Les DVD Artus films
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Re: Artus films
En juillet (dispo en juin sur le site d'Artus)
Je ne connais pas du tout, des avis ?
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Re: Artus films
Kevin, Julien L., 1kult, hellrick.. au rapport !Père Jules a écrit :En juillet (dispo en juin sur le site d'Artus)
Je ne connais pas du tout, des avis ?
Pour le Campanile, il y aura un coffret digipack + livre 64 pages "Un genre maudit : le Rape and Revenge", de David Didelot (source : facebook Artus films)
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Artus films
La Proie est une tuerie, un des grands films du bis transalpin. C'est très étonnant, ça commence comme un drame français classique (le couple qui part en vacance pour se retrouver, toussa, toussa...) mais très rapidement, la touche rital arrive (c'est Theoreme de Pasolini en plein air et version bis). A noter que on retrouve pas mal de similitudes avec l'australien - et excellent, et pourtant inédit chez nous - Long Weekend. Un des meilleurs rôles de Nero, je pense. Il sera, je l'espère - mais je l'imagine - proposé dans sa version longue (en france, le film était cut de bien 15 ou 20 mins et remonté différemment si je me souviens bien. Le livre apporte une plus-value non négligeable.
Le second est une fin de vie du bis, de mémoire c'est très sympathique avec une bière, pour son casting (il y a aussi Mimsy Farmer qui joue pendant une ou deux bobines). Loin d'être essentiel mais le fan transalpin appréciera.
Le second est une fin de vie du bis, de mémoire c'est très sympathique avec une bière, pour son casting (il y a aussi Mimsy Farmer qui joue pendant une ou deux bobines). Loin d'être essentiel mais le fan transalpin appréciera.
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Re: Artus films
Le premier a une grosse réputation mais traine sur mon ordi du coup je vais peut être attendre le DVD. Le macaroni combat est super sympa (vu au bis de la Tek), tardif car surfant sur le carton de The Wild Geese mais bien rythmé avec un casting à pleurer.
Grosses sorties donc !
Par contre, Autostop rosso sangue étant déjà sorti en BR anglais, Artus risque de se paumer une partie des bisseux sur ce titre.
Grosses sorties donc !
Par contre, Autostop rosso sangue étant déjà sorti en BR anglais, Artus risque de se paumer une partie des bisseux sur ce titre.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Artus films
Présent!Jack Carter a écrit : hellrick.. au rapport !
La proie de l'auto-stop c'est du tout bon: http://bis.cinemaland.net/html/movies/a ... -rosso.htm
L'autre je l'ai vu il y a longtemps (à moins que je confonde avec un autre Margheriti dans le même genre???) mais je pense que c'est du bon bourrinage bis très sympa en effet.
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Re: Artus films
Justement, j'aurais plutôt vu ce titre en BR chez Le chat qui fume plutôt qu'en DVD!Kevin95 a écrit :
Par contre, Autostop rosso sangue étant déjà sorti en BR anglais, Artus risque de se paumer une partie des bisseux sur ce titre.
A moins qu'Artus ne le sorte en HD à l'avenir (mais le blu ne semble pas être dans la politique de la maison).
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Re: Artus films
Il ne serait pas étonnant de voir débouler Kommando Leopard chez le même éditeur (dispo en BR en Allemagne). J'aurai adoré L'ultimo cacciatore, mais il n'existe pas de bonne copie à l'heure qu'il est et les droits du film sont en France un peu flous.hellrick a écrit :L'autre je l'ai vu il y a longtemps (à moins que je confonde avec un autre Margheriti dans le même genre???) mais je pense que c'est du bon bourrinage bis très sympa en effet.
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Re: Artus films
Pour moi ce sera possiblement deux achats.O'Malley a écrit :A moins qu'Artus ne le sorte en HD à l'avenir (mais le blu ne semble pas être dans la politique de la maison).Kevin95 a écrit : Par contre, Autostop rosso sangue étant déjà sorti en BR anglais, Artus risque de se paumer une partie des bisseux sur ce titre.
Je crois qu'Artus effectivement ne voit pas l'intérêt d'investir en HD compte tenu de la rentabilité que cet éditeur en tirerait, au risque de se planter et de ne pas se relever. Mais cela a déjà été discuté, je crois.
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Re: Artus films
Il ne serait pas étonnant de voir débouler Kommando Leopard chez le même éditeur (dispo en BR en Allemagne).Kevin95 a écrit :
[/quote]
Oui il est sympa, je l'avais reçu pour le chroniquer: http://www.sueursfroides.fr/critique/ko ... opard-3057
J'ai un dvd zone 2 de celui-là, on le trouve un peu partout dans les brocantes..;je crois que c'est VF only et copie pas top il est vraiKevin95 a écrit : J'aurai adoré L'ultimo cacciatore, mais il n'existe pas de bonne copie à l'heure qu'il est et les droits du film sont en France un peu flous.
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Re: Artus films
J'ai le même mais après avoir vu une version 35mm et vost à la Tek, on est un poil déçu du rendu.hellrick a écrit :J'ai un dvd zone 2 de celui-là, on le trouve un peu partout dans les brocantes..;je crois que c'est VF only et copie pas top il est vraiKevin95 a écrit : J'aurai adoré L'ultimo cacciatore, mais il n'existe pas de bonne copie à l'heure qu'il est et les droits du film sont en France un peu flous.
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Re: Artus films
NOM DE CODE : OIES SAUVAGES
Sorti en 1984, NOM DE CODE : OIES SAUVAGES fait partie de ces films d’aventures guerrières réalisés par Anthony M. Dawson (pseudo habituel d’Antonio Margheriti) dans la lignée de ses HEROS D’APOCALYPSE et autre KOMMANDO LEOPARD. Comme le titre l’indique, le film se veut une fausse séquelle des OIES SAUVAGES, gros succès cinématographique de la fin des seventies. Sa légitimité repose en grande partie sur la présence à la production d’Erwin C. Dietrich, grand spécialiste du cinoche d’exploitation déjà coproducteur des OIES SAUVAGES officielles. Il revient pour ce NOM DE CODE : OIES SAUVAGES opportunément lancé alors que le tournage des OIES SAUVAGES 2 est annoncé. Malheureusement, le décès de Richard Burton la veille du premier jour de tournage obligea à des réécritures en catastrophe et Lewis Collins est un temps envisagé dans un des rôles principaux. Au final, Collins n’est pas engagé, ce qui lui permet de figurer en tête d’affiche de ce décalque. A ses côtés, Margheriti rassemble un casting des plus attrayants : Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Klaus Kinski et l’indispensable présence féminine de Mimsy Farmer. L’intrigue, classique, ne cherche pas à innover mais au contraire à entretenir la filiation contestable avec les authentiques OIES SAUVAGES en reprenant le principe du film de commando dans la tradition des DOUZE SALOPARDS et autres CANONS DE NAVARONNE. Le tout anticipe également de quelques mois le retour en grâce du film de gros bras s’en allant guerroyer dans la jungle puisque NOM DE CODE : OIES SAUVAGES ressemble parfois à du PORTES DISPARUS ou RAMBO 2 avant la lettre. Donc le commandant Wesley (Lewis Collins) mène un groupe de mercenaires et autres repris de justice dans le Triangle d’Or asiatique afin de mettre un terme au règne d’un despote trafiquant d’opium. Un script efficace, sans fioriture, et additionné d’une pointe de sadisme de bon aloi comme les Italiens en avaient le secret. Et une musique synthé prog plaisamment datée jouée par les Allemands d’Eloy sur leur petit clavier d’époque.
Le film se distingue assez peu de la masse des productions du même style mais la patte de Margheriti reste présente : science du rythme, enchainement de séquences spectaculaires et, surtout, utilisation des maquettes, lesquelles sont certes visibles mais cependant soignées avec une poursuite en voiture dans un tunnel, l’assaut des mercenaires sur le camp ennemi et l’intervention d’un hélicoptère équipé d’un lance-flamme. Tout ça s’avère assez divertissant et se suit sans ennui, le film étant rythmé par de nombreuses fusillades et explosions.
NOM DE CODE : OIES SAUVAGES est donc une petite production satisfaisante entre la série B d’aventures, l’imitation de blockbuster et le roman de gare. Il existe de bien pire manière d’occuper 1H40 de son temps.
Sorti en 1984, NOM DE CODE : OIES SAUVAGES fait partie de ces films d’aventures guerrières réalisés par Anthony M. Dawson (pseudo habituel d’Antonio Margheriti) dans la lignée de ses HEROS D’APOCALYPSE et autre KOMMANDO LEOPARD. Comme le titre l’indique, le film se veut une fausse séquelle des OIES SAUVAGES, gros succès cinématographique de la fin des seventies. Sa légitimité repose en grande partie sur la présence à la production d’Erwin C. Dietrich, grand spécialiste du cinoche d’exploitation déjà coproducteur des OIES SAUVAGES officielles. Il revient pour ce NOM DE CODE : OIES SAUVAGES opportunément lancé alors que le tournage des OIES SAUVAGES 2 est annoncé. Malheureusement, le décès de Richard Burton la veille du premier jour de tournage obligea à des réécritures en catastrophe et Lewis Collins est un temps envisagé dans un des rôles principaux. Au final, Collins n’est pas engagé, ce qui lui permet de figurer en tête d’affiche de ce décalque. A ses côtés, Margheriti rassemble un casting des plus attrayants : Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Klaus Kinski et l’indispensable présence féminine de Mimsy Farmer. L’intrigue, classique, ne cherche pas à innover mais au contraire à entretenir la filiation contestable avec les authentiques OIES SAUVAGES en reprenant le principe du film de commando dans la tradition des DOUZE SALOPARDS et autres CANONS DE NAVARONNE. Le tout anticipe également de quelques mois le retour en grâce du film de gros bras s’en allant guerroyer dans la jungle puisque NOM DE CODE : OIES SAUVAGES ressemble parfois à du PORTES DISPARUS ou RAMBO 2 avant la lettre. Donc le commandant Wesley (Lewis Collins) mène un groupe de mercenaires et autres repris de justice dans le Triangle d’Or asiatique afin de mettre un terme au règne d’un despote trafiquant d’opium. Un script efficace, sans fioriture, et additionné d’une pointe de sadisme de bon aloi comme les Italiens en avaient le secret. Et une musique synthé prog plaisamment datée jouée par les Allemands d’Eloy sur leur petit clavier d’époque.
Le film se distingue assez peu de la masse des productions du même style mais la patte de Margheriti reste présente : science du rythme, enchainement de séquences spectaculaires et, surtout, utilisation des maquettes, lesquelles sont certes visibles mais cependant soignées avec une poursuite en voiture dans un tunnel, l’assaut des mercenaires sur le camp ennemi et l’intervention d’un hélicoptère équipé d’un lance-flamme. Tout ça s’avère assez divertissant et se suit sans ennui, le film étant rythmé par de nombreuses fusillades et explosions.
NOM DE CODE : OIES SAUVAGES est donc une petite production satisfaisante entre la série B d’aventures, l’imitation de blockbuster et le roman de gare. Il existe de bien pire manière d’occuper 1H40 de son temps.
- Kevin95
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Re: Artus films
Mimsy prend une nouvelle fois chère mais reste digne. Cette femme est brave.
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- hellrick
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Re: Artus films
Ce qui est étonnant c'est à quel point elle est pas sexy dans ce film, pour de l'exploitation c'est un peu criminelle cette sous-exploitation, elle a même pas les vêtements déchirés lorsqu'elle est sauvée après l'attaque du camp, c'est très frustrantKevin95 a écrit :Mimsy prend une nouvelle fois chère mais reste digne. Cette femme est brave.
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Re: Artus films
Sans doute le choix de l'actrice qui à partir des 80's ne choisissait que des rôles sobres dans le bis (Gatto nero de Fulci par exemple) ou des films d'auteurs (Jean-Louis Daniel, Pasquale Festa Campanile, Raoul Coutard etc.)
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)