Alan Ladd (1913-1964)
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Alan Ladd (1913-1964)
Je sais les commentaires qui vont etre dit sur cet acteur qui il est vraie su faire preuve devant une camera d'une "inexpressivité passif" mais qui reste pour moi un acteur a ne pas negligé surtout dans le western.
Pour la plupart d'entre vous alan ladd seras associeé a "shane" l'home des valleé perdue qui reste un eternel chef-d'oeuvres,mais je l'ai triuvez assez convaincant chez "gordon douglas" dans santiago western qui est peut-etre son meilleur ou bien encore chez james b.clark"one foot hell" les hors la loi 1960.
Ayant travaillé avec les plus grands,qui ne reussirent pour certain rien de concret avec il faut neamoins le placez dans les "legendes western-movies" car il reprensente beaucoup pour la masse de cinéphiles que nous sommes.
Justicier dans la majorité de ses western avec souvent un passeé obscur,il incarna pour cette genération que nous somme le cow-boy a l'aise et avec beaucoup d'ideal.
Sa carrière fut très brève et disparaitras avec lui ce heros qui representais une esthetique presque incolore,un heros westernien que nous aimerions avoir etait,vala
voici sa filmo western:
One Foot in Hell(les hors la loi)1960
Guns of the Timberland(tonnerre sur timberland)1960
Badlanders(l'or du hollandais)1958
Proud Rebel(le fier rebelle)1958
Alan ladd fut pratiquement producteur de la plupart de ses films(jaguar product)
Big Land(les loups dans la valleé)1957
santiago..1956
Drum Beat (l'aigle solitaire)1954
saskatchéwan(la brigade heroique)1953
Shane(l'homme des valleé perdue)1953
Iron Mistress(la maitresse de fer)1952
Red Mountain(montagne rouge)1951
Branded(marqué au fer)1950
Whispering Smith(smith le taciturn)1948
Light of Western Stars(l'etoile d'argent)1940
Pour la plupart d'entre vous alan ladd seras associeé a "shane" l'home des valleé perdue qui reste un eternel chef-d'oeuvres,mais je l'ai triuvez assez convaincant chez "gordon douglas" dans santiago western qui est peut-etre son meilleur ou bien encore chez james b.clark"one foot hell" les hors la loi 1960.
Ayant travaillé avec les plus grands,qui ne reussirent pour certain rien de concret avec il faut neamoins le placez dans les "legendes western-movies" car il reprensente beaucoup pour la masse de cinéphiles que nous sommes.
Justicier dans la majorité de ses western avec souvent un passeé obscur,il incarna pour cette genération que nous somme le cow-boy a l'aise et avec beaucoup d'ideal.
Sa carrière fut très brève et disparaitras avec lui ce heros qui representais une esthetique presque incolore,un heros westernien que nous aimerions avoir etait,vala
voici sa filmo western:
One Foot in Hell(les hors la loi)1960
Guns of the Timberland(tonnerre sur timberland)1960
Badlanders(l'or du hollandais)1958
Proud Rebel(le fier rebelle)1958
Alan ladd fut pratiquement producteur de la plupart de ses films(jaguar product)
Big Land(les loups dans la valleé)1957
santiago..1956
Drum Beat (l'aigle solitaire)1954
saskatchéwan(la brigade heroique)1953
Shane(l'homme des valleé perdue)1953
Iron Mistress(la maitresse de fer)1952
Red Mountain(montagne rouge)1951
Branded(marqué au fer)1950
Whispering Smith(smith le taciturn)1948
Light of Western Stars(l'etoile d'argent)1940
Dernière modification par Jeremy Fox le 15 mars 08, 18:31, modifié 1 fois.
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
- Jeremy Fox
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ben il y avait pire tu sais,mais je trouve que certain de ses western son assez talentueux surtout quand realisé par ;daves,douglas "shane l'homme des valleé perdue d'un consensuelle remarquable surtout le gunfigth un des plus beauJack Uzi a écrit :Un acteur que je ne supporte absolument pas.
D'ailleurs, même "Shane", je trouve ça très mauvais...
mais je respecte ton choix
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Les Hors-la-loi (One Foot in Hell - 1960) de James B. Clark
20TH CENTURY FOX
Avec Alan Ladd, Don Murray, Dan O'Herlihy, Dolores Michaels, Barry Coe
Scénario : Sydney Boehm & Aaron Spelling
Musique : Dominic Frontiere
Photographie : William C. Mellor (DeLuxe 2.35)
Un film produit par Sydney Boehm pour la 20th Century Fox
Sortie USA : 19 octobre 1960
Mitch Garrett (Alan Ladd ), ex-soldat confédéré, arrive une nuit à Blue Springs, petite bourgade de l'Arizona, avec sa femme enceinte sur le point d’accoucher. Le comité d'accueil se révèle fort désagréable et tellement suspicieux que pour une question de quelques dollars et de quelques minutes, la femme meurt en couches. Mitch feint ne pas en tenir rigueur aux citoyens lui ayant fait perdre du temps et ayant ainsi provoqué ce drame. Il accepte même de devenir le second du shérif, place qu’on lui offre en dédommagement. Rempli de haine, il n’en prépare pas moins de redoutables représailles ; il envisage non seulement de cambrioler la banque mais également d’éliminer tout ceux qu’il considère comme les responsables de son malheur. Pour cela, il s’accoquine avec quelques ‘rebuts’ de l’humanité qu’il n’aura donc ensuite aucun scrupules à éliminer une fois sa vengeance accomplie : l’alcoolique Dan Keats (Dan Murray), la prostituée Julie Reynolds (Dolores Michaels), le tireur d’élite Stu Christian (Barry Coe) ainsi que le dandy peu scrupuleux Harry Ivers (Dan O’Herlihy). Mitch se transforme du jour au lendemain de citoyen modèle en tueur de la pire espèce…
‘Un tueur de la pire espèce’ : non vous ne rêvez pas, il s’agit bien au sein du film Les Hors-la-loi du personnage de Mitch Garrett interprété par Alan Ladd, comédien qui à l'intérieur du genre a pourtant la plupart du temps représenté l’honnêteté, l’affabilité et la droiture. Un rôle qui s'avère sacrément culotté, totalement à contre emploi pour l’acteur à l’occasion de sa dernière prestation dans un western. Ce One Foot in Hell (titre original bien plus parlant et percutant que le titre français totalement passe-partout), s’il ne vient pas clôturer de la plus belle des manières le corpus westernien tout à fait remarquable d’Alan Ladd, vient cependant faire oublier les deux précédents et assez ternes L’or du hollandais (The Badlanders) de Delmer Daves et surtout, tourné quelques semaines plus tôt, Tonnerre sur Timberland (Guns in Timberland) de Robert D. Webb ; ces deux films détonaient un peu en mal au sein de sa filmographie westernienne après tant de réussites signés Leslie Fenton (Smith le Taciturne – Whispering Smith), George Stevens (L’Homme des vallées perdues - Shane), Raoul Walsh (La Brigade héroïque - Saskatchewan), Michael Curtiz (Le Fier rebelle - The Proud Rebel) ou Gordon Douglas (La Vallée des loups - The Big Land). Dans One Foot in Hell, à seulement 46 ans, Alan Ladd semblait vraiment en bout de course, physiquement très marqué par ses importants problèmes d’alcoolisme. Ca ne l’empêchera pas de donner une prestation honorable cependant éclipsé par certains de ses partenaires, en l’occurrence un Don Murray qui, après sa superbe interprétation dans Duel dans la boue (These Thousand Hills) de Richard Fleischer, nous fait à nouveau oublier à quel point il avait semblé fadasse à ses débuts, et surtout la superbe Dolores Michaels (déjà remarquée dans L’Homme aux colts d’or - Warlock d’Edward Dmytryk), aussi charmante que talentueuse mais qui ne fera malheureusement pas une grande carrière.
Don Murray et Dolores Michaels formeront d’ailleurs un très joli couple au cours de la deuxième partie du film, nous octroyant les plus belles séquences de ce western dont celle au bord de la rivière (soutenue par un thème d’amour sublime signé par le compositeur Dominic Frontiere) qui n’a rien à envier aux scènes romantiques semblables dans les films de Nicholas Ray ou d'Elia Kazan. Dan et Julie sont deux laissés pour compte, un alcoolique et une prostituée, qui pensent pouvoir repartir de zéro après le hold-up dans lequel ils se sont engagés. Ils tombent amoureux et décident non seulement d’abandonner le gang de hors-la-loi mais aussi, à la toute fin, de restituer intégralement le butin afin de partir sur des bases nouvelles, un nouveau départ altruiste et idéaliste qui ne se fera qu’après avoir éventuellement purgé une peine pour leurs méfaits. Ce sont eux les véritables héros positifs du film, eux qui apportent une bouffée d'air frais au milieu de cet univers délétère ; mais ce dont ils ne se doutent pas c’est que leur employeur a l’intention de s'en débarrasser une fois leur forfait accompli, Mitch s’étant persuadé qu’en tant que rebuts de la société ils n’avaient pas le droit à vivre. On comprend dès lors à quel point le film de James B. Clark est un des westerns les plus radicaux sur l’horreur de la vengeance, sorte de précurseur de High Plains Drifter (L’Homme des hautes plaines) de Clint Eastwood, avec un personnage de justicier encore moins excusable, sans aucun problèmes de conscience. Alan Ladd a vraiment pris de gros risques en acceptant d’interpréter le rôle d’un homme qui devient haïssable après la mort de sa femme, se vengeant non seulement des hommes qu’il tient pour responsable de son drame familial mais se débarrassant également du shérif afin de prendre sa place, ainsi que, une fois sa vendetta terminée, des coéquipiers qu’il a engagé expréssément pour arriver à ses fins.
Nous n’avions jamais eu l’occasion de voir le comédien se lâcher de la sorte, et ce avec une belle conviction. Après que sa femme soit morte, on le voit craquer en cris et pleurs, s’écrouler de chagrin. Lui qui avait toujours été d’une sobriété exemplaire, souvent même taxé de terne, il nous étonne et d’ailleurs tout autant lorsque son personnage devient sinistre et sacrément inquiétant, posant avec aplomb et folie "ce pied en enfer", se transformant peu à peu d’époux attentionné en tueur impitoyable et sans âme, rongé qu’il est par la haine et un insatiable désir de vengeance. Ce qui a surtout dû être également difficile pour Alan Ladd, c’est le fait que son trouble personnage doit pendant une bonne partie du film s'employer à gérer l'alcoolisme de celui joué par Don Murray alors que la situation devait être probablement inverse sur le tournage. Ils bénéficient en tout cas tous deux d’intéressants protagonistes grâce à l’astucieux, inhabituel et surprenant scénario de Sydney Boehm (Règlement de comptes - The Big Heat de Fritz Lang) qui prend le spectateur à rebrousse-poil, ce dernier se trouvant dans l’impossibilité de s’identifier à l’antihéros au fur et à mesure de ses obsessions grandissantes s’apparentant presque à de la folie furieuse. Lorsque l’on se rend compte qu’il s’avère dans le même temps machiavélique par le fait de vouloir, tout en mettant sa vengeance en action, profiter de la situation qu’on lui offre, et que l'on devine qu’il se pense supérieur à beaucoup, jugeant la plupart des laissés pour compte comme des moins que rien ne méritant même pas de vivre, on est encore plus surpris par l'audace des auteurs, la noirceur extrême de leur 'héros'. Dommage que la mise en scène de James B. Clark, réalisateur ayant surtout œuvré pour la télévision, ne soit pas du même niveau, un peu pataude, auquel cas contraire nous aurions pu nous trouver devant un très grand western.
En l’état, le professionnalisme de chacun des participants fait que le film tient néanmoins très bien la route ; il est cependant paradoxal qu’en tant qu’ancien excellent monteur (Qu’elle était verte ma vallée de John Ford ; Péché mortel de John. M. Stahl ; Le Jardin du diable de Henry Hathaway… ), James B. Clark ne se soit pas plus préoccupé du montage de son film, ce dernier, pour le moins calamiteux, s’avérant l’un de ses plus grand points faibles. Dans le même ordre d’idées, on pouvait déjà s’étonner que les films réalisés par Rudolph Maté aient été pour la plupart aussi fades au niveau de la photographie. Quoiqu'il en soit, un western assez inhabituel par la noirceur et le côté sinistre de son personnage principal, qui dans le même temps (mais ce fut souvent le cas au sein des westerns des années 50) pointe du doigt la bassesse, l’hypocrisie et le conformisme d’une petite ville de l’Ouest. Le film se suit sans ennui mais n’arrive jamais à se hisser au dessus de l’honnête série B (ce qui n’est déjà pas négligeable) faute à une mise en scène totalement impersonnelle qui l’empêche d’atteindre le niveau que laissait augurer son scénario, quasiment typique d’un film noir. A signaler pour l’anecdote que l’histoire écrite par Aaron Spelling avait déjà l’année précédente été adaptée pour la télévision par John Frankenheimer avec Sterling Hayden dans le rôle de Mitch Garrett et Carolyn Jones, alors Mme Spelling.
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Re: alan ladd.
Une production qui ne paye pas de mine, mais tenue d'une main ferme par Gordon Douglas - si l'on excepte le final quelque peu expédié.james a écrit : Big Land(les loups dans la valleé)1957
On y retrouve le traitement de la violence caractéristique du réalisateur. A cet égard, la scène de la mort d'Edmond O'Brien est un modèle du genre.
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Je le trouve totalement inexpressif ds ses films (même Shane).
Il n'empêche que j'aime bcp des films qu'il a fait : en producteur avisé, il ne s'est pas bcp trompé ds le choix des réalisateurs :
La brigade héroîque : Walsh
Montagne rouge : Dieterle
Shane : Stevens
L'or du hollandais et l'aigle solitaire : Daves
Iron Mistress et les loups ds la vallée : Douglas.
le fier rebelle : un des plus mauvais M Curtiz.
IL a également fait qq polars mémorables :
Tueurs à gages : F Tuttle
Echec au hold up : L Allen
le dahlia bleu : G Marshall
Enquète à Chicago : L Allen
Calcutta : J Farrow
mais aussi bcp de bons films d'aventures :
Révolte à bord et les bagnards de Botany Bay : J Farrow
Tonnerre sur le temple : C Vidor, etc..
Son nom reste attaché à un cinéma sans prétention mais tjrs soigné : le cinéma du dimanche après-midi d'il y a qq années
Il n'empêche que j'aime bcp des films qu'il a fait : en producteur avisé, il ne s'est pas bcp trompé ds le choix des réalisateurs :
La brigade héroîque : Walsh
Montagne rouge : Dieterle
Shane : Stevens
L'or du hollandais et l'aigle solitaire : Daves
Iron Mistress et les loups ds la vallée : Douglas.
le fier rebelle : un des plus mauvais M Curtiz.
IL a également fait qq polars mémorables :
Tueurs à gages : F Tuttle
Echec au hold up : L Allen
le dahlia bleu : G Marshall
Enquète à Chicago : L Allen
Calcutta : J Farrow
mais aussi bcp de bons films d'aventures :
Révolte à bord et les bagnards de Botany Bay : J Farrow
Tonnerre sur le temple : C Vidor, etc..
Son nom reste attaché à un cinéma sans prétention mais tjrs soigné : le cinéma du dimanche après-midi d'il y a qq années
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Avec Audie Murphy et Randolph Scott?Jeremy Fox a écrit :Assez bon résuméLord Henry a écrit :La question est de savoir si Alan Ladd était le plus grand parmi les petits ou le plus petit parmi les grands.
D'accord avec Dave Bannion concernant son talent a choisir avec discernement les realisateurs mais aussi ses films, d'ailleurs c'est ce qui etait rejouissant dans le cinema americain de ces annees la , cette possibilite de pouvoir apparaitre dans des realisations ambitieuses sans pour autant figurer parmi les acteurs les plus "en vogue", l'inverse n'etait pas forcement aussi evident...
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- Introduit au Festival de Cannes
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Waouh...c'est exactement ce que je pense...il est fort ce Lord Henry...mais bon, y va encore se la péter maintenany!Lord Henry a écrit :La question est de savoir si Alan Ladd était le plus grand parmi les petits ou le plus petit parmi les grands.
Sinon pour Ladd, je le considére comme étant le plus grand des acteurs de second plan! Il faut reconnaître pour sa défense qu'il a fait des choix judicieux aussi bien au niveau des seconds rôles que des réalisateurs... Etant fan de série B, il a une filmo que j'apprécie assez.
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L'étranger... a écrit :Waouh...c'est exactement ce que je pense...il est fort ce Lord Henry...mais bon, y va encore se la péter maintenany!Lord Henry a écrit :La question est de savoir si Alan Ladd était le plus grand parmi les petits ou le plus petit parmi les grands.
Sinon pour Ladd, je le considére comme étant le plus grand des acteurs de second plan! Il faut reconnaître pour sa défense qu'il a fait des choix judicieux aussi bien au niveau des seconds rôles que des réalisateurs... Etant fan de série B, il a une filmo que j'apprécie assez.
Etant fan de série B, il a une filmo que j'apprécie assez.
moi aussi
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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[quote="L'étranger..."]
Sinon pour Ladd, je le considére comme étant le plus grand des acteurs de second plan! Il faut reconnaître pour sa défense qu'il a fait des choix judicieux aussi bien au niveau des seconds rôles que des réalisateurs...
au contraire d'A Murphy qui est resté dans les séries B.............ou Z avec des réalisateurs de seconde zone (ce qui n'empêche pas certains de ses films d'être sympa)
Sinon pour Ladd, je le considére comme étant le plus grand des acteurs de second plan! Il faut reconnaître pour sa défense qu'il a fait des choix judicieux aussi bien au niveau des seconds rôles que des réalisateurs...
au contraire d'A Murphy qui est resté dans les séries B.............ou Z avec des réalisateurs de seconde zone (ce qui n'empêche pas certains de ses films d'être sympa)