8)

Alors il est temps de voir Whispering Smith ; un de ses plus beaux rôles
Il doit être diffusé prochainement dans le cadre de l'intégrale Alan Ladd sur TCM !
ah oui exact ; si la copie TCM est celle utilisée pour le DVD, un pur régal pour les yeux :)
Avatar de l’utilisateur
Cathy
Producteur Exécutif
Messages : 7321
Inscription : 10 août 04, 13:48
Contact :

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Cathy »

Les naufrageurs des mers du Sud, Reap the Wild wind (1942)

Image

Aux USA, au 19ème siècle, un avocat véreux Cutler organise le naufrage de navires de commerces, afin de récupérer leur cargaison. Lors d'un naufrage, Loxi, une jeune femme du Sud, sauve Jack Stuart du naufrage et en tombe amoureuse. Elle va plaider sa cause à Charleston et rencontre Steve Tolliver, qui tombe fou amoureux d'elle. Une rivalité s'installe entre les deux hommes, et le premier va commettre l'irréparable à savoir organiser le naufrage de son navire.

Cecil B de Mille réalise ici son deuxième film en technicolor, et après le western, se tourne vers le film d'aventures maritimes. Celà lui permet de reconstituer plusieurs naufrages de bateaux, l'évolution d'un steamboat, et surtout une magnifique dernière scène sous les mers avec un calmar géant (même si la tête de celui-ci sent son époque), une épave qui sombre, et deux scaphandriers (ceux-ci ne sont pas d'ailleurs sans rappeler une fois encore l'univers de la BD et cette fois-ci Tintin - visiblement DeMille a du fortement impressionné à l'époque). Cela ne l'empêche pas de réaliser aussi ses grandes scènes urbaines dans lesquelles il excelle. Nous sommes ici plus dans un film "intimiste" que dans un grand "barnum" à la Cecil B de Mille. On retrouve naturellement l'opulence des décors, des costumes qui sont absolument superbes et le technicolor sublime tout cela, notamment dans les scènes de bal ou de promenade. Curieusement le ton du film évoque beaucoup plus John Ford que le côté grandiloquent de De Mille. Il y a beaucoup d'humour dans les scènes de bagarre, notamment celle qui voit les trois héros confrontés aux hommes de main de Cutler, ou les scènes entre Tolliver et Loxi.

Sans doute cela est-ce aussi du à son interprète principal Ray Milland, si la bouclette ne lui sied pas forcément, il joue avec une sorte de second dégré jubilatoire ce personnage de "précieux" jeune homme qui sait donner du coup de poing. de la fessée, etc., tout en se promenant toujours avec Romulus, son toutou Il y a aussi une nouvelle fois Paulette Goddard dans le rôle féminin principal qui semble vouloir montrer avec ses robes à crinolines verte ou orange, ses "tirtititi" qu'elle aurait fait une parfaite Scarlett O Hara et dont le côté brut de decoffrage fait merveille dans ce rôle, même si elle n'évite pas comme d'habitude un peu de surjeu dans les émotions. Comment ne pas penser aussi à Scarlett quand on voit le caractère très fort de cette héroïne qui n'hésite pas à chanter des chansons de marin dans un salon de Charleston ! Et il y a John Wayne, rarement utilisé dans le rôle du méchant de l'histoire, mais qui est le parfait contre-poids de Ray Milland, dans ce rôle de marin frustre, peu réfléchi et peu sympathique (on se demande ce qu'aurait fait Gary Cooper de ce rôle). Raymond Massey est parfait en "salaud" de service, il a ce qu'on appelle la tête de l'emploi. Robert Preston joue encore une fois les salauds au grand coeur, comme dans les autre De Mille, et la toute jeune Susan Hayward est absolument charmante en cousine de Loxi au caractère aussi affirmé. Louise Beavers est une fois de plus idéale en mamma moralisatrice et pleine de bons sens.

Bref ce film semble un peu à part dans le ton donné, dans l'atmosphère, même s'il y a ces grandes scènes épiques, comme la fameuse scène finale, ce ne sont pas des scènes à nombre de figurants qui ressortent, mais ces confrontations plus sobres, cet humour assez omniprésent. Du bon gros divertissement plein de bruit et de fureur, d'amour et de haine, bref tout ce qui fait le bon gros cinéma Hollywoodien.
Dernière modification par Cathy le 6 juin 10, 20:16, modifié 1 fois.
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 99604
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Jeremy Fox »

Cathy a écrit :Sans doute cela est-ce aussi du à son interprète principal Ray Milland, si la bouclette ne lui sied pas forcément, il joue avec une sorte de second dégré jubilatoire ce personnage de "précieux" jeune homme qui sait donner du coup de poing, de la fessée.
J'ai l'impression que DeMille devait être un fétichiste de la fessée :mrgreen:
Sinon, bien d'accord avec toi ; un des très beaux films d'aventures hollywoodien, peut-être mon préféré du cinéaste avec The Plainsman
Bugsy Siegel
Accessoiriste
Messages : 1674
Inscription : 1 sept. 07, 17:42
Localisation : Flamingo Hotel

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Bugsy Siegel »

Cathy a écrit :Madam Satan (1930)
On peut se demander pourquoi ce film (que je rêve de voir en DVD) n'est même pas sorti dans le Warner Archive. :|
on faisait queue devant la porte des WC comme au ciné lors du passage de l'Atlantide à l'écran. Jean Ray, Hôtel de Famille, 1922
Avatar de l’utilisateur
Cathy
Producteur Exécutif
Messages : 7321
Inscription : 10 août 04, 13:48
Contact :

Re: Cecil B. DeMille (1881-1959)

Message par Cathy »

Bugsy Siegel a écrit :
Cathy a écrit :Madam Satan (1930)
On peut se demander pourquoi ce film (que je rêve de voir en DVD) n'est même pas sorti dans le Warner Archive. :|
Tout comme Samson et Dalila ! Incompréhensible. Au moins Madam Satan a été diffusé deux fois en dix ans à la télévision, une fois sur France 3, dans le cinéma de minuit et une fois sur TCM. Samson et Dalila n'a pas été diffusé depuis des années.
Répondre