bruce randylan a écrit :Car les intrigues secondaires telle la femme adultère ne sont guères emballantes comme les raccourcis sceanristiques qui limitent les actions et les rebondissement à 2 soldats ( ce qui devient du coup exagéré et peu crédible ).
J'en suis au 7ème épisode, et plutôt d'accord avec toi.
Je suis complètement d'accord avec tous les défauts soulignés mais je n'ai pas pu m'empêcher d'adorer. Y'a pas mal de choses que je regarde tout en me demandant pourquoi ( Grey's Anatomy ou House, franchement... ) et Rome en fait partie. J'adore la présentation des choses et l'histoire politique est super convaincante. Mon prof de latin de prépa nous a d'ailleurs parlé de cette série, mais on était que deux à connaître.
DEAN: So it's a show? RORY: It's a lifestyle. LORELAI: It's a religion.
Ces deux soldats ont véritablement existé, César y fait allusion dans ses "Mémoires de Gaule". Et je trouve que présenter cette période déjà mainte fois traitrée (films, téléfilms) sous cet angle fût très original pour une histoire que beaucoup connaissent, je dirai même rafraichissant.
Grand retour pour la saison 2 ce soir sur Canal +.
J'espère que ce sera aussi bon que la première (après ma déception concernant la 2ème saison de Deadwood).
Une partie de Cinecitta part en fumée
Des flammes qui ont pu atteindre 30 à 40 mètres. L'incendie s'avère particulièrement difficile à maîtriser. Il s'est déclenché sur le lieu de tournage de la superproduction télévisée anglo-américaine Rome, qui raconte la naissance de l'empire romain. "Le feu a détruit la scénographie de l'ancienne Rome, une aire de 4 000 mètres carrés qui reproduisait la vieille ville de Rome", a expliqué le commandant des Sapeurs-Pompiers de la capitale, Guido Parisi. Cinecitta, autrement dit la Ville du cinéma, est située à quelques km du centre de Rome. Les studios célèbrent cette année leur 70è anniversaire d'une triste façon. Mais l'incendie n'a fait aucun blessé.
Le dernier épisode de la Seconde Saison (et de la série) est un peu trop rapidement envoyé à mon goût. Mais la scène du triomphe d'Octave est un grand moment où tout (réalisation, montage, comédiens, musique) se complète dans un équilibre parfait. Et ces jeux de regards entre les quatre personnages sur la tribune impériale : génial ! Quel dommage que le réalisateur ait choisi d'ajouter deux scènes de conclusion qui trivialisent les dernières minutes de la série.
Je pense que ça aurait été bien plus fort si la série s'était arrêtée sur le regard noyé d'Atia quand elle détourne la tête de son fils sur la tribune. Tout était alors dit. Les deux scènes ultimes : celle de Pullo et Octave suivie de celle de Pullo et son fils Césarion qui partent dans la foule rabaissent le niveau du final. Dommage.
Enfin, les deux saisons de Rome, malgré quelques défauts, était une sacrée série télé. Bravo HBO, encore une fois.[
Alors évidemment, comme
-1.j'ai pas de télé,
-et 2. j'attends à chaque fois la baisse de prix des coffrets,
eh bien j'arrive toujours après tout le monde!
Bref.
J'ai lu les précédents messages et, si je comprends les quelques réserves exprimées ici ou là, certaines que je peux partager d'ailleurs (cf intrigues secondaires parfois... "légères") je trouve cette série absolument formidable!
Cette re-création de Rome est passionnante. Virgile re-créait une Troie imaginaire, là les scénaristes re-créent une Rome qui va alimenter mon imaginaire pendant longtemps!
Quelle "troupe" d'acteurs! Tous!
Les scénaristes ont dessiné des personnages extaordinaires!
Le couple des deux de la 13e est inoubliable! Pullo et son chef (oublié le nom) forment un tandem bouleversant. Brutus et Ocatve, personnages effacés au début, révèlent finalement une richesse surprenantes dans leur jeu de comédiens .
Et puis, il a des scènes prodigieuses qui, elles aussi, resteront inoubiables pour moi: le sacre de César, l'arène où Pullo ne veux pas se battre, la partie (d'échecs?) entre César et Brutus, la confrontation entre Servilia et la nièce de César (encore oublié le nom!) et, évidement,
l'assassinat de César où j'ai attendu à la fois le "tu quoque" et le monologue de Marc-Antoine (cf Shakespeare et les "hommes honorables...) mais le génie de cette série est à la fois d'éviter nombre de scènes convenues tout en "citant" à de nombreuses reprises les scènes attendues... pour parler plus clair: le "tu quoque" et le monologue de Marc-Antoine se lisent entre les lignes!
Bon, dans quelques mois, lorsque le coffret de la 2e aura atteint un prix acceptable, je repasserais probablement par ici...
Fini la première saison, et j'ai adoré, un gros coup de coeur pour cette série, qui sait se montrer elliptique dans ses batailles pour se concentrer uniquement sur les personnages.
Et l'acteur qui joue César, Ciarán Hinds, est formidable, en plus de ressembler à Al Pacino.
Maintenant , faut attendre que Warner offre la saison 2 avec les dvdcodes.
Je viens de terminer les 12 premiers épisodes de la Saison 1.
Moi qui suis pas Série pour un sou, on m'avait prêté le coffret DVD et j'avoue que je me suis bien fait avoir.
Il m'a fallu 2 épisodes pour vraiment rentrer dedans, mais après c'était gagné, la série m'a vite happé.
Excellent casting (c'est le point le plus remarquable je trouve), et approche scénaristique audacieuse font de cette série une vraie réussite.
Elle aurait d'ailleurs pu s'arrêter sur le dernier épisode de la Saison 1, ça ne m'aurait pas plus choquer que ça (je déteste les séries qui s'éternisent et finissent par se diluer, défaut très courant), mais ceci étant dit, j'ai hâte de découvrir la Saison 2.
Chapeau !
Cette superbe série est actuellement rediffusée sur Paris Première : j'encourage tout le monde à la voir même si ça ne vaut pas les DVD qui offrent des bonus et un habillage d'une qualité rare pour une série. Les deux saisons sont parfaites...
C'est encore mieux que deadwood, autre production HBO qui manquait vraiment de rythme malgré des acteurs et un décor magnfiques.
En plus, cette période de l'Histoire est passionnante (début de l'empire, naissance des collèges [ancêtres de la Mafia], construction de la première ville moderne...) et la série, très fidèle à la réalité, ou plutôt aux écrits d'auteurs latins comme Suétone) donne envie de se replonger dans des livres d'Histoire.
"I scream, you scream, we all scream for ice cream..."