Série TV : Faites le point sur vos visionnages...

[Rockatansky]

La 3 est un peu plus faible, mais la fin est très belle, et a le mérite de clore la série

[The Boogeyman]

La 3 est un peu plus faible, mais la fin est très belle, et a le mérite de clore la série

Je serai beaucoup plus virulent que toi pour qualifier cette 3ème saison.
Mais je souhaite à Jeremy Fox d'apprécier le voyage jusqu'au bout.

[Supfiction]

Ok ; je ne connaissais pas le jeu de la bouteille non plus

Bah, c'est un jeu auquel jou(aient) tous les enfants dans les années 70-80. Il me semble que tout le monde connaissait (on fait tourner la bouteille puis on croise les doigts pour qu'elle se retourne vers la personne qu'on souhaite embrasser).
Dans l'épisode 1 que tu as vu, la bouteille est devenu un smartphone et le "gage" est soit "fuck" soit "choke" (étrangler son partenaire). Fiction ou réalité, je ne sais pas par contre.

[Jeremy Fox]

Ok ; je ne connaissais pas le jeu de la bouteille non plus

Bah, c'est un jeu auquel jou(aient) tous les enfants dans les années 70-80. Il me semble que tout le monde connaissait

Et bien non la preuve

[nobody smith]

Maté la saison 1 de Black Mirror. A part que c’était une anthologie à la flatteuse réputation, je ne savais pas grand chose dessus. Du coup, ça a été un peu l’étonnement devant The National Anthem. Je ne m’attendais pas à quelque chose de plus orienté SF/horreur et non à un spectacle aussi satirique. Bon cela dit, c’est une sacrée entrée en matière. Très prévisible dans son déroulement et sa conclusion mais ça n’est en rien préjudiciable. L’intérêt tient surtout au méthodisme de la mécanique et au fait qu’elle s’assume jusqu’au bout. J’aurais bien voulu que ce soit le cas de The Entire History Of You. Le concept est un peu pompé sur Final Cut mais il a au moins le mérite d’ouvrir des pistes de réflexions intéressantes (la substitution des souvenirs par des vidéos factuelles entraînant une perte d’émotions humaines). Mais la démonstration se perd un peu en cours de route et se termine sur une fin très bancale

Spoiler (cliquez pour afficher)

Pourquoi se casser le cul à retirer la puce alors qu’il pourrait tout simplement effacer les souvenirs ?

Fifteen Million Merits est celui qui m’aurait le plus convaincu des trois épisodes. La description de cet univers fonctionnel marque l’esprit et il y a cette épatante démarche à montrer comment l’individu accepter de lui-même à se faire instrumentaliser par la machine. Très très fort !

[Jeremy Fox]

En seulement 1 épisode The Leftovers semble bien partie pour intégrer mes immenses coups de cœur de l'année.

6 épisodes plus loin, c'est validé. Mais il va me falloir attendre ce WE avant de terminer cette première saison. En tout cas du très haut niveau et je suis ravi que ça vienne du scénariste tant critiqué pour Prometheus qu'est Damon Lindelof

[Rockatansky]

A la base c'est un roman de Tom Perrotta ceci explique peut être cela

[Jeremy Fox]

A la base c'est un roman de Tom Perrotta ceci explique peut être cela

Rabat joie

[7swans]

Je remarque seulement maintenant que Lindelof a commencé sa carrière dans le pool de scénaristes de Wasteland, la série sur des twentysomething New Yorkais (avec Adam Scott) créée par Kevin Williamson juste après Dawson.
Flop monumental aux USA et en France (sur TF1, qui avait déprogrammé rapidement).



J'étais dans le bon mood, j'aimais bien.
Bref.

[Rockatansky]

C'est parce que tu es dawsonisé

[The Boogeyman]

• Ozark S#1 - 2017 • 5,5/10
Pas déplaisant à suivre durant les 10 épisodes, mais c'est absolument sans aucune originalité. La série se repose uniquement sur tous les schémas et poncifs déjà fortement éculés dans la production sérial américaine depuis 10 / 15 / 20 ans !? La composition de la famille (le père, la mère, la fille ado et le fils pré-ado), les personnages, leurs caractères, les enjeux, les situations... tout est absolument prévisible, zéro suspense et surprise. La série grille même dès la 1ere saison sa carte "épisode flash-back", ce fameux épisode qui t'explique qu'avant tout ce bordel les personnages étaient gentils et honnêtes avant de virer menteurs, manipulateurs ou psychopathes (épisode que les scénaristes balancent généralement après plusieurs saisons quand ils ne savent plus trop comment renouveler les personnages).
A l'arrivé ce n'est pas "mal fait" c'est juste "déjà (re... re... re...)fait".

[Mama Grande!]

En seulement 1 épisode The Leftovers semble bien partie pour intégrer mes immenses coups de cœur de l'année. Espérons que ça se poursuive à ce niveau mais d'après ce que j'ai lu ou ce qu'on m'en a dit (c'est devenu l'une des séries préférées de mes filles notamment), ça devrait pouvoir le faire.

Qu'il est bon de se souvenir d'avoir eu le même enthousiasme en découvrant la 1ere saison puis en enchainant sur la 2eme, complètement happé par l'ambiance et l'univers....
puis est arrivé la 3eme et dernière saison qui est venue tout gâcher et le retour de bâton a fait très très mal

Mais il y en a qui ont adoré jusqu'au bout, donc je te souhaite de faire parti de ceux là.

La 1ère est celle que j'ai le plus appréciée. Pour ce qui est des 2 et 3 je trouve qu'elles mélangent grosses lourdeurs et grands moments d'émotion. Mais comme cette série a le mérite inestimable de ne pas s'éterniser, les qualités finissent par emporer le morceau.

[AtCloseRange]

Je remarque seulement maintenant que Lindelof a commencé sa carrière dans le pool de scénaristes de Wasteland, la série sur des twentysomething New Yorkais (avec Adam Scott) créée par Kevin Williamson juste après Dawson.
Flop monumental aux USA et en France (sur TF1, qui avait déprogrammé rapidement).



J'étais dans le bon mood, j'aimais bien.
Bref.

On remarquera que les comédiens ont fait une belle carrière depuis.

[Max Schreck]

Démarrage demain soir 20h50 sur arte de la mini-série (3 épisodes) Kim Kong, avec Jonathan Lambert. Pas sûr de le voir, mais le postulat me semble prometteur :

Mathieu Stannis, réalisateur de blockbusters dépressif, est kidnappé par les agents d’une dictature asiatique. Le leader local est un grand amateur de cinéma. Excédé par la nullité des productions de son pays, il exige que Mathieu mette en scène une nouvelle adaptation de King Kong, dont il a personnellement écrit le scénario. Une comédie absurde sur les dérives du totalitarisme et une véritable déclaration d’amour au 7e art !

[pol gornek]

ça a le mérite d'être vu. Jonathan Lambert est un peu à contre emploi et l'ensemble tient très bien la route. Une belle déclaration (un tout petit peu facile) d'amour au cinoche, des moments de comédies qui fonctionnent biens (mais ce n'est pas uniquement une comédie) et c'est très bien produit. Je regrette le formatage Arte (3x45 min) un peu préjudiciable (un 6x20 min aurait été plus efficace) et une diffusion en rafale qui force la boulimie.